Citation ce que l on sait
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Une Sélection de 510 citations et proverbes sur le thème ce que l on sait.
510 citations
Le malheur sait aussi bien diviser que rapprocher les humains. Il suffit d'un rien, un geste, un mot, du silence même, pour que l'on bascule d'un côté ou de l'autre. Dans l'horreur ou la générosité.
Tu es un homme extrêmement passionné, un homme affamé qui ne sait trop ce dont il a faim, un homme profondément frustré s'efforçant de projeter son individualité sur un arrière plan de strict conformiste. Tu existes dans un demi-monde suspendu entre deux superstructures:l'une, l'expression de toi-même , l'autre autodestruction. Tu es fort, mais il y a un point faible dans ta force, et, à moins que tu n'apprennes à le maîtriser, le point faible faible deviendra plus fort que ta force et te détruira. Le point faible? une réaction émotive explosive hors de toute proportion avec les circonstances.
Chaque fois que je fais de la musique, je pense à la pile de vinyles de ma mère : Jean Ferrat, Santana, Bob Marley, James Brown, Léo Ferré, Brel, Renaud et Joan Baez, bien sûr. Moi, j’étais fasciné par les rythmiques de la soul d’Hamilton Bohannon et James Brown. Le frère de ma mère, Marcel, était batteur dans un groupe de musique amateur qui jouait de la soul. Il m’a fait écouter Solomon Burke, Marvin Gaye et, surtout, Jimi Hendrix jouant à Woodstock l’hymne américain. Avec sa guitare, il réussissait à imiter le bruit des bombes qui s’abattaient sur le Vietnam. J’ai été foudroyé par ce morceau. L’art, pour moi, c’était ça. Puis, très vite, j’ai écouté du rap.
Il y a bien des prisons, mon fils.... Celles entourées de murs ou l'on sait ce qui nous sépare du monde et celles si étendues qu'on n'en perçoit pas les limites. Le désert est aussi une prison - saurais-tu en trouver l'issue ? L'errance de celui qui ne sait plus poser les questions est pire que le désert.
Au milieu des ténèbres, je souris à la vie, comme si je connaissais la formule magique qui change le mal et la tristesse en clarté et en bonheur. Alors, je cherche une raison à cette joie, je n'en trouve pas et ne puis m'empêcher de sourire de moi-même. Je crois que la vie elle-même est l'unique secret. Car l'obscurité profonde est belle et douce comme du velours, quand on sait l'observer. Et la vie chante aussi dans le sable qui crisse sous les pas lents et lourds de la sentinelle, quand on sait l'entendre.
De fait, on ne reconnaissait plus le grenier. Si l'on considère que l'ordre n'est qu'une variation algorithmique subjective du désordre, alors on peut dire du grenier ordonné selon grand-père que c'était la même chose qu'avant mais dans le désordre, c'est-à-dire qu'au chaos il avait substitué un autre chaos, avec cette différence pour nous que celui-là ne nous était pas familier.
Remplir sa journée, remplir son devoir conjugal, on sait précisément ce que sait. Mais remplir sa vie ?
Au-delà de ce que l'homme sait à chaque époque, il y a le domaine inconnu où se meut la croyance. La croyance ne se prouve pas, elle se propose. Elle naît spontanément dans certaines âmes initiatrices; elle se répand par imitation.
Quiconque a vécu solitaire sait à quel point le monologue est dans la nature. La parole intérieure démange. Haranguer l'espace est un éxutoire. Parler tout haut et tout seul, cela fait l'effet d'un dialogue avec le dieu qu'on a en soi.
Quand vous cédez à l'émotion sur un sujet, n'importe quel sujet, rappelez-vous ce que disait Russell : « Le degré de notre émotion varie en proportion inverse à notre connaissance des faits.»
Son coeur, comme les gens qui ne peuvent endurer qu'une certaine dose de musique, s'assoupissait d'indifférence au vacarme d'un amour dont il ne distinguait plus les délicatesses.
Car la femme avait accouchée, sans aucune espèce de souffrance ni de travail, comme si pleine de force elle se fût acquittée d'une besogne quotidienne. Puis elle s'était étendue sur la paillasse avec le petit tas, dont on ne sait comment elle avait coupé le cordon. Elle l'avait allongé, l'essuyant et le caressant. Et les acolytes muets près de la porte jurèrent que malgré cette nuit de quatre heures du matin ils virent épouvantés qu'elle étouffait l'enfant, cherchant à le faire souffrir du moins possible ; et les regardants tour à tour comme pour les prendre à témoins ou garants.
Mais comment on apprend à aimer ? Tu le sais, toi ? Tout le monde en parle, mais personne ne sait ce que c'est. Tu répètes tout le temps qu'il faut aimer, aimer, mais où ça s'apprend ?
Comprendre en profondeur la tradition, c'était aussi savoir l'interpréter au mieux.L'ancien se plaisait à rappeler que les racines connaissaient une dégénérescence toute naturelle.Il leur fallait faire place à d'autres afin que la plante subsiste et se perpétue.
