Citation venir au monde
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Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème venir au monde.
60 citations
Je serai toujours une personne distincte mais le mariage consiste à trouver une base commune, un lieu qu'on puisse appeler son chez-soi. Un lieu où revenir lorsqu'on est fatigué de mener ses combats au dehors, dans le monde.
Je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe:
Où, jusqu'au souvenir, tout s'use et tout s'efface;
Où tout est fugitif, périssable, incertain;
Où le jour du bonheur n'a pas de lendemain!Si le monde n'était pas si beau, on risquerait tous de devenir cyniques.
Très tôt, j'ai sauté dans le vide. Très vite, j'ai su que désobéir, c'était chercher. A ma façon, j'ai caressé le monde ! J'ai ri. J'ai bu. J'ai joué du violon. J'ai connu des passions funestes. Mais pas que ça. Il faut que ça se sache... J'ai souvent pris la mauvaise porte. J'ai vécu l'instant délicieux du danger, la cruauté du désir, la jalousie, la vengeance et l'envie de devenir un salaud absolu. Inutile, n'est-ce pas, d'ajouter le remords au regret. Là-dessus, pour le moment, je me tais.
Memento mori […]. C’est pour se rappeler la mort et mieux s’y préparer ! […] On n’a pas à accomplir des choses extraordinaires pour devenir des saints. La sainteté est dans l’exercice des détails les plus anodins de la vie quotidienne avec amour et en communion avec Dieu ! […] La Kadicha est le lieu idéal pour la prière et la solitude. Ici, j’ai atteint une paix intérieure à laquelle je ne renoncerais pour rien au monde ! […] Chacun a une mission dans la vie. Tout être doit écouter Dieu et faire ce qu’Il lui dit. Moi, il m’a demandé de venir ici, je suis venu. C’est ici, dans cette grotte de la Kadicha, que je souhaite mourir !
Venir au monde, c'est le découvrir déjà constitué. Alors même que tout est pour nous commencement, tout est en lui continuité. Il n'est rien que nous voyions qui ne s'ensuive de quelque chose que nous n'avons pas vu.
Le souvenir... Le souvenir de ceux que nous avons aimés et qui ne sont plus parmi nous, le souvenir de la beauté que nous a léguée le passé, le souvenir de tous ceux qui nous ont permis d’être ce que nous sommes... Un monde sans souvenirs serait la platitude et l’ennui mêmes ? ne serait-ce que parce qu’il n’y aurait plus rien à combattre et à incliner. Voyez quelle nostalgie éveille au cœur des foules tout ce qui évoque les coutumes ancestrales, les langages du terroir, les rites de la communauté, les habitudes de l’enfance, les traditions de la patrie, grande ou petite, de la région, de la province, de la vallée, du fleuve, de la forêt, de l’île ? tout ce qui tranche enfin sur la morne grisaille de ce que l’un des nôtres ? Jean Cocteau ? appelait si joliment « l’espéranto visuel ». Renoncer à ses traditions, c’est accepter de devenir dans le temps ce que sont dans l’espace les personnes déplacées, c’est tomber dans la condition désastreuse de réfugié de l’histoire. « Car, nous dit un écrivain qu’admirait Roger Caillois ? Antoine de Saint-Exupéry ?, les rites sont dans le temps ce que la demeure est dans l’espace (...). Et je ne connais rien au monde qui ne soit d’abord cérémonial. Car tu n’as rien à attendre d’une cathédrale sans architecte, d’une année sans fêtes (...) ni d’une patrie sans coutumes. »
Le désir est un mouvement plutôt qu'un lieu. Mais, plus encore, le souvenir de cette longue poursuite, dont la fin était indiscernable du début, dit un certain type de rapport au monde : l'expérience rejetée au profit du souvenir, le centre rejeté au profit de la marge. Un sens du beau planant tout juste hors de votre portée, que vous puissiez considérer, auquel vous puissiez réfléchir. La réflexion devient, à sa façon, une autre forme de possession.
Lorsqu'une personne n'est pas très sûre de ses désirs, de ses pensées ou de ses projets, le conformisme lui apporte les bénéfices du prêt-à-penser culturel et des comportements conformes. Le sentiment, au fond de soi, d'appartenir à un groupe, de venir d'un couple originel étaye l'acquisition de nos comportements, l'assimilation de nos valeurs et nos manières de nous insérer dans notre monde.
Tout! Tout a disparu, sans échos et sans traces,
Avec le souvenir du monde jeune et beau.Le sens de l'histoire pour tous ces gens pétris de l'esprit des Lumières et du progrès scientifique, était ascendant, l'humanité s'extrayait du singe pour s'élever par petits bonds vers un avenir radieux. On partait d'un gribouillis et on arrivait à Michel-Ange, sans prendre le risque d'aller plus loin pour ne pas faire de peine, de même qu'on partait de la plus grande sauvagerie des hommes-bêtes, se coiffant avec un clou [...], pour atteindre le plus haut degré de civilisation, par exemple le beau Brummell prenant une matinée pour assortir ses gants à sa cravate, et puis comment on place un archevêque à table, et comment écrire à la veuve d'un général. Sauf qu'on peut aussi inverser le schéma : on part du plus haut, des splendeurs de Lascaux et on arrive à Auschwitz, et ce n'est plus du tout la même conception de l'histoire du monde. C'est une inexorable dégringolade.
On vient au monde avec tellement d’espoir, Nathy. Devenir Hemingway, McCartney, Pelé, ou même Bill Clinton, Michael Jackson. Il y a tellement de rêveurs qui naissent dans chaque coin de la planète, des milliards de rêveurs, et tellement peu d’élus…
C'était en partie pour cela que j'aimais autant lire. Pas pour fuir la vie réelle au profit d'un univers imaginaire, mais pour revenir vers le monde transformé par mes lectures. Plus riche de mes voyages et de mes rencontres dans la fiction et désireux de les réinvestir dans le réel.
