Citation C est moi
Découvrez une citation C est moi - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase C est moi issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 350 citations et proverbes sur le thème C est moi.
350 citations
Injonction liminaire : si vous ne savez pas lire, si les mots que vous proférez, que vous entendez, vous ne les pesez pas, si vous ne connaissez pas le poids des mots, si pour aller plus vite vous vous êtes vous-même rendu esclave de phrases que vous n'avez pas choisies, si enfin pour vous, et sans même que vous ayez pris le temps de vous en rendre compte, le langage est l'aliénation suprême, qui vient s'ajouter à toutes celles que vous avez déjà admises avec la même inconscience morne, faites-moi le plaisir de refermer ce livre.
Elle boit à la santé de ses parents, du roi de France, à la sienne. La ritournelle n'est plus : « Quand est-ce qu'on arrive ? » mais : « Le roi mon mari, il jouera avec moi ? »
Par ce livre, moi, qui suis née en un point d'horreur définitive (c'est-à-dire notre vingtième siècle) j'ai voulu laisser un témoignage documenté de mon expérience directe, la Deuxième Guerre mondiale, en l'exposant comme un échantillon extrême et sanglant de tout le corps historique millénaire. Voici donc l'Histoire, telle qu'elle est faite et que nous-mêmes avons contribué à la faire.
Le sujet des virus m'a toujours intéressé, mais je voulais l'écrire vraiment à la française. Je ne voulais pas d'une souche volée dans un laboratoire américain, qu'un méchant répandrait parmi la population. Non, ce qui m'intéressait, c'était de savoir ce qui se passerait spécifiquement en France, vraiment heure par heure, si une telle situation venait à arriver. Je voulais comprendre comment naît une pandémie. Je me suis donc rapproché de l'Institut Pasteur, à Lille, près de chez moi. Et le scénario développé alors, c'est exactement ce qui se passe aujourd'hui.
Je ne fais pas de plans, je n'en ai jamais fait. Les quelques fois où j'essayai, ils tombèrent très vite à l'eau, ce qui est normal. J'embarque mes héros au début de mes livres, je les mets en rapport et les laisse un long moment se débrouiller sans moi. Je veux dire que les propos ou les gestes qu'ils s'inspirent les uns les autres précisent leur personnalité, au départ confuse, et qu'il suffit d'attendre pour que leurs caractères s'imposent. Même si au départ ils sont pratiquement libres, j'en aurais vu beaucoup s'écarter radicalement de leur rôle original. [...] Ils ne tournèrent casaque qu'une fois le bateau parti, et pour mon plus grand plaisir : je n'ai jamais été autoritaire d'abord, et ensuite, tous ces renversements me plaisaient. C'est très agréable d'écrire un livre dans ces conditions, avec autant de curiosité, peut-être plus que le lecteur.
Le mieux qu'il peut être avec moi, c'est attentionné. La politesse a depuis longtemps remplacé chez lui l'amitié.
Le pronostic est imparable : après moi, votre colocataire s'appellera Margarine et vous dessinerez pour elle un manchon de pure graisse.
Au cours des onze années durant lesquelles j'ai travaillé à sa réalisation, je n'ai donc pas eu de nom pour le film. “Holocauste”, par sa connotation sacrificielle et religieuse, était irrecevable ; il avait en outre déjà été utilisé. Mais un film, pour des raisons administratives, doit avoir un titre. J'en ai tenté plusieurs, tous insatisfaisants. La vérité est qu'il n'y avait pas de nom pour ce que je n'osais même pas alors appeler “l'événement”. Par-devers moi et comme en secret, je disais “la Chose”. C'était une façon de nommer l'innommable. Comment aurait-il pu y avoir un nom pour ce qui était absolument sans précédent dans l'histoire des hommes ? Si j'avais pu ne pas nommer mon film, je l'aurais fait.
Ma soeur, en m'élevant comme elle l'avait fait, avait exacerbé ma sensibilité. Dès que j'avais su parler, j'avais compris qu'on était injuste avec moi. Dans le petit monde où vivent les enfants, rien n'est plus vivement ressenti que l'injustice.