Et puis il y a toutes ces religions qui prônent chacune l'amour
Et qui fabriquent de la haine, des assassins, des terroristes
Pour telle ou telle croyance, des innocents meurent chaque jour
Tout ça au nom de Dieu, on sait même pas s'il existe !On ne sait jamais ce que le ciel veut ou ne veut pas, et il n'en sait peut-être rien lui-même.
Un pays nouveau, pour moi, c’est une musique nouvelle d’abord, et, quand je le quitte, une danse que je voudrais danser... Danses de mes voyages avec cette ceinture ou plutôt ce collier de noms qui m’amusent : Joséphina, Guiseppina, la Bakerova, Koséfina, Phifine... et même Pepel, comme on disait à Vienne. De pays en pays, en Europe, j’ai appris à mieux connaître, à mieux comprendre la France, par réaction, et le rôle mystérieux et si beau de Paris... Paris, étoile de l’Occident, étoile, n’est-ce pas ? Polaire...
Al capone disait toujours : On obtient plus de choses en étant poli et armé qu'en étant juste poli. Cette simple citation explique pour moi la persistance d'un phénomène comme la mafia à travers les siècles.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Grand-père ne quittait pas son état de torpeur car il sentait bien qu'il se tramait quelque chose. Il ne parlait plus à personne et boudait dans son coin. Il réagissait toujours ainsi lorsqu'on lui cachait ce qui n'allait pas. Quand le problème s'aggravait, ce qui ne manquait jamais d'arriver, il finissait par être au courant ; et alors il me prenait sur ses genoux, m'installait confortablement et m'exposait son point de vue sur la situation.
Mon mari rentrait du Garden-Club, situé à trente kilomètres de chez nous, où il passait la journée à tenter de convaincre des couples aisés et respectables d'acheter pour l'éternité une semaine de vacances annuelle en des lieux aussi variés qu'idylliques du monde entier, une toute petite semaine par an, certes, mais dont Pierrot se chargeait de montrer qu'elle serait inoubliable et de faire comprendre qu'elle s'ajouterait à d'autres semaines inoubliables au cours des années, ce qui, au bout du compte, offrait aux clients quelques centaines de journées merveilleuses pour une somme, assenait alors Pierrot, presque indignement dérisoire.
L’avenir n’était qu’une somme d’expériences à reconduire, service militaire de vingt-quatre mois, travail, mariage, enfants. On attendait de nous l’acceptation naturelle de la transmission. Devant ce futur assigné, on avait confusément envie de rester jeunes longtemps. Les discours et les institutions étaient en retard sur nos désirs mais le fossé entre le dicible de la société et notre indicible paraissait normal et irrémédiable. Ce n’était pas même quelque chose qu’on pouvait penser, seulement ressentir chacun dans son for intérieur en regardant A bout de souffle.
Mon père se taisait parce qu'il savait que si les mots peuvent guérir, ils peuvent aussi blesser, détruire.
Tout homme sait que les autres se trompent en le jugeant, mais non qu'il se trompe en jugeant les autres. Si nous connaissions les autres comme nous-mêmes, leurs actions les plus condamnables nous paraîtraient mériter l'indulgence.
Dans le train du retour, j'essayai de lire ce cadeau. L'enfance a cette vertu de ne pas essayer de répondre à la sotte question : « Est-ce que j'aime ? ». Il s'agissait pour moi de découvrir.
Ballade d'un amour inachevé (2013) de Louis-Philippe Dalembert
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De sang-froid (1965) de Truman Capote
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Rencontre avec le rappeur Akhenaton, Le Monde, par Sandrine Blanchard, 20/06/2021 de Philippe Fragione, dit Akhenaton
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Ce pays qui te ressemble de Tobie Nathan
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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Les champs d'honneur (1990) de Jean Rouaud
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Inassouvies, nos vies (2008) de Fatou Diome
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Fragments d'un journal intime (1884, 1887, 1923, 1927) de Henri-Frédéric Amiel
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L'Homme qui rit (1869) de Victor Hugo
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Trois filles d’Eve, Elif Shafak, éd. Flammarion, coll. « J’ai lu », 2018 de Elif Shafak
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Madame Bovary (1857) de Gustave Flaubert
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La Case du Commandeur (1981) de Edouard Glissant
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La valse lente des tortues (2008) de Katherine Pancol
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Rouge impératrice (2019) de Léonora Miano
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Le blues de l'instituteur de Fabien Marsaud, dit Grand Corps Malade
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Jacques le Fataliste et son maître (1796) de Denis Diderot
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« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Malavita (2004) de Tonino Benacquista
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Un été indien (1985) de Truman Capote
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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L'Ecrivain de la famille (2011) de Grégoire Delacourt
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La conversation (1964) de André Maurois
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Premier sang (2021) de Amélie Nothomb
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