Citation ait eu
Découvrez une citation ait eu - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase ait eu issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 3260 citations et proverbes sur le thème ait eu.
3260 citations
Descartes, ce mortel dont on eût fait un dieu - Chez les païens, et qui tient le milieu - Entre l'homme et l'esprit ...
Il y avait de tout dans cette cheminée, un réchaud, une marmite ... de la cendre et même un peu de feu. Deux tisons y fumaient tristement.
On m'a souvent demandé pourquoi j'avais choisi ce nom ridicule, c'est là que l'imagination de l'écrivain vole à mon secours. Je me suis vu à l'étage d'un bus sur le pont de Battersea, regardant une échoppe de tailleur en contrebas... et elle s’appelait à peu près comme ça, Le Carré. Cette histoire a contenté tout le monde pendant des années. Malheureusement, les mensonges ne tiennent jamais bien longtemps. J'ai une terrible envie de vérité ces derniers temps. Et la vérité est que je n'en sais rien.
L'échelle du fenil était près de là, ils grimpèrent, laissèrent la trappe ouverte, se culbutèrent au milieu du foin.
Il ne s’agit pas de croire ou ne pas croire aux hasards. Le monde entier est un hasard. J’ai eu un ami qui me disait que je me trompais en pensant comme ça. Mon ami me disait que pour quelqu’un qui voyage en train, le monde n’est pas un hasard, même si le train traverse des territoires inconnus du voyageur, des territoires que le voyageur ne reverra jamais plus de sa vie.
Les gens qui prient sont des prétentieux, ils se croient intéressants. de toute façon il ne sert à rien aux hommes de prier puisque la vierge marie le fait pour eux, dans la prière on dit bien sainte marie mère de dieu, priez pour nous pauvres pécheurs.
Au surplus, je prendrai mon parti de toutes les tentatives qu’on fait pour rendre à l’ornement une vie artificielle, si l’esthétique seule était en jeu. Ces tentatives sont condamnées dès leur naissance : aucune force au monde, pas même celle de l’État, ne peut arrêter le développement de la culture humaine. C’est une question de temps. Ce qui m’enrage, ce n’est pas le dommage esthétique, c’est le dommage économique qui résulte de ce culte dérisoire du passé. On gâche, à fabriquer des ornements, des matériaux, de l’argent et des vies humaines. Voilà le mal véritable, voilà le crime en présence duquel on n’a pas le droit de se croiser les bras.
Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le droit de réussir. Si chacun d'eux vous fait perdre un peu de confiance, ils vous diminuent. Mais si l'on accepte chacun d'eux comme un enseignement qui vous enrichit, on y gagne chaque fois un peu de science et, aussi étrange que cela paraisse, des motifs plus solides d'espérer ; un ennemi, chaque fois qu'on le méconnaissait, s'est découvert. C'est la morale que l'on peut tirer, il me semble, des expériences que je vais raconter.
La sagesse serait sans doute de désamorcer la polémique en posant par principe que l'homme se déduit à 100% de son hérédité et à 100% de son milieu.
Mais le gros mensonge de tous, c'est la phrase Dieu est amour. C'est vraiment le mensonge le plus terrible que l'homme ait jamais conçu.
De quelque côté que l'on se tourne avec la femme, on souffre car elle est le plus puissant engin de douleur que Dieu ait donné à l'homme!
Elle avait eu un air de porter le diable en terre, toute droite, figée, avec une voix triste dans les plus simples choses, lente en ses mouvements, ne souriant plus jamais.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il avait conscience de l'existence d'un secteur culturel, une conscience vague mais réelle. Il devait être amené à rencontrer toutes sortes de gens, dans sa profession; aucun milieu social ne pouvait lui demeurer totalement étranger. La gendarmerie est un humanisme.
Autre règle: si peu que l'on parle, on parle toujours trop. Le chapeau d'un homme d'Etat ne devrait jamais savoir ce que pense sa tête.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
On sait aussi peu comment les hommes veillent que comment ils dorment; on ne connaît ni leur plus grande crainte, ni leur plus grand espoir.
