Citation C est moi
Découvrez une citation C est moi - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase C est moi issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 350 citations et proverbes sur le thème C est moi.
350 citations
Dis-moi donc, lorsqu'Othon s'est offert à Camille,
A-t-il paru contraint? A-t-elle été facile?
Son hommage auprès d'elle, a-t-il eu plein effet?
Comment l'a-t-elle pris? Et comment l'a-t-il fait?Il est impossible de plaire à tous, j'ai donc décidé de ne plaire qu'à moi seul.
Injonction liminaire : si vous ne savez pas lire, si les mots que vous proférez, que vous entendez, vous ne les pesez pas, si vous ne connaissez pas le poids des mots, si pour aller plus vite vous vous êtes vous-même rendu esclave de phrases que vous n'avez pas choisies, si enfin pour vous, et sans même que vous ayez pris le temps de vous en rendre compte, le langage est l'aliénation suprême, qui vient s'ajouter à toutes celles que vous avez déjà admises avec la même inconscience morne, faites-moi le plaisir de refermer ce livre.
Selon moi, les mots sont des accumulateurs d’énergie. Chaque fois que l’on prononce un mot, on a affaire à une épaisseur. Derrière le sens actuel d’un terme, il y a une succession de sens qui ont évolué. Prenons le «pare-brise». Le mot existait avant l’automobile et désignait un accessoire de mode qui permettait aux dames de protéger leur visage du soleil et du vent. Or à leurs prémices, les automobiles étaient ouvertes. Il fallait les couvrir. On a donc réfléchi à un mot qui évoque quelque chose de transparent. C’est ainsi que l’on a pensé au « pare-brise ».
Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer les grandes lois. Nous ne devons pas nous presser, ne pas nous impatienter, suivre avec confiance le rythme éternel.
Et que crois-tu que soit la vie ? Elle n'est quelque chose qu'autant qu'on la parcourt avec quelqu'un qui sait vous la faire aimer, vous y faire attacher quelque prix, et, pour moi, un tombeau où je serais avec toi serait le ciel pour moi.
Pour moi, le français est la langue de l'intelligence ; et un défi, car j'ai un penchant pour le mysticisme qui pourrait être incompatible avec le rationalisme cartésien.
Que ce réveil tourne lentement ! Le drap colle à ma poitrine, m'oppresse un peu. Je voudrais dormir, être minéral, être bloc autour de mon cœur qui bondit et court devant moi : choisis-la, Julien la route qui est à moi, sautes-y à pieds joints et que je porte à jamais chacun de tes pas.
Pour moi, le sexe a donc toujours été lié à l'amour, aux sentiments. Dans la vie, le sexe, c'est important, ça fait appel à des choses intimes. Très personnelles, donc fondamentales. A condition de trouver l'harmonie avec l'autre...
Nous nous tutoyons ou nous nous vouvoyons?
Tutoyons-nous
Vous vouvoyez souvent ?
Je tutoie comme je vouvoie
Moi, je me tue à tutoyer, mais tout me voue à vouvoyer
Vous nous voyez nous vouvoyer ?
Nous voirons; je veux dire, nous verrons
Tout à fait, toutefois tout nous fait nous tutoyer; d'ailleurs, qui vous vouvoie ?
Mes parents, mais je ne les vois jamais
Ainsi, vos vieux vous vouvoient sans vous voir
Et toi, qui te tutoie ?
Mon oncle, mais seulement chez moi
Donc, ton tonton te tutoie sous ton toit
Oui, mais mon neveu ne veut nous vouvoyer
Et que faites-vous des dames ?
Tutoyons les veuves et vouvoyons les tantes
Mais ma tante est veuve; elle vouvoie son toutou et tutoie sa voiture
Vous n'aurez qu'à louvoyer, tantôt la tutoyer, tantôt la vouvoyer
Et les nouveaux venus, les vouvoierons-nous ?
