Citation sur la fin
Découvrez une citation sur la fin - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sur la fin issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 220 citations et proverbes sur le thème sur la fin.
220 citations
Grand entre les grands, Pollock lui-même abandonne le dripping, son éblouissante technique d'éclaboussures sur la toile à plat par terre, à la fin de 1952.
La droiture : L'homme supérieur porte attention à ses devoirs et vigilance à ses paroles, il aime fréquenter ceux qui ont de droits principes, afin de régler sur eux sa conduite.
Après douze années de dictature, l'Uruguay accède enfin à la démocratie. Dans les rues de Montevideo en liesse, les pauvres se frottent les moignons et se tapent sur les croûtes.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
Lorsque nous nous observons de là-haut, il est terrifiant de constater combien peu de choses nous savons sur nous-mêmes, sur notre raison d'être et notre fin, pensai-je tandis que nous laissions la côté derrière nous et volions par-dessus la mer d'un vert gélatineux.
Le soir, une monitrice me lit, assise sur le rebord du lit, les lettres dans lesquelles ma mère décrit notre nouvel appartement, ma nouvelle chambre à coucher, ma nouvelle école, mon nouveau quartier, bref, la nouvelle disposition de notre nouvelle vie, lorsque je rejoindrai Paris. Du fin fond de la campagne où l’on m’a expédiée, au milieu des cris d’enfants redevenus sauvages en l’absence de leurs parents, tout cela me paraît bien abstrait. La monitrice a souvent l’œil humide et la voix brisée tout en me faisant à haute voix la lecture de ces courriers maternels faussement enjoués. Après ce rituel du soir, il arrive qu’on me retrouve la nuit, à cause d’une crise de somnambulisme, en train de descendre les escaliers à reculons, en direction de la porte de sortie.
Enfin, comme on rêve souvent qu'on rêve, entassant un songe sur l'autre, la vie n'est elle-même qu'un songe, sur lequel les autres sont entés, dont nous nous éveillons à la mort.
Et souvent je dis que le dernier livre que je voudrais écrire vers la fin porterait sur le rôle de la bêtise dans l'Histoire.
Tu as guéri. Tu as retrouvé un corps de vivant, un cœur de vivant, un visage de vivant. La mort est partie. La petite fille est revenue. Et tu as décidé, en ce retour, parce que tu pouvais enfin marcher et vivre, de te rendre toi-même sur les lieux de ton enfance - ceux que tu avais perdus, ce qui t'avait tué. Tu avais dix-sept ans alors, à peine, et tu as pris l'avion, seule, pour retourner à Hanoï.
Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste: on jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.
Les rares nuits où l'Alarm n'avait pas sonné, la prévoyance du chef de camp remplaçait les alertes par des appels, parfaitement inutiles puisqu'ils doublaient ceux qui nous rassemblaient sur la place au retour du travail. Vers onze heures du soir, quand, rassurés par le silence et rompus de fatigue, nous étions enfin endormis, les cris des Stubendienste interrompaient notre repos. Il fallait s'habiller comme les autres nuits, gagner l'Appelplatz, s'aligner, immobiles, au garde-à-vous, attendre le signal de la dislocation. L'hiver, quand la neige tombait ou que soufflait le vent glacé du nord, l'appel se prolongeait deux ou trois, quelquefois cinq heures. Là, sous les faisceaux jaunes et glacés des projecteurs, douze mille hommes grelottants regardaient tomber les morts, sans qu'il leur fût permis de faire un geste, de se pencher sur eux, de leur dire un dernier adieu.
Tout était si long, si lent, avançant le long de son sillon sur la mer sans fin, à la fois différent et toujours le même.
Qu'importent, en fin de compte, les dommages matériels ? Et l'adversité même ! Comme le disait Sénèque, il faut refuser de laisser son âme s'engloutir dans la nuit et, même dans le malheur, qui arrive de toute manière, rester conscient « qu'il est plus humain de rire de la vie que d'en pleurer ». Étudiant, j'avais lu et même traduit Sénèque, mais de façon académique, sans m'interroger sur le sens profond de ses pensées ni sur leur usage pratique. Pourquoi porter un masque grimaçant, pourquoi souffrir du regard d'autrui ? Pourquoi vivre dans la crainte de l'opinion, pourquoi refuser de détonner ? Pourquoi en un mot comme en cent, s'avouer vaincu ?
Que ne puis-je monter sur un dragon céleste - Pour respirer l'essence du soleil et de la lune - Afin d'être immortel!
Poèmes de Nous ne savons pas, en vérité, ce que sont les mondes. Mais nous pouvons guetter les signes de leur fin. Le déclenchement d'un obturateur dans la lumière d'été, la main fine d'une jeune femme fatiguée, posée sur celle de son grand-père, ou la voile carrée d'un navire qui entre dans le port d'Hippone, portant avec lui, depuis l'Italie, la nouvelle inconcevable que Rome est tombée.
