Citation place pour tous
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Une Sélection de 30 citations et proverbes sur le thème place pour tous.
30 citations
Il faut continuer à parler, non pas tant du camp, de ce que nous avons vécu, mais de ce qui fait la spécificité de la Shoah : je veux parler de l'extermination systématique, scientifique, de tous ceux qui dès l'arrivée au camp devaient disparaître, parce qu'ils étaient trop jeunes, trop âgés, parce qu'il n'y avait plus de place pour eux, ou tout simplement parce que l'idéologie nazie avait décidé que tous les juifs devaient être éliminés. Oui, il faut que cela soit su. Il y a encore tant de gens qui ne savent pas. Et il est si difficile de concevoir que cela ait pu se passer en plein XXe siècle, dans un pays si fier de sa culture
Je m’appelle Adrien Sterner et je suis connu pour avoir créé le premier métavers grandeur nature. J’y ai reproduit la réalité, la vraie réalité, l’entière réalité dans ses moindres détails. Toutes les rues de toutes les villes de tous les pays du monde sont imitées à l’identique, mieux que sur n’importe quelle maquette 3D. En gros, j’ai réussi à construire une planète B virtuelle où tout est bien meilleur que chez vous. [...] Grâce à moi, vous aurez oublié la sensation de l’ennui. Puisque votre vie n’a pas l’air palpitante, je suis heureux de pouvoir vous en offrir une deuxième. Place à votre anti-moi, bienvenue dans l’Antimonde !
Nous nous trouvons ici, quelques jours à peine après qu’une foule déchaînée a pensé qu’elle pouvait utiliser la violence pour faire taire la volonté du peuple, pour arrêter le cours de notre démocratie et nous chasser de ce sol sacré. Cela ne s’est pas produit, cela n’arrivera jamais, ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais. A tous ceux qui ont soutenu notre campagne, je suis honoré de la foi que vous avez placé en nous. A tous ceux qui ne nous ont pas soutenus, permettez-moi de dire ceci : écoutez-moi lorsque nous avancerons. Prenez la mesure de mon action et de mon coeur.
Qui a dit ça – est-ce que c'est Shakespeare ? – le pouvoir n'est jamais innocent. Pourquoi alors est-ce qu'on continue à rêver qu'on peut être dirigé par des gens bien ? Ceux qui veulent assez fort le pouvoir pour l'obtenir, ce sont ceux qui ont des egos monstrueux, des ambitions démesurées, ce sont tous des tyrans en puissance. Sinon ils ne voudraient pas cette place...
Le sens de l'histoire pour tous ces gens pétris de l'esprit des Lumières et du progrès scientifique, était ascendant, l'humanité s'extrayait du singe pour s'élever par petits bonds vers un avenir radieux. On partait d'un gribouillis et on arrivait à Michel-Ange, sans prendre le risque d'aller plus loin pour ne pas faire de peine, de même qu'on partait de la plus grande sauvagerie des hommes-bêtes, se coiffant avec un clou [...], pour atteindre le plus haut degré de civilisation, par exemple le beau Brummell prenant une matinée pour assortir ses gants à sa cravate, et puis comment on place un archevêque à table, et comment écrire à la veuve d'un général. Sauf qu'on peut aussi inverser le schéma : on part du plus haut, des splendeurs de Lascaux et on arrive à Auschwitz, et ce n'est plus du tout la même conception de l'histoire du monde. C'est une inexorable dégringolade.
Les mots, j'ai appris à les aimer tous, les simples et les compliqués que je lisais dans le journal du maître, ceux que je comprends pas toujours et que j'aime quand même, juste parce qu'ils sonnent bien. La musique qui en sort souvent est capable de m'emmener ailleurs, de me faire voyager en faisant taire ce qu'ils ont dans le ventre, pour faire place à quelque chose de supérieur qui est du rêve. Je les appelle des mots magiciens : utopie, radieux, jovial, maladrerie, miscellanées, mitre, méridien, pyracantha, mausolée, billevesée, iota, ire, parangon, godelureau, mauresque, jurisprudence, confiteor, et tellement d'autres que j'ai retenu sans effort, pourtant sans connaître leur sens
Pendant que les aliénées prennent place sur la piste ou sur les banquettes, les invités se relâchent et gloussent, s'esclaffent et crient lorsqu'ils effleurent la manche d'une folle, et si l'on venait à entrer dans cette salle de bal sans en connaître le contexte, on prendrait pour fous et excentriques tous ceux qui, ce soir, ne sont pas censés l'être.
