Citation on se couche
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Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème on se couche.
60 citations
On s'éveille, on se lève, on s'habille et l'on sort;
On rentre, on dîne, on soupe, on se couche et l'on dort.Quand le soleil se couche avec son chapeau - Il se lève avec son manteau.
La vie est tragique, tout simplement parce que la terre tourne, parce que le soleil se lève et se couche inexorablement, et parce qu'un jour, pour chacun de nous, le soleil se couchera pour la toute dernière fois. L'origine de toutes les difficultés humaines se trouve peut-être dans notre propension à sacrifier la beauté de nos vies, a nous emprisonner dans des totems, tabous, croix, sacrifices de sang, clochers, mosquées, races, armées, drapeaux, nations afin de dénier que la mort existe, ce qui est précisément notre unique certitude.
Hé ! Dieu si j'eusse étudié
Au temps de ma jeunesse folle
Et à bonnes moeurs dédié
J'eusse maison et couche molle ;
Mais quoi je fuyais l'école
Comme fait le mauvais enfant.Quand on a quelque chose dans le ventre on ne meurt pas avant d'avoir accouché.
Il avait la sensation que sa tête butait contre les nuages, tellement ils étaient bas, et qu'ils essayaient d'expulser des petits flocons tout biscornus, des gros et des moins gros allant se poser délicatement au sol sur la couche de neige déjà formée, sans que rien de vivant ne soit responsable de ce mouvement-là.
Ca me fait quelque chose quand les jours s'allongent, que la lumière grandit et que le soleil se couche de plus en plus à l'ouest, au-dessus des collines, comme s'il allait faire le tour complet de l'horizon.
Chaque flot du temps superpose son alluvion, chaque race dépose sa couche sur le monument, chaque individu apporte sa pierre. Ainsi font les castors, ainsi font abeilles, ainsi font les hommes. Le grand symbole de l'architecture Babel, est une ruche.
Que règne la liberté. Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.A propos, aimez-vous faire des bulles de savon au bord d'un lac, lorsque le soleil se couche, qu'on entend les remous des carpes, et qu'un pêcheur immobile, «assis», se regarde en silence dans le miroir de l'eau?
Elle ne sait plus rien de l'ancien cul-de-jatte;
Elle écoute les vers que Racine lui lit...
Et le Soleil couchant se couche dans son lit.La nuit était très douce et très tranquille, et tout en rangeant mes lunettes en lieu sûr et m'installant pour dormir, je me demandai avec tristesse pourquoi il ne m'était jamais venu à l'idée de venir passer la nuit dehors par ici au temps où j'étais heureux. C'était si près de l'eau, qui clapotait doucement sur le rocher juste en dessous que j'avais l'impression d'être dans un bateau. Et comme mon lit de rocher s'inclinait en pente douce vers la mer, je pouvais, tout en restant allongé la tête sur un coussin, contempler droit devant moi l'horizon où la lune traçait une trouée d'argent presque immobile. L'éclat des premières étoiles s'aiguisait déjà. D'autres apparaissaient, de plus en plus nombreuses. Couché sur le dos, enroulé dans ma couverture, les mains croisées devant moi je fis une prière...
Voici ce que Rico Danon, dans Seule la mer, pense du mystérieux homme vivant dans l'Himalaya : L'enfant né d'une femme porte ses parents sur ses épaules. Non, pas sur ses épaules.En lui. toute sa vie, il sera condamné à les porter, eux et les légions de leurs parents, les parents de leurs parents, une poupée russe, grosse jusqu'à la dernière génération. Où qu'il aille, il porte ses parents, il les porte en se couchant, en se levant, s'il vagabonde au loin ou s'il reste en place. Nuit après nuit, il partage son lit avec son père et sa couche avec sa mère jusqu'à ce que son heure arrive. — Ne demandez pas si ce sont des faits réels. Si c'est ce qui se passe dans la vie de l'auteur. Posez-vous la question. sur vous-même. Quant à la réponse, gardez-la pour vous.
