Citation ne pas avoir de fin
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème ne pas avoir de fin.
40 citations
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.... Si les hommes ne dansaient pas sur des volcans, je me demande où et quand ils danseraient; l'important est de bien savoir qu'on a le volcan sous les pieds afin de goûter son vrai plaisir d'homme libre.
D'habitude, les gens qui pensent lui faire un compliment en lui disant qu'elle est « bien conservée », ou pire, qu'elle a dû « être une belle femme », l'exaspèrent. Comme si, à partir de la cinquantaine, on n'avait plus qu'à se contenter de sauver les meubles. D'écoper chaque jour un radeau qui prend l'eau. D'avoir la politesse de cacher les outrages du temps sur un visage, et la perspective d'une fin inéluctable qu'on n'aime finalement pas plus voir sur les traits d'autrui que sur les siens.
Comment peut-on reprocher à un président d'avoir une Rolex? Enfin... tout le monde a une Rolex. Si à cinquante ans, on n'a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie.
Et qu'est-ce qu'un Juif qui n'a pas l'air juif, qui n'a pas l'air retors, qui n'a pas les cheveux noirs, qui n'a pas le nez crochu ? Et que dire des Juifs convertis au christianisme ou des Juifs qui ont épousé une Allemande ou des Juives qui ont épousé un Allemand ? Ne jamais savoir réellement ce qu'était au juste cette qualité – ou, comme dirait un antisémite (ou un Juif qui a de l'humour), ce défaut – n'allait pourtant pas empêcher l'administration nazie de réfléchir à comment exproprier les Juifs, puis à comment les concentrer, puis à comment les déporter, puis, enfin, à comment les exterminer.
Je crois avoir enfin compris pourquoi les maigres suscitaient moins de familiarité: on ne peut pas leur taper sur le ventre.
À partir du moment où nous n'avons plus de presse libre, tout peut arriver. Ce qui permet à une dictature totalitaire ou à toute autre dictature de régner, c'est que les gens ne sont pas informés ; comment pouvez-vous avoir une opinion si vous n'êtes pas informé ? Si tout le monde vous ment en permanence, la conséquence n'est pas que vous croyez les mensonges, mais plutôt que personne ne croit plus rien. En effet, les mensonges, de par leur nature même, doivent être modifiés, et un gouvernement menteur doit constamment réécrire sa propre histoire. Le destinataire ne se contente pas d'un seul mensonge - un mensonge qui pourrait durer jusqu'à la fin de ses jours - mais il reçoit un grand nombre de mensonges, selon la direction du vent politique. Et un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut plus se décider. Il est privé non seulement de sa capacité d'agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez alors faire ce que vous voulez.
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
Est-ce que c'est cela l'amour, cette générosité sans contrainte, ce sentiment d'être enfin compris, de ne pas avoir à faire semblant ?
Vous devez enfin devenir maîtres de vous-mêmes. Et, par exemple, savoir faire respecter la loi que vous aurez choisie, comme celle du blocus et de la quarantaine. Un historiographe de Provence dit qu’autrefois, lorsque quelqu’un des consignés venait à s’échapper, on lui faisait casser la tête. Vous ne désirerez pas cela. Mais vous n’oublierez pas non plus l’intérêt général. Vous ne ferez pas d’exception à ces règles pendant tout le temps où elles seront utiles et même si votre coeur vous presse.
Afin que la cour de Turin, qui n'a pas voulu le retenir, et qui est pourtant fâchée de l'avoir perdu, ne s'imagine pas que M. de la Grange, en arrivant à Berlin, ait commencé par essuyer un dégoût apparent.
Le récital de chant donné hier soir à la Salle Pleyel a été le théâtre d'un crêpage de chignons entre la cantatrice et son accompagnatrice. Alors que la pianiste lui avait donné le la au début du concert, la chanteuse ne le lui a pas rendu à la fin du récital, prétextant l'avoir égaré.
Le récital de chant donné hier soir à la Salle Pleyel a été le théâtre d'un crêpage de chignons entre la cantatrice et son accompagnatrice. La pianiste lui ayant donné le la au début du concert, la chanteuse ne le lui a pas rendu à la fin du récital, prétextant l'avoir égaré
Avoir l'heure m'a toujours paru quelque chose de ridicule, de fondamentalement mensonger, peut-être parce qu'une nécessité interne que je n'ai moi même jamais réussi à comprendre m'a toujours fait regimbe contre le pouvoir du temps et me tenir à l'écart de ce que l'on a coutume d'appeler l'actualité, dans l'espoir que le temps ne passe pas, ne soit point révolu, que je puisse revenir en arrière et lui courir après, que là-bas tout soit alors comme avant ou plus précisément, que tous les moments existent simultanément, auquel cas rien de ce que raconte l'histoire ne serait vrai, rien de ce qui s'est produit ne s'est encore produit mais au contraire se produit juste à l'instant où nous le pensons, ce qui d'un autre côté œuvre naturellement sur la perspective désespérante d'une détresse perpétuelle et d'un tourment sans fin.
Quand on est mort, on ne vieillit plus. L'éternité, c'est d'avoir jusqu'à la fin des temps l'âge qu'on avait le jour de son trépas.
Je garde la peur, à la fin de chaque mois, de ne pas avoir mes règles. Je la garderai pendant des années, pendant dix ans, jusqu'au moment où, enfin, arrivera un sentiment nouveau. Je ne veux plus de sang, je suis prête à avoir un enfant.
On pleure pour avoir la réputation d'être tendre, on pleure pour être plaint, on pleure pour être pleuré; enfin on pleure pour éviter la honte de ne pleurer pas.
On croit que les histoires se déroulent avec une sorte de logique, un début et une fin, on fait semblant de ne pas savoir qu'elles sont là tout entières depuis le début, avec leur commencement et leur chute. Mais il faut se mentir un peu.

Edmond Rostand
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Jacques Perret
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Adèle Bréau
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Jacques Séguéla
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Santiago Amigorena
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Philippe Bouvard
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Hannah Arendt
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Jacques Chirac
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J. M. Coetzee
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Albert Camus
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Jean le Rond d'Alembert
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Marc Escayrol
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Marc Escayrol
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W. G. Sebald
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Philippe Bouvard
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Colombe Schneck
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François de La Rochefoucauld
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Michèle Lesbre
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