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
Ici dans mon cours, on ne s'amuse pas à agiter des baguettes magiques, je m'attends donc à ce que vous ne compreniez pas grand-chose à la beauté d'un chaudron qui bouillonne doucement [...], ni à la délicatesse d'un liquide qui s'insinue dans les veines d'un être pour ensorceler peu à peu son esprit et lui emprisonner les sens... Je pourrais vous apprendre à mettre la gloire en bouteille, à distiller la grandeur, et même à enfermer la mort dans un flacon si vous étiez autre chose qu'une de ces bandes de cornichons à qui je dispense habituellement mes cours... Cette entrée en matière fut suivie d'un long silence. Harry et Ron échangèrent un regard en levant les sourcils. Hermione Granger était assise tout au bord de sa chaise et avait visiblement hâte de prouver qu'elle n'avait rien d'un cornichon.
Lamia portait sa beauté comme une croix. Une autre qu'elle n'aurait eu qu'à se voiler, ou à se laisser enrober dans quelque étoffe disgracieuse pour cesser d'attirer les regards. Pas Lamia. On l'aurait dite trempée dans la lumière.
Le soir, une monitrice me lit, assise sur le rebord du lit, les lettres dans lesquelles ma mère décrit notre nouvel appartement, ma nouvelle chambre à coucher, ma nouvelle école, mon nouveau quartier, bref, la nouvelle disposition de notre nouvelle vie, lorsque je rejoindrai Paris. Du fin fond de la campagne où l’on m’a expédiée, au milieu des cris d’enfants redevenus sauvages en l’absence de leurs parents, tout cela me paraît bien abstrait. La monitrice a souvent l’œil humide et la voix brisée tout en me faisant à haute voix la lecture de ces courriers maternels faussement enjoués. Après ce rituel du soir, il arrive qu’on me retrouve la nuit, à cause d’une crise de somnambulisme, en train de descendre les escaliers à reculons, en direction de la porte de sortie.
Ah, si l'on pouvait décanter une femme, - au lieu d'avoir, dès qu'on l'agite, ce goût de lie et de bouchon. Un grand Bordeaux se doit mettre en carafe.
La Biche aux cornes d'or que n'atteint pas la fronde
Qui, de ses quatre pieds qui brûlent le terrain,
Fait flamber l'herbe au feu de ses sabots d'airain!Les rares nuits où l'Alarm n'avait pas sonné, la prévoyance du chef de camp remplaçait les alertes par des appels, parfaitement inutiles puisqu'ils doublaient ceux qui nous rassemblaient sur la place au retour du travail. Vers onze heures du soir, quand, rassurés par le silence et rompus de fatigue, nous étions enfin endormis, les cris des Stubendienste interrompaient notre repos. Il fallait s'habiller comme les autres nuits, gagner l'Appelplatz, s'aligner, immobiles, au garde-à-vous, attendre le signal de la dislocation. L'hiver, quand la neige tombait ou que soufflait le vent glacé du nord, l'appel se prolongeait deux ou trois, quelquefois cinq heures. Là, sous les faisceaux jaunes et glacés des projecteurs, douze mille hommes grelottants regardaient tomber les morts, sans qu'il leur fût permis de faire un geste, de se pencher sur eux, de leur dire un dernier adieu.
Si Dieu s'est fait homme pour avoir de l'autorité sur terre, c'est évidemment qu'il se rendait compte qu'un homme, ça fait tout de même plus sérieux.

