Citation des sous
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Une Sélection de 780 citations et proverbes sur le thème des sous.
780 citations
Au reste, le domaine de la poésie est illimité. Sous le monde réel, il existe un monde idéal, qui se montre resplendissant à l’oeil de ceux que des méditations graves ont accoutumés à voir dans les choses plus que les choses. Les beaux ouvrages de poésie en tout genre, soit en vers, soit en prose, qui ont honoré notre siècle, ont révélé cette vérité, à peine soupçonnée auparavant, que la poésie n’est pas dans la forme des idées, mais dans les idées elles-mêmes. La poésie, c’est tout ce qu’il y a d’intime dans tout.
Les Allemands faisaient grand cas, ou plutôt grand bruit de l'hygiène. […] Les risques de contagion étaient la terreur des nazis. […] Le bruit courait-il qu'un pou avait été vu, tout le block était épouillé, et celui qui, trouvant sur lui un de ces parasites, n'en allait pas aussitôt faire la déclaration, était menacé des pires châtiments, périssait parfois sous les coups : l'épouillage comportait ainsi jusqu'à la mort du pouilleux. C'était un traitement radical.
Le fichu caractère de ma femme avait des causes physiologiques. Son opération l'a transformée.
Evidemment, elle sera toujours un peu châtaigne sous bogue, mais elle devient vivable.Ce n'est ni sur de la plume ni sous des couvertures qu'on parvient à la gloire. Qui sans elle conserve sa vie laisse sur la terre pareil vestige de soi que fumée dans l'air et écume dans l'eau.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.J'ai de plus en plus l'impression que le temps n'existe absolument pas, qu'au contraire il n'y a que des espaces imbriqués les uns dans les autres selon les lois d'une stéréométrie supérieure, que les vivants et les morts au gré de leur humeur peuvent passer de l'un à l'autre, et plus j'y réfléchis, plus il me semble que nous qui sommes encore en vie, nous sommes aux yeux des morts des êtres irréels, qui parfois seulement deviennent visibles, sous un éclairage particulier et à la faveur de conditions atmosphériques bien précises.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Alors on se sent écrasé sous le sentiment de «l'éternelle misère de tout», de l'impuissance humaine et de la monotonie des actions.
Le gazon est toujours plus vert et plus touffu dans le jardin du voisin. L'herbe doit apprécier qu'on la laisse tranquille puisqu'elle n'est jamais aussi prospère que sous la binette distraite des jardiniers municipaux.
L'héroïsme réunissait un monde mêlé sous une même palme. Bien des meurtriers en herbe y trouvaient l'occasion, l'excuse de leur vice et sa récompense, côte à côte avec les martyrs.
De toutes parts, des montagnes de schiste s'élèvent en amphithéâtre, elles déguisent leurs flancs rougeâtres sous des forêts de chênes.
Comment peut-on ne pas adorer les cloîtres, ces lieux tranquilles, fermés et frais, inventés, semble-t-il, pour faire naître la pensée pendant qu'on va à pas lents sous les longues arcades mélancoliques?
Le chantage suppose des menaces sous conditions pour extorquer des sommes auxquelles on n'a aucun droit.
Les Grecs avaient compris la mystérieuse puissance de ce dessous de choses. Ce sont eux qui nous ont légué un des plus beaux mots de notre langue, le mot enthousiasme. — en theo — Un Dieu intérieur.
La beauté et la laideur disparaissent également sous les rides de la vieillesse; l'une s'y perd, l'autre s'y cache.
Il est des critiques qui changent en or tout ce qui leur tombe sous la main; mais à ce privilège de Midas, ils joignent parfois ses oreilles.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
Quand je lis le roman d'un écrivain, je suis toujours frappée de ce regard singulier: cette façon de saisir la banalité et d'en rendre compte sous un angle insolite, cet art de tisser un lien entre des choses qui n'ont pas l'air d'en avoir.
L’homme éprouve une multitude de besoins à la satisfaction desquels sont attachées des jouissances et dont la non-satisfaction lui occasionne des souffrances. Or, seul, isolé, il ne peut pourvoir que d’une manière incomplète, insuffisante à ces besoins qui le sollicitent sans cesse. L’instinct de la sociabilité le rapproche de ses semblables, le pousse à se mettre en communication avec eux. Alors s’établit, sous l’impulsion de l’intérêt des individus ainsi rapprochés, une certaine division du travail, nécessairement suivie d’échanges ; bref, on voit se fonder une organisation, moyennant laquelle l’homme peut satisfaire à ses besoins, beaucoup plus complètement qu’il ne le pourrait en demeurant isolé. Cette organisation naturelle se nomme la société. L’objet de la société, c’est donc la satisfaction plus complète des besoins de l’homme ; le moyen, c’est la division du travail et l’échange.
