Citation Ce que l on sait
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Une Sélection de 510 citations et proverbes sur le thème Ce que l on sait.
510 citations
Naturellement, personne ne portait d'étiquette à l'époque. On estimait que tout le monde était pareil. Et si ce n'était pas le cas, on ne disait rien, afin de ne blesser personne. Mais il n'y avait rien de mal à prévenir quelqu'un de sa vulnérabilité.
Il vaut mieux courir le risque de faire une guerre malheureuse que de donner de l'argent pour avoir la paix; car on respecte toujours un prince lorsqu'on sait qu'on ne le vaincra qu'après une longue résistance.
Elle avait du mal à envisager l'existence d'un paradis et d'un enfer éternels - la vie ressemble déjà assez à une condamnation, que cette condamnation se poursuive après la mort paraissait absurde et injuste.
En ce moment, je suis assez déprimée... On s'est fait traiter de tous les noms quand on était écolos de la première heure, quand on disait qu'il fallait se bouger. Aujourd'hui, quand je dis que c'est trop tard, on ne me croit toujours pas. C'est une souffrance assez intense.
Mais il apparaissait que des dactylos aux administrateurs, des secrétaires aux éditeurs politiques de littératures ruse (dont il faisait partie) et étrangère, peu se souciaient de lire, et encore moins de contrôler la production littéraire. Pour leur rendre justice : la production littéraire soviétique vacillait comme une flamme que l'on soumettait trop souvent au vide d'une cloche renversée.
Quand on parlait de moi, c'était constamment pour évoquer mes conneries. Je me sentais très seul et incompris. Je pense que j'essayais d'exister dans un univers où les enfants sont considérés comme des sous-hommes. On les empêche de participer au débat intellectuel. J'avais envie d'y participer moi, je le comprenais ce débat, je ne me sentais pas enfant. Mais on n'écoutait pas mon avis : « Tais-toi, vas dans ta chambre ! » J'avais surtout une immense curiosité. On disait que je cassais tout, mais j'avais surtout envie de comprendre comment marchaient mes jouets, donc je les démontais, je les ouvrais. Cette curiosité ne m'a pas lâché.
Il pensait que toute sa vie il avait couru après les machines, de plus en plus il avait été esclave des machines ; il fallait d'abord les acheter, en empruntant pour le gros matériel, et quand on arrivait au bout des mensualités la machine était usée, dépassée, on empruntait de nouveau pour en acheter une autre, ça ne finissait jamais ; même si les paysans de sa génération avaient été les premiers à profiter du confort des machines ; il reconnaissait le confort des machines leur puissance leur efficacité ; il pensait à ça, au confort des machines et à l'esclavage que c'était, que c'était devenu
On ne manque jamais d'expressions pour peindre la douleur, l'absence, la mort, la séparation; mais la poésie ne sait parler du bonheur que lorsqu'il est absent, perdu ou passé.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
Depuis cinq ans, Denie servait aussi à Linsbourg d'informateur et de rabatteur, car Linsbourg était un maniaque de l'abondance, et Salins prétendait qu'il devait prononcer dans ses prières : « Notre Père, qui êtes aux cieux, donnez-nous aujourd'hui notre petit lapin quotidien. » Il avait toujours quelqu'un de rechange. Si Denie était collé il avait l'Archichou. Si l'Archichou était grippé, il avait Limette. Jamais en panne. Il disait : « J'ai mes relais. » Littéralement couvert de gosses comme ce dieu-fleuve statufié du jardin des Tuileries, sur qui grouillent les bambins. Grand Maître et Casanova de la Protection, Linsbourg était désigné du simple nom qui fut celui de Cromwell : le Protecteur. Lui seul portait ce nom au collège. En lui était incarné le Génie de la Protection.
Une enquête pour homicide, c'est exactement comme la vie: il y a un début, un milieu et une fin. Et, comme la vie, on ne sait jamais où on en est avant qu'elle soit achevée. Parfois, elle se termine presque avant d'avoir commencé et parfois, on a l'impression qu'elle continue pour toujours, jusqu'à ce qu'elle périclite ou qu'elle soit classée sans suite.
Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il fasse de la politique. Comme disait mon père: La politique, vraiment, n'était pas dans le contrat de mariage.
Halloween, c'est ma fête préférée. Plus même que Noël. Je me déguise. Je porte un masque. Je me promène partout comme tous les autres enfants, et personne ne me trouve bizarre. Personne ne me dévisage. Personne ne me remarque. Personne ne sait qui je suis. J'aimerais bien que ce soit tous les jours Halloween. On porterait tous des masques. Comme ça, on pourrait prendre le temps d'apprendre à se connaître avant de dévoiler nos visages
Je suis naturellement poltron et imprévoyantàla fois. C'est ce qui faisait dire à mon précepteur que j'avais le caractère d'un merle. Je ne crois au danger que quand je le touche, et je l'oublie dès qu'il est passé.
Il n'y a de fusion complète avec personne, ce sont des histoires qu'on raconte dans les romans - chacun sait que l'intimité la plus grande est traversée à tout instant par ces éclairs silencieux de froide lucidité, d'isolement...
Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
Le fait d'être l'unique dépositaire d'un récit capable à lui seul de tarir la source de tant de rêves me poussait à évacuer l'horreur qu'on m'avait inoculée...