Je veux voir les nouveaux venus nous vouvoyer. Les nouveaux non vouvoyants se verront renvoyés comme des voyous
Et les non voyants ?
Les non voyants vouvoieront !
Même au nouvel an ?
J'aimerais vous y voir, sous leur nombre les non vouvoyants vont vous noyer
Au nouvel an, votre dévoué n'envoie de voeux qu'aux vouvoyants non dévoyés
Vous vous fourvoyez !
Je ne me fourvoie pas, monsieur, mais je me fous de vous revoir !
Alors, allez vous faire voir !Avec du soleil, même un cimetière est gai. Quand on a de l'espoir, la vieillesse même est belle... Mais moi je n'ai plus d'espoir, pas le moindre !
Le pronostic est imparable : après moi, votre colocataire s'appellera Margarine et vous dessinerez pour elle un manchon de pure graisse.
Jour de Noël. (Humanisme. La « réalité » de Noël est subjective. Oui, en mon for intérieur. Telle qu’elle a surgi, l’émotion a disparu. Mais, pendant un instant, j’ai côtoyé les espoirs et les émotions d’innombrables générations, avec les imaginations mortes de toute une lignée défunte de mystiques. Noël en moi !
Avec Louis de Funès on se complète. Lui, c'est un inquiet, moi, un placide. Nos comiques ne s'annulent pas, ils s'additionnent.
Je veux être une interprète. Le seul truc intéressant, ce n'est pas moi mais le point de vue de celui qui raconte.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.En somme, le public est composé de groupes nombreux qui nous crient :
— Consolez-moi. — Amusez-moi. — Attristez-moi. — Attendrissez-moi. — Faites-moi rêver. — Faites-moi rire. — Faites-moi frémir. — Faites-moi pleurer. — Faites-moi penser.J'ai le pressentiment que quelque chose ne sera plus comme avant. C'est peut-être là la vraie définition de l'errance, de sa quête, avec sa solitude et sa peur. C'est le désir que je cherchais, la pureté, la remise en cause, pour aller plus loin, au centre des choses, pour faire le vide autour de moi.
Certainement, dans mon petit livre sur Wilde, je me suis montré peu juste pour son œuvre et j'en ai fait fi trop à la légère, je veux dire : avant de l'avoir connue suffisamment. J'admire, en y repensant, la bonne grâce avec laquelle Wilde m'écoutait lorsque, à Alger, je faisais le procès de ses pièces (fort impertinemment, à ce qu'il me paraît aujourd'hui). Aucune impatience dans le ton de sa réponse, et même pas une protestation ; c'est alors qu'il fut amené à me dire, et presque en manière d'excuse, cette extraordinaire phrase, que j'ai citée et que depuis on a citée partout : « J'ai mis tout mon génie dans ma vie ; je n'ai mis que mon talent dans mes oeuvres. » Je serais curieux de savoir s'il a jamais dit cette phrase à quelque autre que moi.
Je sens mon coeur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
Le Petit Prince, vous croyez qu'on doit en faire des tonnes avec Le Petit Prince? C'est jamais que l'histoire d'un petit Arabe qui fait chier un aviateur en rade en train de bricoler son moteur et qui lui répète: «Dessine-moi un méchoui...»
J’ai un esprit inquisiteur, et chaque fois que cela n’a pas de sens, j’aime m’impliquer et savoir pourquoi cela n’a pas de sens. Enfant, je voulais être journaliste, et cet amour pour la non-fiction, pour l’écriture et la lecture de documents qui proviennent réellement de la vie réelle, est resté avec moi.
Au début de chaque atelier, je demande aux stagiaires de se poser et de répondre publiquement à la question " Qui je suis ? ". C'est le point de départ de toute création. Car il ne s'agit pas pour moi de leur faire simuler des personnages, mais de leur permettre, au contraire, de les assumer à travers leur propre langage, puis de se hisser par le travail, la lecture, l'écriture, jusqu'à la force de la poésie. Le premier jour, je dis toujours : " Au commencement était le verbe, et le verbe était Dieu. Voulez-vous être Dieu avec moi ? "
- Comment Dieu, qui est amour et miséricorde, peut-il nous abandonner, nous et ceux que nous aimons, dans les moments où nous avons le plus besoin de lui ?