Chaque artiste garde ainsi, au fond de lui, une source unique, qui alimente pendant sa vie ce qu'il est et ce qu'il dit. Quand la source est tarie, on voit peu à peu l'oeuvre se racornir, se fendiller. Ce sont les terres ingrates de l'art que le courant invisible n'irrigue plus. Le cheveu devenu rare et sec, l'artiste couvert de chaumes, est mûr pour le silence, ou les salons, qui reviennent au même. Pour moi, je sais que ma source est dans L'Envers et l'Endroit, dans ce monde de pauvreté et de lumière où j'ai longtemps vécu et dont le souvenir me préserve encore des dangers contraires qui menacent tout artiste, le ressentiment et la satisfaction.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Ben Laden restera dans l'histoire, sa notoriété est internationale et indiscutable. Pour moi, c'est le personnage le plus important de l'histoire contemporaine. Il a réussi à changer les rapports de force. Il est seul contre la plus grande puissance du monde. Donc forcément cela impose le respect.
Nous nous tutoyons ou nous nous vouvoyons?
Tutoyons-nous
Vous vouvoyez souvent ?
Je tutoie comme je vouvoie
Moi, je me tue à tutoyer, mais tout me voue à vouvoyer
Vous nous voyez nous vouvoyer ?
Nous voirons; je veux dire, nous verrons
Tout à fait, toutefois tout nous fait nous tutoyer; d'ailleurs, qui vous vouvoie ?
Mes parents, mais je ne les vois jamais
Ainsi, vos vieux vous vouvoient sans vous voir
Et toi, qui te tutoie ?
Mon oncle, mais seulement chez moi
Donc, ton tonton te tutoie sous ton toit
Oui, mais mon neveu ne veut nous vouvoyer
Et que faites-vous des dames ?
Tutoyons les veuves et vouvoyons les tantes
Mais ma tante est veuve; elle vouvoie son toutou et tutoie sa voiture
Vous n'aurez qu'à louvoyer, tantôt la tutoyer, tantôt la vouvoyer
Et les nouveaux venus, les vouvoierons-nous ?
Je veux voir les nouveaux venus nous vouvoyer. Les nouveaux non vouvoyants se verront renvoyés comme des voyous
Et les non voyants ?
Les non voyants vouvoieront !
Même au nouvel an ?
J'aimerais vous y voir, sous leur nombre les non vouvoyants vont vous noyer
Au nouvel an, votre dévoué n'envoie de voeux qu'aux vouvoyants non dévoyés
Vous vous fourvoyez !
Je ne me fourvoie pas, monsieur, mais je me fous de vous revoir !
Alors, allez vous faire voir !Je m'étais toujours pliée aux désirs, aux goûts de l'autre, alors soudain je me suis dit : c'est ça l'amour. C'est quelqu'un qui accepte de me partager avec moi.
Je préfère quand le spectateur sort avec des questions plutôt qu'avec des réponses. Pour moi c'est ça la vérité.
Sans référence de Une fille sans tabou est une mauvaise amoureuse. ... La femme moderne fera des tas d'homosexuels dans l'avenir, parce qu'elle se veut libérale. Moi, je suis très conservateur là-dessus. Je suis un réac amoureux.
Avec Louis de Funès on se complète. Lui, c'est un inquiet, moi, un placide. Nos comiques ne s'annulent pas, ils s'additionnent.
J'avais fini par me déprendre de moi, mes pensées procédaient de l'eau qui m'entourait, elles en étaient l'émanation, elles en avaient l'évidence et la fluidité, elles s'écoulaient au gré du temps qui passe et coulaient sans objet dans l'ivresse de leur simple écoulement, la grandeur de leur cours, comme des pulsations sanguines inconscientes, rythmées, douces et régulières, et je pensais, mais c'est déjà trop dire, non, je ne pensais pas, je faisais maintenant corps avec l'infini des pensées, j'étais moi-même le mouvement de la pensée, j'étais le cours du temps.