Moins de gros sous, c'est moins de rides.
L'or de moins, c'est le doute ôté.
Jamais l'amour, ô cieux splendides!
Ne s'éraille à la pauvreté.J'ai fondé la Société protectrice des végétaux. Nous sommes en train de poser des matelas sous les arbres pour amortir la chute des feuilles.
Les fictions qui ont un objet moral s'appellent apologues ou fables, et, comme leur objet n'est ou ne doit être que d'envelopper des vérités utiles sous des formes sensibles et agréables ...
L'amour est une chose sérieuse comme la terre, sérieuse comme nos plaines vides où souffle un vieux chant de guerre, comme nos plaines sous lesquelles sont enterrées plusieurs strates de cadavres, nos marécages, nos steppes, l'amour remonte le cours du temps, il revient aux origines, il réveille les conflits, déterre les haches, il demande de préciser sa loyauté, de déposer une obole sur son seuil avant d'entrer, on ne reste jamais à un seul niveau du temps, aucune unité de lieu, d'espace, l'amour rappelle qu'il y a des frontières et qu'on ne les franchit pas impunément.
Cherchons des voluptés nouvelles ;
Inventons de plus doux désirs ;
L'amour cachera sous ses ailes
Notre fureur et nos plaisirs.
Aimons au moment du réveil ;
Aimons au lever de l'aurore ;
Aimons au coucher du soleil ;
Durant la nuit aimons encore.La plupart des gens, lorsqu'il leur arrive de bâtir des châteaux en Espagne, se voient en rêve sous la figure du fils et héritier d'un grand magnat du pétrole, avec des millions de dollars qui vous pleuvent dessus, une voiture de sport à conduire et des veuves de l'acier ou autres sirènes avec qui flirter. Mais, pour Bunny, le véritable conte de fées, c'était de s'en aller avec une bande de jeunes gens, dans une vieille guimbarde de Ford qui tombait en panne de temps en temps, de camper sous une tente que le vent vous emportait, de s'embaucher à cueillir des fruits avec des Mexicains, des Japonais et des Hindous, et d'envoyer à la maison toutes les semaines, un mandat-poste de dix ou douze dollars !
Odes et Poésies diverses (1822), Préface de Victor Hugo
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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Vipère au poing (1948) de Hervé Bazin
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La Divine Comédie, L'Enfer (1314), XXIV de Dante
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Au soleil (1884) de Guy de Maupassant
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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Thomas l'imposteur (1923) de Jean Cocteau
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Les Chouans de Honoré de Balzac
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La Vie errante, La Sicile de Guy de Maupassant
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Le Roman de l'énergie nationale, Leurs figures (1902) de Maurice Barrès
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Discours de réception l’Académie française de Louis Pasteur, Le 27 avril 1882
de Louis Pasteur
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Bluettes et boutades (1846) de Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn
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Bluettes et boutades (1846) de Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn
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Sur la lecture de Marcel Proust
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La grand-mère de Jade (2009) de Frédérique Deghelt
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De la production de la sécurité », Gustave de Molinari, Journal des économistes, vol. 22 nº 95, (1849) de Gustave de Molinari
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Les Chansons des rues et des bois (1865), Paupertas de Victor Hugo
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Sans référence de Alphonse Allais
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Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, édition posthume 1782), 4ème promenade de Jean-Jacques Rousseau
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Le dernier amour d'Attila Kiss de Julia Kerninon
Références de Julia Kerninon - Biographie de Julia Kerninon
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Les Serments de Evariste Désiré de Forges, vicomte de Parny
Références de Evariste Désiré de Forges, vicomte de Parny - Biographie de Evariste Désiré de Forges, vicomte de Parny
Plus sur cette citation >> Citation de Evariste Désiré de Forges, vicomte de Parny (n° 128916) - Ajouter à mon carnet de citations
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Pétrole ! (1926) de Upton Sinclair
Références de Upton Sinclair - Biographie de Upton Sinclair
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