Je traîne, je traîne ma vie et mon passé. Je n’ai pas le désir d’écrire. Rien. Le départ, un voyage pour mettre fin à cet état. Y mettre fin, ce n’est pas sûr. Tout croule, hors certain sens de vivre, et le travail. Amour, gloire, beauté, jeunesse, ah ! tout ça, des cendres. À quoi m’accrocher ? que sera demain ma vie, la vie ? Elle ne me semble parfois plus possible. Et cependant, je vivrai, je crois. Et le désire.
Le coeur de Simon migre maintenant, il est en fuite sur les orbes, sur les rails, sur les routes, déplacé dans ce caisson dont la paroi plastique, légèrement grumeleuse, brille dans les faisceaux de lumière électrique, convoyé avec une attention inouïe, comme on convoyait autrefois les coeurs des princes, comme on convoyait leurs entrailles et leur squelette, la dépouille divisée pour être répartie, inhumée en basilique, en cathédrale, en abbaye, afin de garantir un droit à son lignage, des prières à son salut, un avenir à sa mémoire –on percevait le bruit des sabots depuis le creux des chemins, sur la terre battue des villages et le pavé des cités, leur frappe lente et souveraine, puis on distinguait les flammes des torches (…) mais l'obscurité ne permettait jamais de voir cet homme, ni le reliquaire posé sur un coussin de taffetas noir, et encore moins le coeur à l'intérieur, le membrum principalissimum, le roi du corps, puisque placé au centre de la poitrine comme le souverain en son royaume, comme le soleil dans le cosmos, ce coeur niché dans une gaze brochée d'or, ce coeur que l'on pleurait.
La gentillesse et les égards dint ils m'entouraient n'en étaient que plus méritoires, car enfin un lourd voile d'ombre pesait encore sur mon cas.
Si l'enfant s'est présenté de la mauvaise manière ou, pire, s'il est venu au monde sans vie, l'accoucheuse a séché les larmes des pères, apaisé les angoisses devant l'interminable série de sacrifices à effectuer pour conjurer le sort. C'est elle encore, qui a préparé le mélange d'herbes devant servir lorsque les parents du mort-né seraient scarifiés. Ici, on leur trace un symbole sur la peau, afin que la mort se souvienne qu'elle leur a déjà ravi un enfant.
Je rassemble en moi les principaux traits de tous les grands hommes: comme Montaigne, je suis nul en calcul; comme Cervantes, j'oublie toujours de reboutonner ma braguette; comme Leibniz, je m'endors sur une chaise à la fin des repas.
Rentrés enfin tout à fait dans le monde corporel, nous apercevons bientôt l'usage que nous pouvons faire de la géométrie et de la mécanique, pour acquérir sur les propriétés des corps les connaissances les plus variées et les plus profondes.
En 1991, je suis tombé amoureux de Sylvie une ravissante danseuse. Il ne s'est rien passé, mais je n'en mangeais plus, n'en dormais plus. Un soir, dans ma grosse berline de chanteur, j'ai posé ma main sur la sienne. Elle l'a retirée en me disant doucement : Dave, vraiment, je t'aime beaucoup mais les hommes, je les aime jeunes et je les aime noirs... Fin de l'histoire d'amour.
L'automobiliste manque de civilité. Personne n'a encore eu l'idée d'installer les jours de départ en vacances un poste de télévision sur la plage arrière afin que celui qui le suit puisse se détendre pendant les longues heures d'attente.
Le petit prince s’assit sur une pierre et leva les yeux vers le ciel.
Je me demande, dit-il, si les étoiles sont éclairées afin que chacun puisse un jour retrouver la sienne.
L'Autre Face de l'art de Pierre Restany
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Sagesses de Confucius
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Textes de scènes (1988) de Pierre Desproges
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
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Les Anneaux de Saturne (1995) de W. G. Sebald
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Pensées (1670), VII, 434 de Blaise Pascal
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Le spectateur engagé : Entretiens avec Jean-Louis Missika et Dominique Wolton de Raymond Aron
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Les os des filles (2019) de Line Papin
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Pensées (1670), 210 de Blaise Pascal
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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Onitsha (1991) de J. M. G. Le Clézio
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Le Prince d'Aquitaine de Christopher Gérard
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Li Po
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Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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Journal intime, 1928-1936, (1989) de Eugène Dabit
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Réparer les vivants (2013) de Maylis de Kerangal
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L'Humeur vagabonde (1955) de Antoine Blondin
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La saison de l'ombre (2013) de Léonora Miano
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Sans référence de Georg Christoph Lichtenberg
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Discours préliminaire à l'Encyclopédie (1751) de Jean le Rond d'Alembert
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J' irais bien refaire un tour (2012) de Wouter Otto Levenbach, dit Dave
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Je suis un être exquis (2001) de Jean Gouyé, dit Jean Yanne
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Le Petit Prince (1943) de Antoine de Saint-Exupéry
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