Il ne cessait de se regarder vivre de l'extérieur. La lutte de sa vie, c'était d'enfouir ce drame. Mais comment faire ? De toute sa vie il n'avait jamais eu l'occasion de se demander : « Pourquoi est-ce que les choses sont ce qu'elles sont ? » Pourquoi se tourmenter lorsque les choses vont toujours à merveille. « Pourquoi les choses sont-elles ce qu'elles sont ? » C'est la question sans réponse, et, jusque-là, il avait eu le bonheur d'ignorer même que cette question se posait.
La nuit était très douce et très tranquille, et tout en rangeant mes lunettes en lieu sûr et m'installant pour dormir, je me demandai avec tristesse pourquoi il ne m'était jamais venu à l'idée de venir passer la nuit dehors par ici au temps où j'étais heureux. C'était si près de l'eau, qui clapotait doucement sur le rocher juste en dessous que j'avais l'impression d'être dans un bateau. Et comme mon lit de rocher s'inclinait en pente douce vers la mer, je pouvais, tout en restant allongé la tête sur un coussin, contempler droit devant moi l'horizon où la lune traçait une trouée d'argent presque immobile. L'éclat des premières étoiles s'aiguisait déjà. D'autres apparaissaient, de plus en plus nombreuses. Couché sur le dos, enroulé dans ma couverture, les mains croisées devant moi je fis une prière...
L’Amérique, à la différence de la Russie, jouissait d’un régime qu’on appelait démocratique. Afin de pouvoir gouverner et avoir les mains libres pour organiser toutes sortes de combines lucratives, les dirigeants devaient d’abord se faire élire. Il existait deux groupes rivaux de corrupteurs, connus sous le nom de « partis politiques ». Celui des deux qui achetaient le plus de voix accédait au pouvoir.
J'ai un âge où, apparemment, mon avis compte. On me sonde, on me consulte avant de me traîner de force dans des lieux hostiles. Quand vos enfants cessent de vous demander d'où ils viennent et ne vous disent plus où ils vont, disait un proverbe affiché à l'entrée du Super-U l'été dernier, c'est qu'ils sont devenus des ados. Je me souviens que mon père l'avait lu à haute voix, avec l'air d'un disciple de Confucius qui médite les paroles du Maître. Alors qu'en réalité, c'était juste une grosse connerie écrite au marqueur bleu effaçable sur un panneau d'hypermarché, entre la météo du jour et « Le Conseil de votre poissonnier »...
L'attente. Les pas légers. Puis les heures qui coulent fraîches comme un ruisseau entre les herbes sur des cailloux blancs. Les sourires et les mots sans importance qui ont tellement d'importance. On écoute la musique du coeur : c'est joli pour qui sait entendre. Bien sûr on veut beaucoup de choses. On veut cueillir tous les fruits et toutes les fleurs. On veut respirer toutes les prairies. On joue. Est-ce jouer ? On ne sait jamais où le jeu commence ni où il finit, mais on sait bien que l'on est tendre. Et l'on est heureux.
Chaque fois qu'elle lisait, il lui semblait tout à fait juste que le signe de ponctuation placé à la fin d'une question eût la forme d'un crochet destiné à prendre au piège une personne déterminée à passer son chemin.
Mon père détestait les signes de faiblesse, à commencer par la maladie, pour laquelle il affichait une sorte de mépris, comme si le fait d’être souffrant était une défaillance éthique plutôt que physique. Quand il nous arrivait de devoir rester à la maison parce que nous étions malades, il passait la tête par la porte de notre chambre avant de partir travailler et soupirait d’un air las et excédé, comme si cette grippe ou cette varicelle signifiait le début de quelque irréversible décadence morale.
C'étaient des Européens, indéniablement, qu'il tenait sa grande passion : les demi-teintes ; son désir le plus cher était d'évoquer autour de ces femmes une certaine atmosphère de mélancolie nocturne. Durant toutes ces années où je fus son élève, il ne cessait d'expérimenter de nouvelles façons d'utiliser les couleurs pour rendre l'ambiance particulière que répand la lumière particulière d'une lanterne ; ainsi, ses tableaux de cette période sont tous marqués par la présence, réelle ou implicite, d'une lanterne.
Sentiment 26 (2012) de Gemma Malley
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Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734), XVIII de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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Le bal des folles (2019) de Victoria Mas
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Interview Le Parisien, Propos recueillis par Sylvain Merle le 22 décembre 2017 de Anémone
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Les âmes rouges de Paul Greveillac
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Psychologies Magazine juillet 2009 de Richard Berry
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Les pays de Marie-Hélène Lafon
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En fumant (1861) de Alphonse Karr
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Un cri sous la glace (2017) de Camilla Grebe
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Conversation (avec Patrick de Carolis) (2001) de Bernadette Chirac
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Wonder (2012) de Raquel Jaramillo Palacio
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Lettres d'un voyageur de George Sand
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Le Planétarium (1959) de Nathalie Sarraute
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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L'Homme qui aimait les chiens (2011) de Leonardo Padura Fuentes
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Pastorale américaine (1997) de Philip Roth
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La Mer, la mer (The Sea, The Sea, 1978) de Iris Murdoch
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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Comment (bien) rater ses vacances (2010) de Anne Percin
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Lettres à l'inconnue (2008) de Antoine de Saint-Exupéry
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Les rescapés du Styx (2007) de Jane Urquhart
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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Un artiste du monde flottant (1986) de Kazuo Ishiguro
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