Citation dans les nuages
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème dans les nuages.
40 citations
Dieu, toi qui te dissimules dans les nuages, ou derrière la maison du cordonnier, fais que se révèle mon âme, âme douloureuse de gamin bégayant, révèle moi mon chemin. Je ne voudrais pas être pareil à tous les autres ; je veux voir un monde nouveau.
Son domaine, c’était les nuages. Les longues plumes de glace des cirrus, les tours bourgeonnantes de cumulonimbus, les nippes déchiquetées des stratus, les stratocumulus qui rident le ciel comme les vaguelettes de la marée le sable des plages, les altostratus qui font des voilettes au soleil, toutes les grandes formes à la dérive ourlées de lumières, les géants cotonneux, d’où tombent pluie, neige et foudre. Ce n’était pas une tête en l’air – du moins je ne crois pas. Rien, dans ce que je sais de lui, ne le désigne comme un fantaisiste.
Nous sommes comme les nuages. Ils passent et se mélangent, se fondent les uns dans les autres. Nous ne nous survivrons pas. Nous ne pouvons nous accrocher à rien.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Dans ma mansarde je me mets moi aussi souvent à la lucarne rien que pour voir les nuages. Alors je sens que je vis encore.
Tout passe, les heures, les nuages dans le ciel, la vie des hommes, emportés de la naissance vers la mort. Ne t'attache pas à la chronologie affective des choses. C'est une très mauvaise manière de voir le monde. Fais de chaque seconde une expérience enrichissante, sans t'inquiéter du temps qui fuit et des matins qui ne reviennent plus. Le présent est la seule chose qui n'ait pas de fin.
Les oiseaux mêmes, l'air ne les soutient plus; ils chutent tout droit, laissant leur vie dans les hauts nuages.
Quand on vient de se prendre le ciel sur la tête, on a des nuages dans les yeux.
Soudain j’eus une révélation : les nuages se dissipèrent dans mon esprit et, en un éclair de lucidité, je compris la véritable nature des livres. Ce n’étaient pas simplement des mots assemblés sur une page pour créer une impression de réalité – chacun de ces volumes était la réalité. Ces livres-là ressemblaient à ceux que j’avais lus chez moi comme une photographie ressemble à son sujet. Ces livres étaient vivants !
La pensée se forme dans l'âme comme les nuages se forment dans l'air.
Il faut toute la vie d'un marin pour apprendre à lire l'écriture de Dieu dans les nuages.
Le soleil montait tout rouge encore dans un firmament sans nuages. Un coup de canon fut tiré, si proche de Paris à présent que les oiseaux s'envolèrent du haut de chaque monument. Tout en haut planaient de grands oiseaux noirs, invisibles le reste du temps, étendaient sous le soleil leurs ailes glacées de rose, puis venaient les beaux pigeons gras et roucoulants et les hirondelles, les moineaux sautillaient tranquillement dans les rues désertes. Au bord de la Seine, chaque peuplier portait une grappe de petits oiseaux bruns qui chantaient de toutes leurs forces. Au fond des caves, on entendit enfin un appel très lointain, amorti par la distance, sorte de fanfare à trois tons. L'alerte était finie.
Pour rien au monde nous n'aurions manqué cette fête de l'été. Parfois les orages d'août y mettaient fin vers le soir. Les champs alentour avaient été fauchés et la chaleur de la paille nous enivrait, nous transportait. Nous courions avec les gosses dans les chaumes piquants, pour faire lever des nuages de moustiques. Les 2 CV des bonnes sœurs roulaient à travers champs. Les groupes d'hommes se réunissaient pour regarder les concours de lutte bretonne, ou les jeux de palets. Il y avait de la musique de fanfare sans haut-parleurs, que perçaient les sons aigres des binious et des bombardes.
Parfois, la vie vous offre un petit miracle. Un instant parfait. Les événements se combinent dans le bon sens, les tensions s'effacent, les nuages se dissipent comme par enchantement, et le soleil arrive alors que vous ne l'attendiez plus. Dans ces moments-là, les choses viennent à vous d'elles-mêmes, sans forcer. On se surprendrait presque à croire en Dieu.
La lune surgit d'un amas de nuages, le bois délavé par les pluies brilla comme une chair à vif. Où étais – tu, maman la lune ? Dans quelle misère te cachais – tu ? Dans quel bonheur ? Les deux errants éclairés de cette lumière du ciel entrèrent dans la case. La chaleur était à crier, d'un seul coup la sueur les inonda.
A l'instant, j'ai interrompu ma lettre pour observer le ciel- le soleil est descendu d'un degré, derrière les bâtiments et, tout en haut,une foule de petits nuages-venus Dieu sait où-se sont rassemblés en silence. Ils sont d'un gris tendre, argentés et brillants sur la frange, et leurs formes déchiquetées se dirigent vers le nord. Il y a tant d'insouciance dans ces nuages qui passent, comme un sourire indifférent, que je n'ai pu m'empêcher de sourire moi aussi, car je suis toujours en accord avec le rythme de vie qui m'entoure. Devant un tel ciel, comment pourrait-on être méchant ou mesquin ? N'oubliez jamais de regarder autour de vous, vous y trouverez toujours une raison d'être indulgente.