J'ai été sauvé, et ma femme a été sauvée, par un nazi. J'étais un juif emprisonné avec des juifs. Et c'est un nazi qui m'a sauvé et, plus important, qui a sauvé Misia, à cette époque ma jeune épouse. Alors, même si c'était un nazi, pour moi c'était Jésus-Christ.
Est-ce que nous allons passer notre vie à nous regarder comme ça avec fureur, avec désespoir, avec rage. Ce n'est pas de ma faute. ... Je ne peux pas, je ne peux pas. Pardonne-moi, mon chéri, mon amour. Je t'aime, je t'adore, je te veux.
A l'instant, j'ai interrompu ma lettre pour observer le ciel- le soleil est descendu d'un degré, derrière les bâtiments et, tout en haut,une foule de petits nuages-venus Dieu sait où-se sont rassemblés en silence. Ils sont d'un gris tendre, argentés et brillants sur la frange, et leurs formes déchiquetées se dirigent vers le nord. Il y a tant d'insouciance dans ces nuages qui passent, comme un sourire indifférent, que je n'ai pu m'empêcher de sourire moi aussi, car je suis toujours en accord avec le rythme de vie qui m'entoure. Devant un tel ciel, comment pourrait-on être méchant ou mesquin ? N'oubliez jamais de regarder autour de vous, vous y trouverez toujours une raison d'être indulgente.
Ou bien, c'est la fusion avec le monde, ma disparition dans tout ce qui me touche, que je vois, et dans tout ce que je ne vois pas encore. Sans doute ne puis-je alors supporter de n'être qu'un seul moi, devant tous ces autres moi et d'être immobile malgré l'effervescence de mes sens, d'être immobile dans cet espace où l'on saute, s'élance, s'envole… Plutôt mourir (comme peut « mourir » un enfant) que de ne pas être multiple, voire multiple jusqu'à l'infini.
Donc, premièrement, permettez-moi d'affirmer ma ferme conviction que la seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même — l'indéfinissable, la déraisonnable, l'injustifiable terreur qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la déroute en marche en avant.
Le début de mon engagement féministe est attaché sans doute à mes relations avec mon père, des relations difficiles, comme souvent, sans aller chercher Freud qui par ailleurs a dit beaucoup de bêtises sur les femmes. Mon père était très autoritaire et passablement machiste. Mais je me suis engagée, peut-être aussi à cause de lui, dans le féminisme et dans le socialisme. Ces deux combats sont chez moi indissociables, complémentaires. Ce sens de la révolte contre tout ce qui me paraît injuste m’a toujours habitée, a joué un rôle important dans mon itinéraire politique.
Je m'étais rendu compte que les gens connaissaient le mot « inceste », mais qu'ils n'avaient aucune idée de la chose. Ils utilisaient le mot comme un mot étranger, vide, sans le connaître. Donc, il fallait le définir en images, et en perceptions. C'est ça faire apparaître le réel, et faire disparaître le discours. Les mots jusque-là mal agencés ou trop bien agencés qui recouvrent les choses. Je pense à Beckett dans L'innommable : « Je vais le leur arranger moi leur charabia. » Leur charabia c'est le discours social, la soi-disant écoute, l'injonction à dire. Alors que c'est l'impossible. L'injonction qui infériorise. Le réel n'est pas fait pour être dit. Il est là, il se contente de ça. Il est le vrai, c'est tout.