Quand on se couche à côté d'un chien, on se relève avec des puces.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.On n'arrive pas à se réchauffer complètement quand on couche tout seul.
Quand on a vu un noyé, une fois, à peine retiré de l'eau, encore couché sur la route, on n'a pas grand-chose à ajouter. Surtout quand on a compris pourquoi il y a des gens qui se noient, certains jours. Le reste ne compte pas. Qu'il pleuve ou qu'il fasse beau temps, que ce soit un enfant ou un homme, ou une femme nue avec un collier de diamants, etc., cela indiffère. C'est l'espèce de décor d'un drame permanent. Mais quand on n'a pas compris, par exemple. Quand on se laisse distraire par les détails qui semblent justifier l'événement, lui donner une réalité, mais qui n'en sont que la mise en scène ; alors, il y a beaucoup à dire. Ils s'arrêtent, descendent de leurs automobiles, et les voilà qui entrent en jeu. Au lieu de voir, ils composent. Ils se lamentent. Ils prennent parti pour l'un, ou pour l'autre. Ils élucubrent et écrivent des poèmes.
Le soleil qui se couche et dévêt sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.
Hé Dieu! si j'eusse étudié - Au temps de ma jeunesse folle, - Et à bonnes moeurs sacrifié, - J'eusse maison et couche molle; - Mais quoi? je fuyais l'école - Comme fait le mauvais enfant.
A l’abattage, les ouvriers étaient le plus souvent couverts de sang et celui-ci, sous l’effet du froid, se figeait sur eux. Pour peu que l’un d’eux s’adossât à un pilier, il y restait collé ; s’il touchait la lame de son couteau, il y laissait des lambeaux de peau. Les hommes s’enveloppaient les pieds dans des journaux et de vieux sacs, qui s’imbibaient de sang et se solidifiaient en glace ; puis une nouvelle couche s’ajoutait à la précédente, si bien qu’à la fin de la journée ils marchaient sur des blocs de la taille d’une patte d’éléphant.
La première qualité d'un professeur, c'est le sommeil. Le bon professeur est celui qui se couche tôt.
Je me suis laissé soudain envahir par un sentiment de bien-être mêlé de mélancolie, une sensation paradoxalement agréable et douce, malgré la fine couche d'affliction qui la recouvrait. C'était peut-être ça qu'on nommait la puberté, l'adolescence.
Il ne faut pas, même sans le faire exprès, même sans jamais le vouloir, exhumer l'horreur, sinon elle reprend vie et se répand. Elle vrille les têtes, elle grandit, elle accouche à nouveau d'elle-même.
On dit que les germes de nos actions futures sont en nous, mais je crois que pour ceux qui plaisantent dans la vie, les germes sont enfouis dans un meilleur terreau, sous une couche plus épaisse d'engrais.
L'Harmonie imitative de la langue française (1785), Chant I de Pierre-Antoine-Augustin, chevalier de Piis
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Dicton de Dictons
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Entretien sur France Culture avec Eric Laurent en juin 1975 de James Baldwin
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Le Testament (1461) de François Villon
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Correspondance de Gustave Flaubert
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Grossir le Ciel (2014) de Franck Bouysse
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Printemps et autres saisons (1989) de J. M. G. Le Clézio
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Notre-Dame de Paris (1831) de Victor Hugo
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Sans référence de Nelson Mandela
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Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
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Ferdydurke (1937) de Witold Gombrowicz
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Les Perles rouges (1899), Servante maîtresse de Robert de Montesquiou
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La Mer, la mer (The Sea, The Sea, 1978) de Iris Murdoch
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Là où chantent les écrevisses (2021) de Delia Owens
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Adieu à Berlin (2013) de Christopher Isherwood
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Histoires naturelles (1894) de Jules Renard
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Testament, XXVI de François Villon
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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Chagrin d'école (2007) de Daniel Pennac
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L'odeur de la colle en pot (2019) de Adèle Bréau
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Le Rapport de Brodeck (2007) de Philippe Claudel
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Paris est une fête (1964) de Ernest Hemingway
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