Je te l’ai dit pour les nuages
Je te l’ai dit pour l’arbre de la mer
Pour chaque vague pour les oiseaux dans les feuilles
Pour les cailloux du bruit
Pour les mains familières
Pour l’oeil qui devient visage ou paysage
Et le sommeil lui rend le ciel de sa couleur
Pour toute la nuit bue
Pour la grille des routes
Pour la fenêtre ouverte pour un front découvert
Je te l’ai dit pour tes pensées pour tes paroles
Toute caresse toute confiance se survivent.Les vrais compagnons, ce sont les arbres, les brins d'herbe, les rayons du soleil, les nuages qui courent dans le ciel crépusculaire ou matinal, la mer, les montagnes. C'est dans tout cela que coule la vie, la vraie vie, et l'on n'est jamais seules quand on sait la voir et la sentir.
Le soleil brille, dans le ciel il y a des nuages blancs floconneux, de ceux qui font penser à des moutons sans tête. À cause de nos ailes, nos œillères, il est malaisé de regarder en l'air, d'avoir une vue complète du ciel, ou de quoi que ce soit. Mais nous y parvenons, fragment par fragment, un mouvement rapide de la tête, de haut en bas, de droite à gauche. Nous avons appris à voir le monde par hoquets.
Le mauvais temps sévit dans la plupart des films comme si le septième art ne pouvait faire son beurre qu'en trayant les nuages.
Te souviens-tu du récit de la campagne de Von Trotha, dans le Kalahari […] : « Et les râles des agonisants, les cris de ceux que la soif avaient rendus fous retentissaient dans le silence de cette immensité. » Ce « silence sublime de l'immensité » où tant de cris se perdent, il éclate dans ma poitrine si fort qu'il ne saurait y avoir dans mon cœur un petit recoin spécial pour le ghetto ; je me sens chez moi dans le vaste monde partout où il y a des nuages, des oiseaux et des larmes”
Nous chanterons les grandes foules agitées par le travail, le plaisir ou la révolte ; les ressacs multicolores et polyphoniques des révolutions dans les capitales modernes ; la vibration nocturne des arsenaux et des chantiers sous leurs violentes lunes électriques ; les gares gloutonnes avaleuses de serpents qui fument ; les usines suspendues aux nuages par les ficelles de leurs fumées ; les ponts aux bonds de gymnastes lancés sur la coutellerie diabolique des fleuves ensoleillés ; les paquebots aventureux flairant l'horizon ; les locomotives au grand poitrail, qui piaffent sur les rails, tels d'énormes chevaux d'acier bridés de longs tuyaux, et le vol glissant des aéroplanes, dont l'hélice a des claquements de drapeau et des applaudissements de foule enthousiaste.
Je pensais à mon géant de père et à sa tête dans les nuages et je me disais que le ciel avait fait du mal à maman et qu'un jour je la vengerais comme dans les films et que je tuerais le ciel pour qu'on ne voie plus jamais les nuages qui pissent que du malheur.
Ils s'aimaient parce que tout autour d'eux le voulait : la terre sous leurs pieds, le ciel au-dessus de leurs têtes, les nuages, les arbres. Leur amour plaisait à leurs proches peut-être plus qu'à eux-mêmes; aux inconnus dans la rue, aux lointains qui s'écartaient devant eux dans leurs promenades, aux pièces dans lesquelles ils vivaient et se rencontraient. C'était cela l'essentiel, c'était cela qui les rapprochait et les unissait. Jamais, même dans leur bonheur le plus généreux, le plus fou, jamais ils n'avaient oublié leur plus haut, leur plus émouvant sentiment : le sentiment bienheureux qu'ils aidaient eux aussi à façonner la beauté du monde, qu'ils avaient un rapport profond avec toute la beauté, avec l'univers entier.
J'ai la tête dans les nuages mais j'ai les pieds sur terre.
Ma vie de Marc Chagall
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Les Géorgiques, III de Virgile
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Carnets tome 1 de Joseph Joubert
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Chanson bretonne suivi de L'enfant et la guerre (2020) de J. M. G. Le Clézio
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L'Œil de Caine (2006) de Patrick Bauwen
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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Je te l'ai dit, L'Amour, la Poésie (1929) de Paul Éluard
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Journal de voyage de Alexandra David-Neel
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La Servante écarlate (1987) de Margaret Atwood
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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Manifeste du futurisme, Le Figaro, 20 février 1909. de Filippo Tommaso Marinetti
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Autobiographie d'une courgette (2002) de Gilles Paris
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Le Docteur Jivago (1957) de Boris Pasternak
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Sans référence de Céline Dion
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