Citation C est comme si
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Une Sélection de 200 citations et proverbes sur le thème C est comme si.
200 citations
Je sais tout si tu savais, si tu savais comme je sais tout ce que je sais avant même de l'avoir vécu, j'ai douze ans mais bientôt j'en aurai quinze, et puis vingt, et vingt-cinq, j'ai vingt-cinq ans et je suis une femme seule dans un bar et j'attends ; j'ai trente ans et je suis belle et je porte des talons malgré ma promesse juré-craché de ne jamais le faire ; j'en ai quarante et je saute de train en train pour aller retrouver mon amant, puis cinquante, avec les yeux pochés d'avoir trop aimé, je n'ai jamais été si belle, et bientôt c'est la fin.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Le hasard, si vous me permettez la comparaison, est comme Dieu qui, chaque seconde, se manifeste sur notre planète. Un Dieu incompréhensible, avec des gestes incompréhensibles adressés à ses créatures incompréhensibles. Dans cet ouragan, dans cette implosion osseuse, se réalise la communion. La communion du hasard avec ses traces et la communion de ses traces avec nous.
Le jour où tu verras la vie comme elle mérite d'être vue, tu sauras alors qu'il n'y a que la naissance et la mort et, entre les deux, le temps. Ainsi, en un tournemain, connaîtras-tu la valeur des choses auxquelles, aujourd'hui, tu n'attaches guère d'importance : l'harmonie des sentiments et l'équilibre intérieur; cela ressemble à une honnête boutique du coin de la rue, avec son enseigne, une de ces boutiques que l'on tient de quelque arrière-grand-père. Roulant comme sur des rails invisibles, ce commerce confère une sorte de solidité à la vie. Qui dit solidité dit aussi immobilité, et c'est donc de ces entreprises sans espoir. Mais ces dernières sont pleines de sagesse si l'on admet que l'espoir est un sentiment fait pour les gens qui ne supportent pas le présent.
Rien n'est plus honorable, et ne fait plus d'honneur à la vertu, que la confiance avec laquelle on s'adresse aux personnes dont on connaît parfaitement la probité. On sent qu'il n'y a point de risque à courir. Si elles ne sont pas toujours en état d'offrir du secours, on est sûr qu'on en obtiendra du moins de la bonté et de la compassion. Le coeur, qui se ferme avec tant de soin au reste des hommes, s'ouvre naturellement en leur présence, comme une fleur s'épanouit à la lumière du soleil, dont elle n'attend qu'une douce influence.
Il y a des choses qu'on n'a pas du tout envie de croire possibles. On les pousse tout au bout de son cerveau, dans un petit coin sombre où on ne les voit plus, comme on planque des trucs sous le lit dans sa chambre. Enfin, moi, c'est comme ça que je fais, et si ça marche avec les papiers de bonbons, ça peut marcher avec d'autres trucs.
Ne vous trompez pas sur votre devoir comme je me suis trompé sur le mien. Pensez-y bien, c'est au nom de la morale et de la religion que je suis devenu un meurtrier. Ne vous attachez donc pas à des principes si ces principes doivent faire couler le sang. C'est justement une loi trompeuse que celle qui nous conduit aux sacrifices.
Ce n'est pas avec l'image que la parole entretient un rapport, mais avec un élément purement cinématographique: le dynamisme du plan, même si, comme dans ces deux cas, il est obtenu par la tension dans l'immobilité.
La lune est une faucille nette et, de temps à autre seulement, un lambeau de nuage se heurte à sa lame. Si vous tendez votre main devant vous, elle s'emplit d'argent, comme celui d'un trésor dérobé. Vous le rendez aux ténèbres en fermant votre poing, et même les étoiles sifflent le spectacle. Certaines tombent quand vous regardez bien le ciel. Une poignée de planètes glisse dans la rivière - trop rapidement pour qu'on les attrape, même avec un filet.
J'ai reçu le choc des livres venus de l'Europe de l'Est, de leur intelligence aiguë et comme aguerrie par la dureté des épreuves subies, de leur humour (je pense à Gombrowicz). Et cela vaut aussi pour l'émergence, pendant toutes ces années, d'œuvres que l'oppression avait tenues sous le boisseau : celles d'Akhmatova, de Tsvétaieva, de Boulgakov, de Chalamov, ou plus modestement, de l'étonnant Journal des années 30 et 40 de Mihail Sebastian.
