Citation c etaient
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème c etaient.
210 citations
Un homme et une femme est devenu aujourd’hui la référence en termes de film d'amour. Je leur ai dit qu'on avait une mission et même un devoir d'aller au bout de cette histoire. J'ai donc convaincu Jean-Louis et Anouk en leur disant qu’on n'allait pas sortir le film s'il était raté. Je leur ai dit : si on se plante, ce sera un souvenir pour nous. Mais quand ils ont vu le film, ils étaient très enthousiastes et ils ont dit : il faut que la terre entière voie le film.
On m'ouvrit une porte: les cabinets d'aisance, eux, étaient demeurés intacts, avec leur boiserie surannée.
Qui donc ignore que la plupart des médecins de notre temps ont failli à leur mission de la manière la plus honteuse, en faisant courir les plus grands risques à leurs malades ? Ils se sont attachés, avec un pédantisme extrême, aux sentences d’Hippocrate, de Galien et d’Avicenne, comme si celles-ci étaient sorties du trépied d'Apollon comme autant d'oracles, et comme si on n'avait pas le droit de s'en écarter d'un iota. C'est en s'appuyant sur ces autorités que l'on crée, lorsque cela plaît aux dieux, des docteurs en médecine imbus de leur titre, mais non pas des médecins !
Les grandes montagnes, toutes noires à présent, se dédoublaient par la base dans l'eau immobile qui nous portait, se reflétaient avec leurs découpures renversées, donnant l'illusion de précipices effroyables au-dessus desquels nous aurions été suspendus.
Combien de ceux qui étaient entrés avec moi dans le monde en sont déjà sortis?
Sans référence de Je me suis donc moqué de moi-même en déifiant mes acteurs. J'ai voulu d'autre part montrer combien étaient dérisoires les fonctionnaires minables que l'Etat égyptien voudrait que ma profession adore comme des demi-dieux.
Elles étaient lasses d'histoires à dormir debout sur les dévergondages de Lisa avec le cousin.
Vingt des sauvages montèrent à bord et se mirent à fureter dans toutes les parties du pont, à grimper çà et là dans le gréement, faisant comme s'ils étaient chez eux, et examinant chaque objet avec une excessive curiosité.
Ils s'étaient familiarisés avec la personne qui en avait soin, et venaient manger dans sa main.
Mais dans la mort d'un homme, un monde inconnu meurt, et je me demandais quelles étaient les images qui sombraient avec lui.
A l'époque tu ne te demandes pas pourquoi c'est toujours les blonds les gentils et les bruns les méchants, comme si c'était normal que Boucle d'Or, Boucleline, Candy, La Belle au bois dormant et Grace Kelly inspirent la confiance, comme si le blanc de leur peau et le doré de leurs cheveux étaient des gages de bonne foi.
Le sang qui coulait dans ses veines et le substrat non solide de chacune de ses cellules étaient pour les neuf dixièmes composés d'amoniac liquide. Ses os etaient de la glace IV. Sa fonction respiratoire était un cycle complexe hydrogène-méthane.
Semailles humaines (1967) de J'étais magasinier chez un concessionnaire automobile et j'avais du mal à joindre les deux bouts. Mes seules joies étaient la bouffe, la bière et l'amour avec Sarah. C'est pas ce qu'on appelle une vie bien remplie mais il faut faire avec ce qu'on a.
Ses habits étaient une enveloppe nécessaire à laquelle il ne prêtait aucune attention, car ses yeux allaient trop haut dans les nues pour jamais se compromettre avec les matérialités.
Si les chats étaient plus sympas avec les souris, les souris n'auraient plus peur des chats. Et ce serait vachement plus facile de les attraper.
Que dirons-nous donc de nos usages ? Il n'y a plus de fiançailles, il y a des accords. Il n'y a plus de fiancé, il y a des futurs. A peine l'engagement est-il pris qu'on se précipite vers la réalisation , comme si tous ces gens n'étaient travaillés que d'une crainte, celle de se connaître !
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il aura fallu que j'écrive pour, enfin, me retourner sur moi-même et reprendre la conversation interrompuue avec ceux que je portais en moi, et qui étaient morts. Car tu n'as jamais été plus vivant qu'au bout de ma plume.
Le gris. Partout. Le gris béton, le gris « fumée », le gris souris, le gris carrosserie sale, le gris cimetière. Le gris avalait tout. « Avec tout ce gris, pas étonnant que les gens deviennent aigris », avait-il dit un matin à sa soeur, alors qu’ils étaient accoudés à la rambarde de leur balcon.
Mon éducation et celle de mes condisciples noirs étaient très différentes de l'éducation de nos camarades d'école blancs. En classe, nous apprenions le participe passé mais, dans la rue et chez nous, nous apprenions à laisser tomber le "s" des pluriels et les désinences des verbes. Nous avions conscience de l'abîme qui sépare le mot écrit du langage parlé. Nous apprenions à passer de l'un à l'autre sans nous en apercevoir. A l'école, dans une situation donnée, nous pouvions répondre avec un : " Ce n'est pas inhabituel." Mais dans la rue, confronté à la même situation, nous disions facilement : "C'est comme ça des fois."
Avec la guerre, ce n'étaient pas seulement un million trois cent mille hommes qui étaient morts, c'était toute une époque, un siècle même. Cela se décelait à mille détails flagrants, et chaque jour qui passait apportait la preuve qu'une ère nouvelle était en train de naître.
Nous allions à Pornichet dans la Loire Inférieure. La mer, je courais après elle, elle courait après moi, tous les deux, on faisait ce qu'elle voulait. C'était comme les contes de fée: elle changeait les gens. A peine arrivés, ils n'avaient plus la même couleur, ni la même façon de parler. Ils étaient remis à neuf, on aurait dit des autres. Elle changeait aussi les choses et elle les expliquait. Avec elle, je savais l'horizon, le flux et le reflux, le crépuscule, l'aube, le vent qui se lève, le temps qui va trop vite et qui n'en finit plus. Et puis, la nuit qui tombe, le jour qui meurt et un tas de choses qui me plaisaient et que loin d'elle, très vite, j'oubliais. C'était tout petit Pornichet, un peu sauvage, mais il y avait le facteur, des pêcheurs, des marchands de coeur à la crème, et même une fois, un cirque est arrivé avec quelques pauvres animaux savants et un clown
Mon père et ma mère étaient le meilleur public que j'ai eu.
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
Ses regards étaient des serpentins verts et bleus au milieu desquels, mais continuellement brisé, spiralait même un serpentin blanc, comme une faveur spéciale qui m'eû été réservée.

Claude Lelouch
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Claude Mauriac
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Paracelse
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Louis Marie Julien Viaud, dit Pierre Loti
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Alphonse Rabbe
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Youssef Chahine
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Emile Zola
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Edgar Allan Poe
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Georges Louis Leclerc, comte de Buffon
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Antoine de Saint-Exupéry
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Alice Zeniter
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James Blish
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Charles Bukowski
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Honoré de Balzac
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Philippe Geluck
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Ernest Legouvé
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Alfred de Vigny
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Jérôme Garcin
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Aurélie Valognes
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Maya Angelou
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Claude Michelet
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Jacques Prévert
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Jean-Paul Belmondo
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Emmanuelle Bayamack-Tam
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André Breton
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