Citation d un coup
Découvrez une citation d un coup - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase d un coup issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 340 citations et proverbes sur le thème d un coup.
340 citations
Héritage. La mort nous prend un parent, mais elle le paie, et il ne nous faut pas beaucoup d'argent pour qu'elle se fasse pardonner.
En passant, il jeta un coup d'oeil sur le thermomètre extérieur et vit le mercure gelé. Le froid avait donc dépassé quarante-deux degrés au-dessous de zéro.
Tout à coup, issu du fond de l'espace, un miaulement nait, s'enfle, déchire l'air au-dessus de la baraque, et l'obus crève à quelques pas, avec le bruit d'un objet fêlé qui se casse.
(Il) avait été toute sa vie un grand séduit beaucoup plus qu'un vulgaire séducteur.
D'un coup de bâton, elle rappela Léopard aux devoirs de sa charge en le traitant de vieux bouc, de grand carnaval et de charogne malade.
Les grandes âmes ne sont pas celles qui aiment le plus souvent ; c'est d'un amour violent que je parle : il faut une inondation de passion pour les ébranler et les remplir. Mais, quand elles commencent à aimer, elles aiment beaucoup mieux.
Ceux qui nous gouvernent n'ont pas besoin d'un fouet. Nous avons peur de perdre nos petits plaisirs et, du coup, nous sommes prêts à obéir à n'importe quel salaud.
Je n'insisterai pas sur ce qu'il y a d'impossibilité historique à ce que Wagner soit le premier compositeur de l'Allemagne. Alors, Bach ? C'est un homme qui a eu beaucoup d'enfants? Beethoven ? en est un autre qui avait si mauvais caractère qu'il prit le parti de devenir sourd afin de mieux ennuyer ses contemporains avec ses derniers quatuors. Quant à Mozart, il vaut mieux n'en pas parler, c'est un petit voluptueux qui a écrit Don Juan pour embêter l'Allemagne.
L'idéologie n'est-elle pas de tous les siècles? Il existe une littérature politiquement correcte, mais je ne la lis pas beaucoup. En général, on lit quelques lignes, quelques pages et l'on comprend que l'auteur racole le lecteur à coups de bons sentiments, d'indignations comme il faut, de révoltes bien coiffées. C'est peut-être nécessaire: on aime se voir tout beau dans le miroir des livres. Je n'ai pas de goût pour ça. Je cite souvent cette lettre de Kafka: « Il me semble d'ailleurs qu'on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? ».
Je suis toujours très prudent avec le sujet de “l'identité” parce que beaucoup de candidats à droite et à l'extrême-droite utilisent ce terme pour replier la France sur, en quelque sorte, la haine de l'autre, le fantasme d'un passé qui parfois n'a jamais été. Je crois beaucoup plus au concept d'appartenance à une nation, ce qui n'est pas la même chose qu'une identité. L'Histoire nous l'apprend d'ailleurs.
Ces paroles ignobles de la Marseillaise où on parle du sang impur des ennemis, qui est un mot d'un racisme tel qu'on devrait avoir honte de l'enseigner aux enfants. Quels que soient les ennemis, qu'ils aient un sang impur, c'est quand même d'un racisme, j'aurais honte de l'enseigner à mes étudiants, ils ont tous un sang pur et l'impureté du sang est quelque chose qui me fait horreur. […] Ce n'est pas seulement un imaginaire raciste, c'est une tradition qui a été si longue qu'elle a fondé beaucoup de traditions politiques, beaucoup de philosophies du droit .
Un homme devient grand, et tout à coup beaucoup de gens se font lierre parce qu'il s'est fait chêne.
Dans votre vie, vous ne rencontrez pas plus de dieu vicieux que de prof qui vous prend comme bouc émissaire. Les dieux, comme les profs, s'en foutent de vous. Vous n'existez pas pour eux. Vous êtes tout seul. Pour que la pièce retombe un jour de votre côté, il faut juste jouer, souvent, beaucoup, recommencer toujours. Insister.
Un papillon blanc qui voltige,
Un coup d'oeil au hasard jeté,
Vous fait surprendre sur sa tige
La fleur dans sa simplicité.Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Si on vous donne un coup de poignard, ne vous sentez pas coupable d'avoir mal.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
Parfois, tout d'un coup, sans cause visible, s'étend sur moi un grand frisson de bonheur.
Je n'ai jamais raconté d'histoires aux enfants car celles que je raconte sont quand même assez sinistres ou ont un humour assez cynique. Il faut être adulte pour pouvoir comprendre. Puis, même si j'aime beaucoup mes enfants et mes petits-enfants, je ne me suis jamais senti à l'aise dans ce rôle-là.
