Citation ce que l on sait
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Une Sélection de 510 citations et proverbes sur le thème ce que l on sait.
510 citations
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Si tu apprends ce qu'est ce monde, comment il fonctionne, automatiquement tu commenceras à obtenir des miracles - ce qu'on appellera des miracles. Mais bien sûr, rien n'est miraculeux. Si l'on apprend ce que sait le magicien, il n'y a plus de magie.
Si l'on en finissait de vouloir tripoter le monde, peut-être nous apparaîtrait-il comme un endroit bien meilleur que ce que nous le croyons être. Après tout, il n'y en a pas d'autre.
Plus tard, à mesure qu’elle apprenait à connaître mieux l’ennemi, ou qu’il devenait plus excentrique et sénile, sa personnalité longtemps réprimée s’était de plus en plus imposée. Elle portait les vêtements les moins appropriés qui fussent, s’intéressait à des sujets qui, les premières années de son mariage, auraient été immédiatement bannis, et s’abandonnait subrepticement à ce qui était sa plus grande faiblesse : son goût du moderne.
J'avais toujours cru que le mariage, tout comme l'opéra et les épinards, n'était pas ma tasse de thé. J'ai changé d'avis à propos de l'opéra quand j'avais neuf ans. Mon père m'a emmenée à la première de Madame Butterfly à Brescia en 1904. Après le spectacle, pendant que papa faisait la cuisine, Puccini m'a régalée avec des histoires drôles et a signé mon carnet d'autographes ; c'est comme ça que je suis devenue une fervente adepte de l'art lyrique. De la même façon, il a fallu que je tombe amoureuse de Landen pour reconsidérer ma vision du mariage. J'ai trouvé ça passionnant et exaltant : deux êtres, ensemble, n'en formant qu'un. J'étais à ma juste place... heureuse, satisfaite, épanouie. Et les épinards ? Ma foi, j'attends toujours.
Elle songe que le sentiment maternel, c'est quelque chose de doux et d'amer à la fois. on fait tout pour garder son enfant auprès de soi, l'empêcher de s'envoler trop loin, puis un matin on le voit pépier avec un autre oisillon et on ne sait plus ce qu'on ressent : un pincement au coeur ou un trouble attendri. Les deux à la fois.
Quiconque a vécu solitaire sait à quel point le monologue est dans la nature. La parole intérieure démange. Haranguer l'espace est un éxutoire. Parler tout haut et tout seul, cela fait l'effet d'un dialogue avec le dieu qu'on a en soi.
C'étaient des Européens, indéniablement, qu'il tenait sa grande passion : les demi-teintes ; son désir le plus cher était d'évoquer autour de ces femmes une certaine atmosphère de mélancolie nocturne. Durant toutes ces années où je fus son élève, il ne cessait d'expérimenter de nouvelles façons d'utiliser les couleurs pour rendre l'ambiance particulière que répand la lumière particulière d'une lanterne ; ainsi, ses tableaux de cette période sont tous marqués par la présence, réelle ou implicite, d'une lanterne.
Le poète sait descendre dans la vie ; mais croyez que s'il y consent, ce n'est pas sans but, et qu'il saura tirer profit de son voyage. De la laideur et de la sottise il fera naître un nouveau genre d'enchantements.
Depuis qu'il fréquentait les Haïtiens de Paris, sa parole était moins heurtée. Peut-être parce qu'il n'utilisait pas sa langue maternelle, comme ça peut arriver de se sentir plus à son aise dans une langue autre que la sienne : les mots nouveaux, moins proches de notre corps, charrient plus de légèreté et s'envolent ainsi sans contrainte aucune, libre des blessures de l'enfance.
Tout ce qui se trouve devant nous est né du pétrole. Villes, voitures, avions, industrie, services, armée, luxe et nécessité. Il nous en faut toujours plus. C’est si bon. On sait bien que ça nous flingue mais que voulez-vous – le retour à la bougie, c’est ça ? Le monde moderne est à ce prix. Alors on épuise les sols, on accélère la fin.
La neige dehors est très blanche ; et il règne ce silence étouffé de la neige, ce silence qui attend une révélation dont on sait seulement que la venue fait battre le coeur plus allègrement.
Grey buvait son café dans un mug qui disait papa tolérable. Car, voyez-vous, un tasse meilleur papa du monde aurait heurté le style familial, plutôt orienté vers l'auto dépréciatif, tendance cynique, et vers la ténacité discrète.
