Citation et puis
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Une Sélection de 1580 citations et proverbes sur le thème et puis.
1580 citations
Je sus rompre devant cette autorité américaine comme j'avais rompu devant tant d'autres autorités, en lui présentant donc ma verge d'abord, et puis mon derrière par suite d'un demi-tour preste, le tout accompagné du salut militaire.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
J'avais grandi avec ces jeunes, je considérais leurs comportements comme normaux et leur langue violente était la mienne. Mais je suivais aussi tous les jours, depuis six ans maintenant, un parcours dont ils ignoraient tout et auquel je faisais face de manière tellement brillante que j'avais fini par être la meilleure. Avec eux je ne pouvais rien utiliser de ce que j'apprenais au quotidien, je devais me retenir, et d'une certaine manière me dégrader moi-même
Je regrette pas d'avoir fait la guerre: d'abord parce que j'suis pas mort, et puis parce que j'ai été décoré; évidemment parce que j'suis pas mort. A la guerre, on décore ceux qui reviennent; ceux qui sont courageux, c'est ceux qui sont morts.
A l'instar de la momie de Toutankhamon qui a clairsemé les rangs des archéologues depuis un siècle, il existe un vampire qui décime les éditeurs de fiction et j'ai le regret de vous avouer qu'il s'agit de moi.
... qui peut se vanter d'avoir assez d'expérience? Celui qui s'est flatté d'en être le mieux pourvu, n'a-t-il jamais été dupe? Et puis, y a-t-il un homme capable d'apprécier juste les circonstances où il se trouve?
Depuis les origines de l'histoire, les relations entre peuples faibles et peuples forts furent exactement celles du gibier avec le chasseur.
Certes je ne participais pas aux exécutions, je ne commandais pas des pelotons ; mais cela ne changeait pas grand-chose, car j'y assistais régulièrement. J'aidais à les préparer et ensuite je rédigeais des rapports ; en outre, c'était un peu par hasard que j'avais été affecté au Stab plutôt qu'aux Teilkommandos. Et si l'on m'avait donné un Teilkommando, aurais-je pu, moi aussi, comme Nagel ou Häfner, organiser des rafles, faire creuser des fosses, aligner des condamnés, et crier « Feu ! » ? Oui, sans doute. Depuis mon enfance, j'étais hanté par la passion de l'absolu et du dépassement des limites ; maintenant, cette passion m'avait mené au bord des fosses communes de l'Ukraine. Ma pensée, je l'avais toujours voulue radicale ; or l'État, la Nation avaient aussi choisi le radical et l'absolu ; comment donc, juste à ce moment-là, tourner le dos, dire non, et préférer en fin de compte le confort des lois bourgeoises, l'assurance médiocre du contrat social ? C'était évidemment impossible. Et si la radicalité, c'était la radicalité de l'abîme, et si l'absolu se révélait être le mauvais absolu, il fallait néanmoins, de cela au moins j'étais intimement persuadé, les suivre jusqu'au bout, les yeux grands ouverts.
J'ai appris depuis que la liberté, pour des raisons évidentes qui tiennent à la structure même de la langue, était au prix de l'exclusion. Et que l'on ne peut éclore que lorsqu'on est éjecté de ce qui est clos.
Et se feit porter depuis la cour du roy jusques à la coste de la mer Mediterrane.
On voit défiler au fond des troupes gauloises, puis une longue procession d'eubages et de druides.
En fait, la vie n'était rien d'autre que cette moiteur charnelle, le désir des hommes et des femmes qui se palpent, qui se donnent, puis se séparent. Qui s'enlacent, qui s'en lassent... Tout le reste était des mensonges de poètes.
Et je crois qu'il (le général de Gaulle) savait, depuis l'enthousiasme de la Libération, qu'il était l'alibi de millions d'hommes.
Monsieur Vernet. Lecture du second acte par les acteurs. D'abord de l'hésitation, puis à la scène entre M. Vernet et Henri, malgré les ânonnements, je sens que ça y est.
On lui aurait donné 15 ans de moins, et dans ses pupilles brillait de nouveau une étincelle disparue depuis l'enfance.
La charité Chrétienne, c'est répondre courage ! à quelqu'un qui vient chercher secours. Et puis à fermer sa porte, à double tour.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
Que l'histoire politique puisse jouer un rôle dans ma propre vie continuait à me déconcerter, et à me répugner un peu. Je me rendais bien compte pourtant, et depuis des années, que l'écart croissant, devenu abyssal, entre la population et ceux qui parlaient en son nom, politiciens et journalistes, devait nécessairement conduire à quelque chose de chaotique, de violent et d'imprévisible. La France, comme les autres pays d'Europe occidentale, se dirigeait depuis longtemps vers la guerre civile, c'était une évidence ; mais jusqu'à ces derniers jours j'étais encore persuadé que les Français dans leur immense majorité restaient résignés et apathiques - sans doute parce que j'étais moi-même passablement résigné et apathique. Je m'étais trompé.
Bien sûr, je suis un pur et absolu démocrate. (...) Depuis la mort du mahatma Gandhi, je n'ai plus personne à qui parler.
Tant de nos rêves semblent d'abord impossibles, puis improbables et enfin ils deviennent inévitables.
Oh ! et puis ça suffit ! On ne fait qu'un bref passage sur cette terre et on passe son temps à se mener une vie d'enfer avec ces histoires d'aspect et d'apparence.
Il faut en prendre son parti: plutôt que de demeurer renfrogné, consentir à débiter quelques banalités, quelques bêtises. Et puis cela met l'autre à son aise.
L'un des traits de l'existence humaine c'est la dissociation entre les apparences de ce qui se laisse voir, se laisse entendre, et puis les réalités.
Attendez que nous partions ensemble, quand je me verrai prêt à mourir, je vous manderai, si je puis, le jour que j'aurai retenu ma place au coche.
Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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L'Amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence (2014) de Elena Ferrante
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L'Ancien combattant de Coluche
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L'Eternel (2013) de Joann Sfar
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Jacques le Fataliste et son maître (1796) de Denis Diderot
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Les Incertitudes de l'heure présente (1923) de Gustave Le Bon
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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La Veuve (1976) de Pierre Rey
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Pélopidas, 56 de Jacques Amyot
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Souvenirs de théâtre, d'art et de critique (1903) de Théophile Gautier
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La Femme qui attendait (2004) de Andreï Makine
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Antimémoires (1967) de André Malraux
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Journal, 24 mars 1903 de Jules Renard
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Ténèbres, prenez-moi la main (2000) de Dennis Lehane
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Et tu te soumettras à la loi de ton père (2010) de Marie-Sabine Roger
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Batouala (1921) de René Maran
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Soumission (2015) de Michel Houellebecq
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Interview, juin 2007 de Vladimir Poutine
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Discours du 26 aout 1996 à la Convention nationale démocrate de Christopher Reeve
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La vie à côté (2013) de Mariapia Veladiano
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Journal 1889-1939, 8 novembre 1927 de André Gide
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L'univers, les dieux, les hommes. Récits grecs des origines (1999) de Jean-Pierre Vernant
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Lettre à Voltaire, 25 janvier 1770 de Jean le Rond d'Alembert
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