- Je serai franc avec vous. C’est une question qui me tourmente moi aussi. La meilleure réponse qui m’a été fournie vient du sermon d’un prêtre âgé que j’ai entendu voilà des années. Il voyageait au Moyen-Orient et avait été impressionné par la splendeur des tapis persans qu’il y avait vus. Ces merveilleuses créations si habilement tissées et ornées de motifs magnifiques. Il s’était trouvé un jour dans un magasin où étaient exposés quelques-uns de ces tapis et s’était glissé derrière l’un d’eux, suspendu au plafond. Alors qu’il examinait l’envers du tapis, il s’étonna à la vue du chaos que formaient les fils. Une telle beauté d’un côté, la confusion totale de l’autre, l’envers et l’endroit d’un même projet. Le message lui apparut clairement. Dans cette vie, nous ne voyons que l’envers du tapis. Nous ne savons pas pourquoi ni comment nos souffrances et nos malheurs font partie d’un ensemble parfait. C’est la raison pour laquelle il importe tant d’avoir la foi.Papa est toujours sur sa planète. J'essaye de le faire rire en imitant le singe heureux de retrouver la jungle. Il dit "non" avec sa tête. Bon. Sur sa planète, on ne rit pas. Alors je m'approche de lui et je lui prends sa main dans laquelle je dépose un baiser d'amour. Rien à voir avec la langue de Franklin. On fait ça le dimanche quand on regarde des DVD à la télé. Entre deux films, papa et moi on dépose des baisers d'amour au creux des mains. Je me suis assis sur mes talons, la tête sur les jambes, et j'attends qu'il me caresse la tête. Je suis prêt à rester des heures. Je veux juste qu'il abandonne un instant sa planète pour la mienne. Et sa main, un peu hésitante, se pose sur mes cheveux, ses yeux gris laissent sortir la tempête, de grosses gouttes qui me tombent dessus et coulent sur mes joues, comme si on pleurait tous les deux, un goût de mer chaude, sans le sable et les transats bleu et blanc.
Othon (1664), II, 1, Plautine de Pierre Corneille
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Sans référence de Alphonse Karr
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Les confessions du monstre de Fanny Taillandier
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Interview Le Figaro, le 3 novembre 2019 de Alain Rey
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Lettre, à Victor Hugo, 5 janvier 1822 de Adèle Foucher
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Dans le Nouvel Observateur, 23 octobre 2008. de Elie Wiesel
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L'Astragale (1965) de Albertine Sarrazin
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Interview dans le magazine Elle, 5 septembre 2014. de Sophie Marceau
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Mots et Grumots (2003) de Marc Escayrol
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Ivanov (1887) de Anton Tchekhov
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Barbe bleue (2012) de Amélie Nothomb
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Le Livre de l'intranquillité (1982) de Fernando Pessoa
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L'Express du 17 novembre 1969 de Bourvil
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interview de Sophie Marceau par Gaël Golhen à Première lors de sa sortieen février 2013 de Sophie Marceau
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Préface de Pierre et Jean, La Guillette, Etretat, septembre 1887 de Guy de Maupassant
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Errance (2000) de Raymond Depardon
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In Journal, Gide, le 3 juillet 1913 de André Gide
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Les Amours de Ovide
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J'me marre (2003) de Jean Gouyé, dit Jean Yanne
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Interview Murmures de Kernach (2017) de Roger Jon Ellory
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Entretien d'Armand Gatti, Télérama 1995 de Armand Gatti
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Dernière danse (2018) de Mary Higgins Clark
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Au pays des kangourous (2012) de Gilles Paris
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