Si vous dites : II fait beau temps, et que vous disiez vérité, il fait donc beau temps. Voilà pas une forme de parler certaine ? Encore nous trompera-t-elle. Qu'il soit ainsi, suivons l'exemple. Si vous dites : Je mens, et que vous disiez vrai, vous mentez donc. L'art, la raison, la force de la conclusion de cette-ci sont pareilles à l'autre ; toutes fois nous voila embourbés. Je vois les philosophes Pyrrhoniens qui ne peuvent exprimer leur générale conception en aucune manière de parler; car il leur faudrait un nouveau langage. Le notre est tout formé de propositions affirmatives, qui leur sont de tout ennemies. De façon que, quand ils disent : « Je doute », on les tient incontinent à la gorge pour leur faire avouer qu'au moins ils assurent et savent cela, qu'ils doutent. [...] Cette fantaisie est plus sûrement conçue par interrogation : « Que sais-je ? » comme je la porte à la devise d'une balance.
Si tu veux séduire une femme, il faut que tu arrives à la persuader qu'elle est unique, que tu n'agis pas avec elle comme avec les autres, qu'elle reçoit quelque chose que les autres n'ont pas.
Pourquoi des cascades ? C'est comme demander à Gene Kelly pourquoi il danse ? J'avais 4 ans et demi. J'avais un jouet parachute. J'ai voulu faire pareil. Je me suis fait un parachute avec mes draps, je suis monté sur le toit. Quand je me suis lancé, je me suis dit : ce n'est pas une bonne idée... J'ai touché le sol si durement que j'ai vu des étoiles pour la première fois en plein jour. Je me suis dit : c'est intéressant.
Je considère Ombre est Lumière comme l’album emblématique de l’esprit IAM. Il est le fondement et la base du groupe. Comme De la planète Mars, il s’illustre par son dosage savant d’humour et de textes engagés, contre le racisme ordinaire, la délinquance en col blanc, ou bien le fondamentalisme religieux. Mais dans ce disque nous avons choisi d’élargir notre propos. Avec Joe, nous écrivons souvent nos textes intimistes sur le registre du storytelling, cette manière de raconter les histoires caméra à l’épaule.
Quand on est un homme d'action comme moi, on fonce. On regarde un peu dans le rétro mais pas trop. Et puis là, d'un seul coup, je me suis dit : « Tiens, ce ne serait pas si mal de scruter un peu en arrière, d'essayer de comprendre ce scénario incroyable que j'ai la chance de vivre depuis ma naissance.»
Le rôle de Claude Lelouch, je le joue maintenant depuis soixante-dix-huit ans et je ne m'en suis jamais lassé. C'est un rôle absolument passionnant, rien n'est figé, tout s'agite, le scénario se modifie chaque seconde. C'est l'aventure, avec un point d'interrogation. En y réfléchissant, je me dis que j'ai vraiment eu de la chanceSi mon dernier film faisait vingt millions d'entrées, cela changerait la donne. L'industrie cinématographique s'en verrait transfigurée. Les gens du métier se diraient : « Puisque Mocky a réussi avec un film bizarre, pourquoi ne pas nous mettre, nous aussi, à faire des films bizarres ? » Seulement voilà : comme les niaiseries formatées ont du succès, on en sort treize à la douzaine, tout en laissant des Mocky continuer à tourner dans leur coin des films qui croupissent au frigidaire. Car, c'est bien connu, on ne prête qu'aux riches.
Protester, c'est refuser d'être réduit à rien et forcé au silence. Au moment même où une protestation a lieu, si elle a lieu, alors il y a une petite victoire. Le moment, bien que passé comme tout moment, acquiert un caractère indélébile. Il passe, mais il a été imprimé. Une protestation n'est pas seulement un sacrifice accompli en vue d'une alternative, d'un futur plus juste ; c'est une rédemption inconséquente du présent. Le problème est comment continuer à vivre avec l'adjectif inconséquent.