Pour eux, la vie c’est le puits. Tu ne peux pas les tuer et ils t’achèveraient si tu t’élevais contre eux. Nous, nous ne sommes pas comme ça, nous avons besoin d’elle, de cette rage effrénée qui ne laisse aucun répit. Tes muscles s’agitent, toute ta peau papillonne, tu noircis de l’intérieur tandis qu’à l’extérieur ton corps rougeoie : elle fera de toi un homme meurtri à la quête désespérée de sa place dans le monde. Tu devras alors te chercher tous les motifs de haine, mépriser ce qui t’entoure et, plus important encore, te convaincre que cette rage est nécessaire
J'attendais cette phrase que le micro annonce : « les passagers pour Paris »… Les gens nous regardent nous précipiter sur le terrain. Oui, moi aussi je pars pour Paris, Messieurs ! Et cela me classe. Je suis le seul Nègre parmi tant de voyageurs blancs. Je prends place près d'un hublot. Personne ne veut s'asseoir près de moi. Tous les voyageurs passent en regardant le siège vide près du mien. Par affinité, ils vont s'asseoir près des autres passagers, afin qu'il y ait ton sur ton. Et je les comprends, je fais ainsi souvent, mais, ce soit je me rends compte jusqu'à quel point les couleurs divisent les hommes. Un passagers qui a dû prendre son courage à deux mains devient mon voisin. On ne se parle pas. Voisins quand même.
Pour des personnes comme toi et moi, le plus important, c’est la rage. Sans rage, nous serions incapables de trouver la force pour ôter la vie. Certains sont différents : ils obéissent à d’autres instincts ou ont grandi dans une violence inouïe ; ces gens-là te regardent depuis des cavernes inconnues. Pour eux, la vie c’est le puits. Tu ne peux pas les tuer et ils t’achèveraient si tu t’élevais contre eux. Nous, nous ne sommes pas comme ça, nous avons besoin d’elle, de cette rage effrénée qui ne laisse aucun répit. Tes muscles s’agitent, toute ta peau papillonne, tu noircis de l’intérieur tandis qu’à l’extérieur ton corps rougeoie : elle fera de toi un homme meurtri à la quête désespérée de sa place dans le monde. Tu devras alors te chercher tous les motifs de haine, mépriser ce qui t’entoure et, plus important encore, te convaincre que cette rage est nécessaire .
Le bonheur, en partant, avait le coeur aussi serré que le mien,
Son sourire en bandoulière, il est parti vers d'autres chemins,
Rencontrer ses pairs au détour des larmes et des chagrins,
Que versent pour un rien, tous ces pauvres humains...
Le bonheur, est parti, missionnaire, rallier d'autres fidèles,
Il veut plaider sa cause et convertir tous les rebelles,
Leur montrer à eux aussi, combien la vie est belle,
Si on lui laisse assez de place pour l'orner de ses dentelles...La joie d'un enfant ou la tendresse d'un couple brillent pour tous, elles sont toujours une place au soleil.
J'observais les touristes de Notre-Dame. Tous prenaient des photos, des millions de photos, sans discontinuer. Pas un ne regardait Paris de son oeil. Ils brandissaient un écran entre le monde et eux. Y avait-il encore la place pour l'éclosion d'un souvenir, d'une pensée ?
J'observais les touristes de Notre-dame. Tous prenaient des photos, des millions de photos, sans discontinuer. Pas un ne regardait Paris de son oeil. Ils brandissaient un écran entre le monde et eux. Y avait-il encore la place pour l'éclosion d'un souvenir, d'une pensée? Ces gens devaient gober les discours sur la "réalité augmentée" ânonnés par les marchands de gadgets. Ce bluff technologique, comme disait Jacques Ellul, me rendait triste. Il siphonnait la joie de vivre, il asséchait la fantaisie, le mystère de l'homme et sa poésie vive. De quoi avaient ils peurs, ces braves visiteurs, pour s'abriter derrière leurs blindages portatifs ?
Pour certaines natures, l'existence de tous les jours est un effort au-dessus de leurs moyens. Ou plutôt je crois qu'elles ont été créées pour trouver place dans une organisation sociale et morale qui ne serait pas celle d'ici-bas.
Notre peur la plus profonde n'est pas d'être inapte.
Elle est que nous puissions être doté d'un pouvoir sans commune mesure.
C'est notre clarté, pas nos zones d'ombres, qui nous effraie.
[Nous nous demandons "Qui suis-je pour être brillant, talentueux, fabuleux, splendide ?
En fait, quelle place ne méritez vous pas ? Vous êtes enfant de Dieu.]