Les confessions du monstre de Fanny Taillandier
Références de Fanny Taillandier - Biographie de Fanny Taillandier
Plus sur cette citation >> Citation de Fanny Taillandier (n° 155473) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Echange des princesses (2013) de Chantal Thomas
Références de Chantal Thomas - Biographie de Chantal Thomas
Plus sur cette citation >> Citation de Chantal Thomas (n° 145972) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Storia (1974) de Elsa Morante
Références de Elsa Morante - Biographie de Elsa Morante
Plus sur cette citation >> Citation de Elsa Morante (n° 162220) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Le Point, par Julie Malaure, le 19/03/2020 de Franck Thilliez
Références de Franck Thilliez - Biographie de Franck Thilliez
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Thilliez (n° 168447) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Derrière l'épaule (1998) de Françoise Sagan
Références de Françoise Sagan - Biographie de Françoise Sagan
Plus sur cette citation >> Citation de Françoise Sagan (n° 161948) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal, 27 septembre 1914 de André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 66801) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Barbe bleue (2012) de Amélie Nothomb
Références de Amélie Nothomb - Biographie de Amélie Nothomb
Plus sur cette citation >> Citation de Amélie Nothomb (n° 147049) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien paru dans Le Monde du 26 février 2005, Claude Lanzmann, à propos de « Shoah » de Claude Lanzmann
Références de Claude Lanzmann - Biographie de Claude Lanzmann
Plus sur cette citation >> Citation de Claude Lanzmann (n° 154112) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
De grandes espérances (2012) de Marie-Aude Murail
Références de Marie-Aude Murail - Biographie de Marie-Aude Murail
Plus sur cette citation >> Citation de Marie-Aude Murail (n° 145706) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 171276) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien pour L'Écho des savanes, février 2002 de Dieudonné
Références de Dieudonné - Biographie de Dieudonné
Plus sur cette citation >> Citation de Dieudonné (n° 46043) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mots et Grumots (2003) de Marc Escayrol
Références de Marc Escayrol - Biographie de Marc Escayrol
Plus sur cette citation >> Citation de Marc Escayrol (n° 171987) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Celle que vous croyez (2016) de Camille Laurens
Références de Camille Laurens - Biographie de Camille Laurens
Plus sur cette citation >> Citation de Camille Laurens (n° 164806) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Louis Malle
Références de Louis Malle - Biographie de Louis Malle
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Malle (n° 8930) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées, provocs et autres volutes (2006) de Serge Gainsbourg
Références de Serge Gainsbourg - Biographie de Serge Gainsbourg
Plus sur cette citation >> Citation de Serge Gainsbourg (n° 87365) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Express du 17 novembre 1969 de Bourvil
Références de Bourvil - Biographie de Bourvil
Plus sur cette citation >> Citation de Bourvil (n° 170586) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Faire l'amour (2002) de Jean-Philippe Toussaint
Références de Jean-Philippe Toussaint - Biographie de Jean-Philippe Toussaint
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Philippe Toussaint (n° 165124) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La quête de Schindler (2015) de Thomas Keneally
Références de Thomas Keneally - Biographie de Thomas Keneally
Plus sur cette citation >> Citation de Thomas Keneally (n° 168091) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Histoire comique (1903) de Anatole France
Références de Anatole France - Biographie de Anatole France
Plus sur cette citation >> Citation de Anatole France (n° 102287) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
Références de Rosa Luxemburg - Biographie de Rosa Luxemburg
Plus sur cette citation >> Citation de Rosa Luxemburg (n° 162962) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Coma de Pierre Guyotat
Références de Pierre Guyotat - Biographie de Pierre Guyotat
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Guyotat (n° 155350) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Discours d'investiture de Franklin Delano Roosevelt, le 4 mars 1933 de Franklin Delano Roosevelt
Références de Franklin Delano Roosevelt - Biographie de Franklin Delano Roosevelt
Plus sur cette citation >> Citation de Franklin Delano Roosevelt (n° 168124) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Yvette Roudy, les femmes sont une force, Entretien avec Delphine Gardey, Jacqueline Laufer (2002) de Yvette Roudy
Références de Yvette Roudy - Biographie de Yvette Roudy
Plus sur cette citation >> Citation de Yvette Roudy (n° 172857) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un amour impossible (2015) de Christine Angot
Références de Christine Angot - Biographie de Christine Angot
Plus sur cette citation >> Citation de Christine Angot (n° 163949) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur C est moi
Toutes les citations sur C est moi Citations C est moi Citation C est moi et Proverbe C est moi Proverbes C est moi : 350 citations et proverbes sur C est moi Citation C est moi - Proverbe C est moi - 350 citations Citations, proverbes sur C est moi Citations, proverbes sur C est moi Citation sur c Citations courtes c
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