L'aube se lève. Telle une prière inutile sur un désert sourd, misérable et nu. Épaves oubliées par une mer volatilisée depuis des millénaires, quelques rochers s'effritent dans la poussière ; çà et là, enguirlandés de coloquintes vénéneuses, de maigres bras de broussailles soulignent les berges de jadis sur lesquelles des acacias solitaires se sont crucifiés puis, plus rien – rien de ce que l'on espère entrevoir –, ni caravane providentielle, ni cahute salutaire, pas même la trace d'un bivouac. Le désert est d'une perversité !... C'est un code piégé, le désert, un dédale souverain et fourbe où les témérités courent à leur perte, où les distraits s'évanouissent parmi les mirages plus vite qu'une feinte, où pas un saint patron ne répondrait aux appels du naufragé afin de ne pas se couvrir de ridicule ; un territoire d'échec et d'adjuration, un chemin de croix qui n'a de cesse de se ramifier, un envers du décor où l'entêtement se mue en obsession et la foi en folie. Ci-gît la vanité de toute chose en ce monde, semble clamer la nudité des pierres et des perspectives. Car, ici, tout retourne à la poussière, les montagnes taciturnes et les forêts luxuriantes, les paradis perdus comme les empires bâclés, jusqu'au règne claironnant des hommes… Ici, en ces immensités reniées des dieux, viennent abdiquer les tornades et mourir les vents bredouilles à la manière des vagues sur les plages sauvages puisque seule la course inexorable des âges est invincibilité et certitude. Au loin, très loin, là où la terre commence à s'arrondir, l'horizon se tient immobile, piètre et livide, comme si la nuit l'avait tenu en haleine jusqu'au matin…
J'irais presque jusqu'à dire que cette même chose, se connaître soi-même, est tempérance, d'accord en cela avec l'auteur de l'inscription de Delphes. Je m'imagine que cette inscription a été placée au fronton comme un salut du dieu aux arrivants, au lieu du salut ordinaire « réjouis-toi », comme si cette dernière formule n'était pas bonne et qu'on dût s'exhorter les uns les autres, non pas à se réjouir, mais à être sages. C'est ainsi que le dieu s'adresse à ceux qui entrent dans son temple, en des termes différents de ceux des hommes, et c'est ce que pensait, je crois, l'auteur de l'inscription à tout homme qui entre il dit en réalité : « Sois tempéré. » Mais il le dit, comme un devin, d'une façon un peu énigmatique ; car « Connais-toi toi-même » et « Sois tempéré », c'est la même chose, au dire de l'inscription et au mien. Mais on peut s'y tromper : c'est le cas, je crois, de ceux qui ont fait graver les inscriptions postérieures : « Rien de trop » et « Cautionner, c'est se ruiner. »
J'ai besoin qu'il parle, de savoir qui sont ses complices, ce qu'ils comptent faire de nous, où nous sommes ; j'ai surtout besoin de mesurer notre chance de nous en sortir, d'y croire avec la force du désespoir comme croit au miracle le condamné qui a épuisé tous les recours et qui refuse de renoncer à son combat. Le garçon me paraît accessible. Qui sait ? Il n'est point de criminel totalement réfractaire à l'émotion ; tant qu'il dispose d'un ersatz d'âme, aussi enfoui soit-il dans sa bestialité, il est toujours possible de l'atteindre pourvu que l'on décèle une rainure dans sa cuirasse.
Libérer la voix, ce n'est pas travailler avec l'appareil vocal en fixant son attention sur lui, mais il faut au contraire travailler comme si le corps chantait, le corps parlait.
Sans référence de Ce n'est pas sans un énorme pincement au cœur qu'on quitte la présentation d'un journal télévisé comme Le 13 heures, devenu un rendez-vous quotidien pour des millions de Français avec 8 500 journaux présentés, 115 000 reportages tournés jusque dans les plus petits villages de France, 15 000 magazines sur les cultures régionales et l'immense patrimoine d'un pays que j'aime tant. Aujourd'hui, j'éprouve de la fierté mais aussi ce curieux sentiment d'abandonner ceux avec qui j'ai déjeuné chaque jour durant toutes ces années à 12 h 58 très exactement, au point que j'avais l'impression de faire partie de leur vie...
C'est donc ainsi qu'on traite les hommes comme des singes! On les bat et on les fait danser.
Je ne condamne pas les femmes de 50 ans, mais c'est comme ça : je n'aime pas avoir le même âge que les femmes avec lesquelles je sors. Ce qui ne m'empêche pas de trouver Sophie Marceau ou Julia Roberts sublimes ! Il y a des femmes qui aiment aussi les hommes plus jeunes
On marche vraiment sur la tête. Ou, comme dirait ma grand-mère, qui n'est pas dénuée de sagesse, le monde « ne tourne pas rond ma petite-fille ». « Tous les gens très intelligents qui gouvernement nos vies apportent plus de problèmes que de solutions, je les appelle les fournisseurs de crises ! » a-t-elle coutume de me dire. Sa remarque me fait penser à une maxime de Frédéric Dard : « Le bon sens, c'est ce qui permet d'être écouté quand vous n'êtes pas intelligent » disait avec une ironie cinglante, l'auteur de San-Antonio résumant ainsi la prétendue opposition entre intelligence et bon sens. Une dichotomie qui nous aveugle et nous éloigne du vrai chemin.

Emmanuelle Richard
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Alfred de Vigny
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Roberto Bolano
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Milena Jesenská
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Abbé Prévost
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Anne Percin
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Arthur Miller
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Jean Marie Maurice Schérer, dit Eric Rohmer
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Laura Kasischke
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Pierre Pachet
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Michel de Montaigne
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Jo Nesbø
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Tom Cruise
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Philippe Fragione, dit Akhenaton
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Claude Lelouch
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Jean-Pierre Mocky
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John Berger
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Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Platon
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Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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Jerzy Grotowski
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Jean-Pierre Pernaut
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Voltaire
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Yann Moix
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Sonia Mabrouk
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