Il y a longtemps que je ne suis pas allé en forêt. Je n'aime pas beaucoup ces zones inhumaines, je préfère rester à distance, sur la route, près des maisons, de la lumière. Ce qui me met mal à l'aise, ce qui - soyons honnête - me fait peur, ce ne sont pas les arbres, qui n'ont jamais fait de mal à personne, qui poussent tranquillement depuis toujours, ce n'est pas non plus la vie secrète qui s'y cache, les bêtes, invisibles mais sans doute innombrables, les oiseaux, les vers, les insectes, tout ce qui grouille, les limaces, les rongeurs (les loups ?) dissimulés dans les feuillages et l'ombre, je n'ai pas peur d'un écureuil ou d'un hibou - non, ce qui m'inquiète et me maintient à l'écart, c'est au contraire l'absence de vie perceptible, d'humanité, quand on regarde de l'extérieur (en voiture par exemple, ou derrière la vitre d'un train qui passe), le silence qu'on imagine, l'immobilité apparente de cet enclos vert figé, si vaste, rien ne bouge là-dedans depuis des années, des siècles, de loin on peut même supposer que rien n'y respire. Et à l'intérieur, dans le vert, il n'y a pas de témoin.
Après tout, une forte passion, même quand ça se termine mal, c'est pas mal, ça fout un peu de désordre et beaucoup de vie dans les veines.
Il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes.
Le bouleversement de notre mode de vie apporte son lot de stress. La meilleure façon de lutter contre ça, c’est d’accepter la situation. J’en parle dans mes livres depuis plus de vingt ans : il faut lâcher prise lorsque l’on ne peut pas changer une situation. Les stoïciens nous rappellent qu’il faut distinguer ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Essayons d’agir sur ce qui dépend de nous, mais quand on est face à quelque chose qu’on ne peut changer, il vaut mieux l’accepter joyeusement que d’être en colère et résister. Si l’on résiste, on va souffrir deux fois plus. On va stresser, on va s’angoisser. Au contraire, si l’on regarde une difficulté comme une opportunité, cela développe une souplesse, un lâcher-prise, la possibilité d’accompagner le mouvement imprévisible de la vie. Pour beaucoup de gens, le fait de vivre dans l’incertitude du lendemain est angoissant, alors que s’ils acceptent de vivre cette réalité, leur angoisse et leur stress diminueront.
Il n'existe que trois sortes d'hommes : les bourreaux, les victimes et les traîtres. Les bourreaux et les victimes sont faciles à comprendre. Les traîtres sont dans une situation beaucoup plus compliquée. Parfois, je crois que tout homme devrait être obligé une fois au moins dans sa vie d'être un traître. Ainsi, on comprendrait mieux les plus vils scélérats. C'est pour eux que ça s'avère le plus difficile. Mais quand on a été l'un d'eux, on sait mieux ce qu'est un homme, et alors on est en mesure de se défendre
On espère beaucoup d'une fille, de son histoire, de son corps. C'est un grand mystère une fille.
Journal, 30 mai 1901 de Jules Renard
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Un hivernage dans les glaces (1855) de Jules Verne
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Récits des temps de guerre de Georges Duhamel
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Le Coq de bruyère de Michel Tournier
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La Vouivre (1942) de Marcel Aymé
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Discours sur les passions de l'amour (1652-1653) de Blaise Pascal
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L'Archipel d'une autre vie (2016) de Andreï Makine
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Monsieur Croche, et autres écrits (1987) de Claude Debussy
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Entretien au FigaroVox le 29/09/2017 de Patrice Jean
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Interview d'Emmanuel Macron dans La Fabrique de l'Histoire - France Culture, 9 mars 2017 de Emmanuel Macron
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Michel Serres, 9 mai 2008, France Culture, dans Vendredis de la philosophie. de Michel Serres
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Maximes et Pensées de Antoine Rivaroli, dit Rivarol
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N'oublier jamais de Michel Bussi
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Emaux et Camées (1852), Camélia et Pâquerette de Théophile Gautier
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Sous la glace (2013) de Louise Penny
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Le Tiers-instruit (1991) de Michel Serres
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La Nuit remue (1935) de Henri Michaux
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Interview , la DH, février 2017 de Pierre Bellemare
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Au printemps des monstres (2021) de Philippe Jaenada
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L'auberge des pauvres (1997) de Tahar Ben Jelloun
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A l'université d'été de l'UMP à Seignosse, 5 septembre 2009. de Brice Hortefeux
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Interview Ouest France, par Sébastien Grosmaitre, le 29/03/2020 de Frédéric Lenoir
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La bibliothèque du capitaine Nemo (1992) de Per Olov Enquist
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La Vie heureuse (2002) de Nina Bouraoui
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