Jean de La Fontaine
Références de Jean de La Fontaine - Biographie de Jean de La Fontaine
Plus sur cette citation >> Citation de Jean de La Fontaine (n° 8142) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 84911) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






John Le Carré
Références de John Le Carré - Biographie de John Le Carré
Plus sur cette citation >> Citation de John Le Carré (n° 171660) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Emile Zola
Références de Emile Zola - Biographie de Emile Zola
Plus sur cette citation >> Citation de Emile Zola (n° 83943) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Roberto Bolano
Références de Roberto Bolano - Biographie de Roberto Bolano
Plus sur cette citation >> Citation de Roberto Bolano (n° 165237) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Isabelle Fortier, dite Nelly Arcan
Références de Isabelle Fortier, dite Nelly Arcan - Biographie de Isabelle Fortier, dite Nelly Arcan
Plus sur cette citation >> Citation de Isabelle Fortier, dite Nelly Arcan (n° 65645) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Adolf Loos
Références de Adolf Loos - Biographie de Adolf Loos
Plus sur cette citation >> Citation de Adolf Loos (n° 167253) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean Mermoz
Références de Jean Mermoz - Biographie de Jean Mermoz
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Mermoz (n° 172536) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel Tournier
Références de Michel Tournier - Biographie de Michel Tournier
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Tournier (n° 74227) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






William March
Références de William March - Biographie de William March
Plus sur cette citation >> Citation de William March (n° 137129) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Joris-Karl Huysmans
Références de Joris-Karl Huysmans - Biographie de Joris-Karl Huysmans
Plus sur cette citation >> Citation de Joris-Karl Huysmans (n° 118881) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marcel Proust
Références de Marcel Proust - Biographie de Marcel Proust
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Proust (n° 76655) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel Houellebecq
Références de Michel Houellebecq - Biographie de Michel Houellebecq
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Houellebecq (n° 163578) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Edouard Herriot
Références de Edouard Herriot - Biographie de Edouard Herriot
Plus sur cette citation >> Citation de Edouard Herriot (n° 28995) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marie NDiaye
Références de Marie NDiaye - Biographie de Marie NDiaye
Plus sur cette citation >> Citation de Marie NDiaye (n° 163481) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
Références de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul - Biographie de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
Plus sur cette citation >> Citation de Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul (n° 117855) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Arthur Rimbaud
Références de Arthur Rimbaud - Biographie de Arthur Rimbaud
Plus sur cette citation >> Citation de Arthur Rimbaud (n° 168139) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






J. K. Rowling
Références de J. K. Rowling - Biographie de J. K. Rowling
Plus sur cette citation >> Citation de J. K. Rowling (n° 167269) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Amin Maalouf
Références de Amin Maalouf - Biographie de Amin Maalouf
Plus sur cette citation >> Citation de Amin Maalouf (n° 137482) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Vanessa Springora
Références de Vanessa Springora - Biographie de Vanessa Springora
Plus sur cette citation >> Citation de Vanessa Springora (n° 166230) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Paul-Jean Toulet
Références de Paul-Jean Toulet - Biographie de Paul-Jean Toulet
Plus sur cette citation >> Citation de Paul-Jean Toulet (n° 156974) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Henri de Régnier
Références de Henri de Régnier - Biographie de Henri de Régnier
Plus sur cette citation >> Citation de Henri de Régnier (n° 69651) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Louis Martin-Chauffier
Références de Louis Martin-Chauffier - Biographie de Louis Martin-Chauffier
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Martin-Chauffier (n° 163279) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Boris Vian
Références de Boris Vian - Biographie de Boris Vian
Plus sur cette citation >> Citation de Boris Vian (n° 42414) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur ait eu
Toutes les citations sur ait eu Citations ait eu Citation ait eu et Proverbe ait eu Proverbes ait eu : 3260 citations et proverbes sur ait eu Citation ait eu - Proverbe ait eu - 3260 citations Citations, proverbes sur ait eu Citations, proverbes sur ait eu Citations et belles pensées sur ait eu Les plus belles citations sur ait eu Toutes les citations sur ait eu Les plus belles citations et pensées sur ait eu Citation sur ait Citations courtes ait
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Définition mot Traîtreusement - Définition mot Traîtreux, euse -
Liens