Citation Si c est un homme
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Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème Si c est un homme.
60 citations
Si l'on combat avec un coeur rempli d'affection, on remporte la victoire; si l'on défend une ville, elle est inexpugnable. Quand le ciel veut sauver un homme, il lui donne l'affection pour le protéger.
Je me garderai donc de porter un jugement définitif fondé uniquement sur une impression, car lorsqu'un homme s'est forgé une opinion, favorable ou défavorable, sur une chose donnée, il lui est deux fois ou trois fois plus difficile de réviser cette opinion, même si des preuves ultérieures l'infirment totalement.
L'homme n'est pas fait pour le célibat, et il est bien difficile qu'un état si contraire à la nature n'amène pas quelque désordre public ou caché.
Un commerce d'hommes !… Grand Dieu ! et la Nature ne frémit pas ! S'ils sont des animaux, ne le sommes-nous pas comme eux ? et en quoi les Blancs diffèrent-ils de cette espèce ? C'est dans la couleur… Pourquoi la Blonde fade ne veut-elle pas avoir la préférence sur la Brune qui tient du mulâtre ? Cette tentation est aussi frappante que du Nègre au Mulâtre. La couleur de l'homme est nuancée, comme dans tous les animaux que la Nature a produits, ainsi que les plantes et les minéraux. Pourquoi le jour ne le dispute-t-il pas à la nuit, le soleil à la lune, et les étoiles au firmament ? Tout est varié, et c'est là la beauté de la Nature. Pourquoi donc détruire son Ouvrage ?
Un grand homme n’a qu’un souci : devenir le plus humain possible, — disons mieux : devenir banal. Devenir banal, Shakespeare, banal Gœthe, Molière, Balzac, Tolstoï… Et chose admirable, c’est ainsi qu’il devient le plus personnel. Tandis que celui qui fuit l’humanité pour lui-même, n’arrive qu’à devenir particulier, bizarre, défectueux… Dois-je citer le mot de l’Évangile ? Oui, car je ne pense pas le détourner de son sens : « Celui qui veut sauver sa vie (sa vie personnelle) la perdra ; mais qui veut la perdre la sauvera (ou pour traduire plus exactement le texte grec : « la rendra vraiment vivante »).
L'homme ne fait que passer sur cette terre: son arbre généalogique est si caduc. Pourquoi donc tant de différence entre un nom de famille et un nom de baptême?
Je ne vois pas un autre peuple dont le milieu géographique puisse, à l’égal du peuple d’Espagne, suffire presque uniquement à expliquer l’histoire. L’Espagne est une forteresse naturelle, carrée, massive, haute et nue, protégée d’un côté par une puissante courtine de montagnes et de ravins, des trois autres par la mer [...]. Défendue par l’été torride qui sèche les torrents, calcine la végétation d’autre part misérable, chauffe à blanc les déserts de pierre, soulève une lourde poussière qui brûle les yeux et les poumons. [...] Il n’est pas surprenant que l’homme aussi y soit extrême, dur, tanné dehors et dedans, tout de glace et de flamme, insensible à la souffrance d’autrui, à la sienne, indifférent à la maladie, la mort.
Quand on est un homme d'action comme moi, on fonce. On regarde un peu dans le rétro mais pas trop. Et puis là, d'un seul coup, je me suis dit : « Tiens, ce ne serait pas si mal de scruter un peu en arrière, d'essayer de comprendre ce scénario incroyable que j'ai la chance de vivre depuis ma naissance.»
Le rôle de Claude Lelouch, je le joue maintenant depuis soixante-dix-huit ans et je ne m'en suis jamais lassé. C'est un rôle absolument passionnant, rien n'est figé, tout s'agite, le scénario se modifie chaque seconde. C'est l'aventure, avec un point d'interrogation. En y réfléchissant, je me dis que j'ai vraiment eu de la chanceC'est vrai que je suis considéré comme un homme très sociable, bavard intarissable, toujours en train de rire avec les amis. Mais le brouillard, finalement, m'empêche aussi de voir les autres, dont on sait, depuis Sartre, que c'est l'enfer !
L'eunuque est un homme dans lequel on a choisi. Si ma descendance directe venait à s'éteindre, je ne veux pas pour mes livres d'héritiers collatéraux. Je donne mes oeuvres à la France. Que le domaine public les donne au peuple.
Aucun homme n'est l'égal d'une femme, si ce n'est avec un tisonnier et une paire de souliers à clous. Et encore, même ainsi, ne l'est-il pas toujours.
Très bien, tu crois que ce sont des idiots, tu les détestes à cause de leur morale, leur bonheur est la source de ta frustration et de ton ressentiment. Mais ce sont là de terribles ennemis que tu portes en toi, à la longue aussi destructifs que des balles. La balle tue sa victime avec clémence. Cette autre bactérie que l'on laisse vieillir ne tue pas un homme mais laisse dans son sillage la carcasse d'une créature déchirée et pervertie ; il y a encore du feu dans son être mais on l'entretient en y jetant des fagots de mépris et de haine. Il amassera peut-être des richesses, mais il n'amassera pas de réussites, car il est son propre ennemi et il est incapable de jouir vraiment de ses oeuvres.
L'homme lutte, se démène, navigue au rebours des éléments, se bat mais ne pratique pas cette activité si cartésienne, si moderne, si française : récriminer contre son sort, chercher des coupables à sa propre faillite, se défausser de ses responsabilités et barbouiller finalement un mur avec son petit pinceau pour expliquer au monde qu"il est interdit d'interdire
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »Ce que fait un homme c'est comme si tous les hommes le faisaient. Il n'est donc pas injuste qu'une désobéissance dans un jardin ait pu contaminer l'humanité; il n'est donc pas injuste que le crucifiement d'un seul juif ait suffi à la sauver.