Fuguer tôt est banal. Se quitter à la fin de l'adolescence avec la certitude que l'on ne renouera pas avec son histoire personnelle, que l'on part très loin pour ne plus revenir, que l'on se soustrait au monde réel, est beaucoup moins fréquent.
Naître, c’est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
Sachant bien lire, l’écolier, qui est très curieux, aurait bien vite, avec sept ou huit livres choisis, une idée, très générale, il est vrai, mais très haute de l’histoire de l’espèce humaine, de la structure du monde, de l’histoire propre de la terre dans le monde, du rôle propre de la France dans l’humanité. Le maître doit intervenir pour aider ce premier travail de l’esprit ; il n’est pas nécessaire qu’il dise beaucoup, qu’il fasse de longues leçons ; il suffit que tous les détails qu’il leur donnera concourent nettement à un tableau d’ensemble. De ce que l’on sait de l’homme primitif à l’homme d’aujourd’hui, quelle prodigieuse transformation ! et comme il est aisé à l’instituteur, en quelques traits, de faire sentir à l’enfant l’effort inouï de la pensée humaine ! [...]
Si cela pouvait leur être d'un quelconque secours, j'aurais à leur intention mille mots. Je leur parlerais d'amour et d'apaisement, de leur droit inaliénable à la lumière de lendemains flamboyants. Je leur dirais de résister plutôt que d'endurer. Si la résistance peut prendre l'apparence de l'endurance, elle n'a pas le même sens. Elle aboutit ailleurs. Je leur dirais d'inventer et de croire. Ils me répondraient en riant que cette génération n'a pas les moyens d'une politique, qu'elle peut seulement vivre la vie qui lui a été donnée, une vie de crotte de chèvre jonchant la poussière. Ils me répondraient que cette génération n'a rien à faire au monde, puisque ceux qui l'y ont fait venir se sont détournés d'elle. Où aller en partant de nulle part ?
Il ne faut pas avoir honte de se souvenir qu'on a été un « crevard », un squelette, qu'on a couru dans tous les sens et qu'on a fouillé dans les fosses à ordures [...]. Les prisonniers étaient des ennemis imaginaires et inventés avec lesquels le gouvernement réglait ses comptes comme avec de véritables ennemis qu'il fusillait, tuait et faisait mourir de faim. La faux mortelle de Staline fauchait tout le monde sans distinction, en nivelant selon des répartitions, des listes et un plan à réaliser. Il y avait le même pourcentage de vauriens et de lâches parmi les hommes qui ont péri au camp qu'au sein des gens en liberté. Tous étaient des gens pris au hasard parmi les indifférents, les lâches, les bourgeois et même les bourreaux. Et ils sont devenus des victimes par hasard.
La seule chose importante, pour moi comme pour tous les humains, c'est d'être venu au monde. Au monde ! Naître, c'est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
La fin de l'homme est de devenir heureux, véritablement heureux, et non pas cultivé, ni raffiné. Et si le bonheur du monde conduit au désespoir, c'est qu'il n'est pas le bonheur vrai.
Au nom du grand avenir viril, fécond et novateur du monde, je condamne le crétinisme qui pousse les hommes à un sursaturage de leurs pareils, uniquement en vue de conserver leur capitalisme masculin.
Loin des jeux serviles, je découvrais qu'on peut ne pas mimer le monde, n'y intervenir point, du coin de l'oeil le regarder se faire et défaire, et dans une douleur réversible en plaisir, s'extasier de ne participer pas : à l'intersection de l'espace et des livres, naissait un corps immobile qui était encore moi et qui tremblait sans fin dans l'impossible vœu d'ajuster ce qu'on lit au vertige du visible.
Frédéric: On doit sortir un jour de son monde d'enfant et accepter que tout ne soit pas aussi beau que lorsqu'on était petit. - Jeannette: Je ne veux pas devenir grande. Je ne veux pas apprendre à dire oui. Tout est trop laid.
L'amour, c'est mieux que de venir au monde ; c'est aller au ciel.
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Babyji (2005) de Abha Dawesar
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Méditations poétiques (1820), la Foi de Alphonse de Lamartine
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Moon Palace de Paul Auster
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Gipsy Blues (2014) de Jean Vautrin
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Kadicha (2011) de Alexandre Najjar
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Traité de la banalité (2005) de Nicolas Grimaldi
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Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981
de Jean d'Ormesson
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L'étreinte fugitive (2009) de Daniel Mendelsohn
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Mémoire de singe et paroles d'homme (1983) de Boris Cyrulnik
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Poèmes barbares (1862), La dernière vision de Charles Marie René Leconte de Lisle
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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J'ai dû rêver trop fort (2019) de Michel Bussi
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La vie secrète des écrivains (2019) de Guillaume Musso
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Bartabas (2004) de Jérôme Garcin
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Les désorientés (2012) de Amin Maalouf
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La Dépêche,journal de la démocratie du midi, 15 janvier 1888 de Jean Jaurès
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Contours du jour qui vient (2006) de Léonora Miano
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Récits de la Kolyma (1978) de Varlam Chalamov
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Les désorientés (2012) de Amin Maalouf
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Journal intime de Miguel de Unamuno
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Jésus-Christ Rastaquouère (1920) de Francis Picabia
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Vies minuscules (1984) de Pierre Michon
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Roméo et Jeannette de Jean Anouilh
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Le jardin des délices (1975) de Roch Carrier
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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