Mais les lois seules ne suffiront pas. Les coeurs aussi doivent changer. Cela ne se fera pas du jour au lendemain. Il faut souvent plusieurs générations pour que les mœurs évoluent. Mais si nous voulons que notre démocratie fonctionne comme elle le devrait dans cette nation de plus en plus diverse, alors chacun d'entre nous doit essayer d'écouter le conseil de ce grand personnage de la littérature américaine, Atticus Finch, qui disait : « On ne comprends jamais vraiment quelqu'un tant qu'on ne considère pas les choses de son point de vue... tant qu'on ne s'est pas glissé dans sa peau pour expérimenter sa perspective.»
Le bonhomme aimait passionnément l'horticulture, il était en correspondance avec les plus célèbres amateurs, il avaéit l'ambition de créer de nouvelles espèces, il s'intéressait aux découvertes de la botanique, il vivait enfin dans le monde des fleurs.
Sa fille à propos de sa prétendue anthropophagie : - - « On sait que c'est faux ! Depuis ce temps, il nous aurait mangées ! »
Et ce qu'il y avait de grisant, c'était moins de faire à Marie une suggestion pratique qui ne pressait pas, que de lui verser, à cette minute, dans l'oreille, tout le sens moite et carressant d'un mot.
Le procès t'intéressait beaucoup ? » Il rit encore. « Le procès, ou l'accusée que tu ne quittais pas des yeux ? Celle qui n'était pas mal du tout ? On se demandait tous ce qu'il y avait entre vous, mais personne n'osait te poser la question. On était terriblement discrets et gentils à l'époque. Tu te souviens... »
Regardez un peu les livres d'histoire. Vous verrez ce que ça veut dire, tous ces gens qui chérissent leurs maladies. Il y a seulement cinquante ans, les enfants exhibaient fièrement leurs genoux écorchés. Quand les adultes se cassaient la jambe, ils se dessinaient mutuellement des petits coeurs sur leurs plâtres. Tout le monde se plaignait de rhume des foins, de douleurs lombaires, de problèmes digestifs... mais, en fait, on ne voulait qu'une seule chose : éveiller une compassion injustifiée. Les bobos en tout genre passaient pour des sujets de conversation sérieux. Aller chez le médecin devenait un sport national. La maladie passait aux yeux des gens pour la preuve de leur existence, comme s'ils avaient été incapables de sentir leur corps tant qu'ils n'avaient mal nulle part.
Mais cette absence d'espérance précise dans la personne retournait ses pensées sur la satisfaction qu'il y a à aimer: il jouissait plus de son amour que de son amante.
Il pensait que toute sa vie il avait couru après les machines, de plus en plus il avait été esclave des machines ; il fallait d'abord les acheter, en empruntant pour le gros matériel, et quand on arrivait au bout des mensualités la machine était usée, dépassée, on empruntait de nouveau pour en acheter une autre, ça ne finissait jamais ; même si les paysans de sa génération avaient été les premiers à profiter du confort des machines ; il reconnaissait le confort des machines leur puissance leur efficacité ; il pensait à ça, au confort des machines et à l'esclavage que c'était, que c'était devenu
J'ai toujours eu une admiration profonde pour ces âmes courageuses qui, en pleine possession d'elles-mêmes et par pur dégoût des misères terrestres, ont trouvé en elles la force de se débarrasser de l'existence. La Nature a bien su ce qu'elle faisait en nous dotant d'une irrémédiable lâcheté en face de la mort ; mais combien il est beau de la vaincre et de lui crier : « : O marâtre ! je te rends ton fardeau. Si tu as cru me lier par le don fortuit et funeste de la vie, tu t'es trompée. Regarde ! voilà le cas que j'en fais. »
C'est un crime majeur que d'engendrer un être, dont on sait qu'il sera malheureux au moins une fois dans sa vie. Le malheur, même s'il ne dure qu'un instant, c'est le malheur tout entier. Engendrer une solitude parce qu'on ne veut plus être seul, c'est criminel.
Jour après jour, il sculptait sa vie avec la patience de l'artisan qui sait que dans les objets les plus simples on trouve aussi de la belle ouvrage.

Adolf Loos
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Alfred de Vigny
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Richard Bach
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Henry Miller
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William Boyd
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Jasper Fforde
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Mélissa Da Costa
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Victor Hugo
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Kazuo Ishiguro
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Charles Baudelaire
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Louis-Philippe Dalembert
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Pierre Ducrozet
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Marcelle Sauvageot
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Michael Grant
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Barack Obama
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Honoré de Balzac
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Jean-Bedel Bokassa
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Louis Farigoule, dit Jules Romains
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Bernhard Schlink
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Marcel Proust
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Marie-Hélène Lafon
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Thomas Bernhard
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Tonino Benacquista
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