Y'a pas à dire, dans la vie, y faut toujours se fier aux apparences: quand un homme a un bec de canard, des ailes de canard et des pattes de canard, c'est un canard. Et c'qui est valable pour les canards l'est aussi pour les p'tits merdeux.
Il y a une chose que nous savons, et que l'homme blanc découvrira peut-être un jour, c'est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l'homme, et sa pitié est égale pour l'homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c'est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
Quand suis-je devenu Isaac Stern? Je ne le suis pas encore, je suis toujours en train de créer! Une vie d'homme, c'est si court... Un clin d'oeil, et pff... c'est passé.
Ainsi, l’homme jadis laborieux se relâche en toutes choses jusqu’à devenir un simple instrument aux mains de gens qui ne poursuivent que d’ignobles profits. Son chômage lui était si peu imputable à tort que, d’un seul coup, il lui est tout à fait égal de combattre pour des revendications économiques ou d’anéantir les valeurs de l’État, de la société ou de la civilisation. Il devient gréviste sinon avec joie, du moins avec indifférence. J’ai pu suivre ce processus sur des milliers d’exemples. Et plus j’en observais, plus vive était ma réprobation contre ces villes de plusieurs millions d’habitants, qui attirent si avidement les hommes pour les broyer ensuite de façon si effroyable.
Le gouvernement russe est une monarchie absolue, tempérée par l'assassinat; or, quand le prince tremble, il ne s'ennuie plus ; il vit donc entre la terreur et le dégoût. Si l'orgueil du despote veut des esclaves, l'homme cherche des semblables : mais un Czar n'a point de semblables ; l'étiquette et la jalousie font à l'envi la garde autour de son coeur solitaire.
Dans sa nouvelle -Funes ou la mémoire-, Borges raconte l'histoire tragique d'un jeune homme de dix-neuf ans hypermnésique; sa mémoire enregistre en permanence chaque détail de sa vie avec une précision horlogère, inutile, et ces souvenirs jaillissent en permanence, chaque jour, l'empêchant de vivre vraiment; il finit par s'enfermer dans une pièce vide pour être sûr de ne plus rien enregistrer. Il faut être capable d'oublier, nous dit Borges, sans ce tri, nous ne pouvons plus exister. La vie, c'est l'oubli, l'oubli, c'est la vie. quel a été mon tri ? Qu'ai-je choisi de sceller dans ce machin cabossé qui me sert de mémoire et qui me définit ?
Je voulais dire quelque chose de mon temps, et davantage sur les hommes que sur les femmes d'ailleurs ... sur la jeunesse aussi. Je me suis rendue compte à quel point je ne voudrais pas être un homme aujourd'hui. Toutes les définitions de la masculinité ont disparu ; l'injonction à être un homme est restée, mais le paradigme a disparu. Ce personnage de Clément , il est dans cette espèce de vide juridique, où on lui demande toujours d'être viril, mais on ne lui dit pas comment, et donc du coup ... il n'essaye même plus.
Les Parisiens mènent leur existence trépidante faite de privations, de refoulement. Ils se demandent où cette civilisation les mène, au rythme de ses machines, lorsque malgré l'abondance, il y a des gens mal nourris, mal vêtus. Les machines, lancées, tournent et tout le pays avec elles, comme pris de vertige. Le mal du siècle est de tourner, de produire le plus possible, de créer des richesses. L'homme est devenu un rouage ; et on lui donne tout juste ce qu'il faut pour jouer son rôle, tourner aussi.
Avoir un enfant, c'est manifester un accord absolu avec l'homme. Si j'ai un enfant, c'est comme si je disais: je suis né, j'ai goûté à la vie et j'ai constaté qu'elle est si bonne qu'elle mérite d'être multipliée.
Tao tö King (1967), LXVII de Lao-Tseu
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Le masque de Cthulhu (1958) de August Derleth
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Julie, ou la Nouvelle Héloïse (1761) de Jean-Jacques Rousseau
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Réflexions sur les hommes nègres de Olympe de Gouges
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De l'influence en littérature (1900) de André Gide
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Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
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Découverte de l'archipel (1978) de Elie Faure
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Le dictionnaire de ma vie (2016) de Claude Lelouch
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Interview dans Télérama, 2003. de Umberto Eco
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Choses vues (1887-1900) de Victor Hugo
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Sans référence de George Bernard Shaw
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De sang-froid (1965) de Truman Capote
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Un été avec Homère de Sylvain Tesson
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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La forme de l'épée de Jorge Luis Borges
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Les Vieux de la vieille (1960) de Gilles Grangier de Michel Audiard
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Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens de Chef Seattle
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Interview L'Express, propos recueillis par Dominique Simonnet, publié le 21/12/2000 de Isaac Stern
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Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande » de Adolf Hitler
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La Russie en 1839 de Astolphe, marquis de Custine
Références de Astolphe, marquis de Custine - Biographie de Astolphe, marquis de Custine
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
Références de Nicolas Delesalle - Biographie de Nicolas Delesalle
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Maria Pourchet et l’amour pyromane, La Grande Table culture par Olivia Gesbert, 16/09/2021 de Maria Pourchet
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Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
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La valse aux adieux de Milan Kundera
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