On n'apporte rien au monde en se dévalorisant.
Il n'est pas éclairé de se faire plus petit que l'on est, simplement pour rassurer les autres autour de nous.
[Nous sommes nés pour manifester la gloire de Dieu, présente en nous.]
Nous sommes tous conçus pour briller, comme les enfants.
Ce n'est pas donné qu'à quelques-uns, c'est en nous tous.
En laissant briller notre propre lumière,
nous donnons inconsciemment aux autres le pouvoir d'en faire autant.
Si nous nous libérons de notre propre peur, notre présence seule pourra aussi libérer les autres.L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
C'est que j'ai des relations et des protections dans tous les gouvernements, des pertes et des chagrins sous tous les régimes. Car c'est seulement dans la mauvaise littérature que les vivants sont divisés en deux camps et n'ont aucun point de contact. Dans la réalité, tout est tellement entremêlé ! Il faut être d'une irrémédiable nullité pour ne jouer qu'un seul rôle dans la vie, pour n'occuper qu'une seule et même place dans la société, pour signifier toujours la même chose
La misère de l'Afrique : personne ne songe à changer le système - violence, corruption, barbarie à tous les étages. Chacun vise au contraire à l'utiliser pour se tailler une place au soleil.
De nouveau nous conduisions la nuit des automobiles auxquelles il manquait toujours quelque chose pour être en règle. De nouveau nous transportions des substances illicites que nous devions désigner par des noms de code et, même si nous ne travaillions plus à la destruction de la société, nous pouvions persister dans l'illusion réconfortante qu'elle-même n'avait pas renoncé à nous détruire, puisque de nouveau il nous fallait craindre les barrages, éviter les contrôles, et mentir avec aplomb lorsque nous étions obligés de nous y soumettre. De nouveau nous étions unis par des liens de circonstance, à la fois artificiels et forts comme tous ceux qu'engendre l'illégalité. Et par surcroît, ce qui cimentait le groupe et le vouait à l'opprobre de la société procurait du plaisir, un plaisir qui remplissait le corps et l'esprit au point de ne laisser de place pour rien d'autre, un plaisir qui dispensait de tout commerce, y compris de l'usage de la parole : jusque-là, rien n'avait eu la force de me faire taire ainsi, même du dedans.
Il faudrait être placé hors de la vie, et, par ailleurs, la connaitre aussi bien que quiconque, que beaucoup, que tous ceux qui l'ont vécue, pour avoir seulement le droit d'aborder le problème de la valeur de la vie.
La mode - cette dictature de l'éphémère qui s'exerce sur les transfuges de l'éternel - remplace la tradition abolie ; la variation tient lieu de variété et la diversion fleurit sur le tombeau de la diversité. Ainsi les engouements collectifs se succèdent sans laisser de traces : la feuille morte voltige d'un lieu à l'autre, mais tous les lieux se valent pour elle, car son unique patrie est dans le vent qui l'emporte...
La pauvreté, d'abord, n'a jamais été un malheur pour moi: la lumière répandait ses richesses. Même mes révoltes en ont été éclairées. Elles furent presque toujours, je crois pouvoir le dire sans tricher, des révoltes pour tous, et pour que la vie de tous soit élevée dans la lumière. Il n'est pas sûr que mon coeur fût naturellement disposé à cette sorte d'amour. Mais les circonstances m'ont aidé. Pour corriger une indifférence naturelle, je fut placé à mi-distance de la misère et du soleil. La misère m'empêcha de croire que tout est bien sous le soleil et dans l'histoire; le soleil m'apprit que l'histoire n'est pas tout. Changer la vie, oui, mais non le monde dont je faisais ma divinité. C'est ainsi, sans doute, que j'abordai cette carrière inconfortable où je suis, m'engageant avec innocence sur un fil d'équilibre où j'avance péniblement sans être sûr d'atteindre le but. Autrement dit, je devins un artiste, s'il est vrai qu'il n'est pas d'art sans refus ni sans consentement.
La superstition n’est pas mon fort ; les cultes m’irritent vite. Mais, entre tous les faux dieux, j’aurais un faible pour le soleil. La place qu’il tient dans ma vie semble exagérée à la plupart de mes amis. Poussant jusqu’à l’absurde des convictions coperniciennes, je ne suis pas loin de faire tourner autour de lui mon existence entière.
A la place de Delanoë, je supprimerais carrément la voiture en ville et je remplacerais tous les transports en commun par des pousse-pousse, ce qui nous permettrait peut-être de repiquer à Pékin l'organisation des JO pour 2008!

Simone Veil
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