Citation ne pas avoir de fin
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème ne pas avoir de fin.
40 citations
Je crois avoir enfin compris pourquoi les maigres suscitent moins de familiarité. On ne peut pas leur taper sur le ventre!
Je garde la peur, à la fin de chaque mois, de ne pas avoir mes règles. Je la garderai pendant des années, pendant dix ans, jusqu'au moment où, enfin, arrivera un sentiment nouveau. Je ne veux plus de sang, je suis prête à avoir un enfant.
Madame de Pontchartrain le disputa, et pour fin lui dit qu'avec tout son savoir elle pariait qu'il ne savait pas qui avait fait le Pater.
On croit que les histoires se déroulent avec une sorte de logique, un début et une fin, on fait semblant de ne pas savoir qu'elles sont là tout entières depuis le début, avec leur commencement et leur chute. Mais il faut se mentir un peu.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.On trouve dans le monde beaucoup d'injustices, mais il en est une dont on parle jamais, qui est celle du climat. De cette injustice-là, j'ai été longtemps, sans le savoir, un des profiteurs. J'entends d'ici les accusations de nos féroces philanthropes, s'ils me lisaient. Je veux faire passer les ouvriers pour riches et les bourgeois pour pauvres, afin de conserver plus longtemps l'heureuse servitude des uns et la puissance des autres. Non, ce n'est pas cela. Au contraire, lorsque la pauvreté se conjugue avec cette vie sans ciel ni espoir qu'en arrivant à l'âge d'homme j'ai découverte dans les horribles faubourgs de nos villes, alors l'injustice dernière, et la plus révoltante, est consommée: il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.
Et qu'est-ce qu'un Juif qui n'a pas l'air juif, qui n'a pas l'air retors, qui n'a pas les cheveux noirs, qui n'a pas le nez crochu ? Et que dire des Juifs convertis au christianisme ou des Juifs qui ont épousé une Allemande ou des Juives qui ont épousé un Allemand ? Ne jamais savoir réellement ce qu'était au juste cette qualité – ou, comme dirait un antisémite (ou un Juif qui a de l'humour), ce défaut – n'allait pourtant pas empêcher l'administration nazie de réfléchir à comment exproprier les Juifs, puis à comment les concentrer, puis à comment les déporter, puis, enfin, à comment les exterminer.
Tout là-bas, au fin fond des tréfonds inexplorés et mal famés du bout du bras occidental de la Galaxie, traîne un petit soleil jaunâtre et minable. En orbite autour de celui-ci, à la distance approximative de cent cinquante millions de kilomètres, se trouve une petite planète bleu-vert dont les habitants — descendus du singe — sont primitifs au point de croire encore que les montres à quartz numériques sont une vache de chouette idée. Cette planète a — ou plutôt, elle avait — un problème, à savoir celui-ci : la plupart de ses habitants étaient malheureux la plupart du temps. Bien des solutions avaient été suggérées mais la plupart d'entre elles faisaient largement intervenir la mise en circulation de petits bouts de papier vert, chose curieuse puisque en définitive ce n'étaient pas les bouts de papier vert qui étaient malheureux.
Comment peut-on reprocher à un président d'avoir une Rolex? Enfin... tout le monde a une Rolex. Si à cinquante ans, on n'a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie.
Il avait longtemps rêvé d'avoir une deuxième chance, puis il avait fini par comprendre qu'il n'y en aurait pas. Il avait laissé passer la sienne. Il finirait sa vie d'homme comme il l'avait commencée: flic. En fin de compte, ses rêves s'étaient révélés aussi inconsistants que des nuages.
C'est toujours dommage de ne pas avoir du génie. Mais c'est moins grave, en fin de compte, qu'on ne se l'imagine. Il suffit que les autres croient qu'on en a.
Mais peut-être le temps a-t-il été inventé pour que la souffrance puisse avoir une fin. Qu'elle ne dure pas toujours ? C'est possible. Et la félicité, tout au contraire, serait éternelle ? Pas de temps dans la félicité. Au paradis, on a jeté toutes les pendules.
Quand on est mort, on ne vieillit plus. L'éternité, c'est d'avoir jusqu'à la fin des temps l'âge qu'on avait le jour de son trépas.
J'ai voulu tout à la fois écrire, diriger et jouer mon trentième film afin d'extraire cette fois non pas une, mais quatre frustrations qui, accumulées, ont failli me conduire au suicide : celle de l'acteur rentré que je suis, celle d'avoir vu me filer entre les doigts, pour les succès faciles de la télé cairote, le jeune Mohsen Mohieddine que j'avais patiemment formé pour être mon acteur-fétiche et qui, comme Omar Charif jadis, m'a finalement échappé ; celle de tout créateur égyptien contemporain dont le travail est en butte à une administration qui trompe et dépouille ceux-là mêmes qu'elle devrait défendre... La frustration enfin du Festival de Cannes 1985 où tout indiquait que mon film Adieu Bonaparte ou, en tout cas, Mohsen Mohieddine remporterait un prix et où nous nous sommes finalement retrouvés assommés, abandonnés sans même une fleur.
En dépit de mon désir d'atteindre une sorte de tranquillité, je n'ai cessé d'avoir l'esprit traversé de questions. Pourtant, à la fin, je me souviens de cette seule interrogation: est-ce si grave de ne pas aimer, toujours ?
Avoir l'heure m'a toujours paru quelque chose de ridicule, de fondamentalement mensonger, peut-être parce qu'une nécessité interne que je n'ai moi même jamais réussi à comprendre m'a toujours fait regimbe contre le pouvoir du temps et me tenir à l'écart de ce que l'on a coutume d'appeler l'actualité, dans l'espoir que le temps ne passe pas, ne soit point révolu, que je puisse revenir en arrière et lui courir après, que là-bas tout soit alors comme avant ou plus précisément, que tous les moments existent simultanément, auquel cas rien de ce que raconte l'histoire ne serait vrai, rien de ce qui s'est produit ne s'est encore produit mais au contraire se produit juste à l'instant où nous le pensons, ce qui d'un autre côté œuvre naturellement sur la perspective désespérante d'une détresse perpétuelle et d'un tourment sans fin.
Du haut de mes vingt et un ans, je découvrais enfin toutes les grandes vérités de la vie : on peut être amoureux et se sentir encore incroyablement seul. On peut avoir tout ce qu'on a toujours voulu et s'apercevoir qu'on ne voulait pas les bonnes choses.
La plupart des choses qui ont de l'importance dans notre vie se passent en notre absence : mais il me semble que j'ai trouvé quelque part le truc pour tout savoir afin que tout soit dans ma tête, jusqu'au moindre détail, comme le brouillard semble se déverser dans l'air du matin... tout et pas seulement les quelques indications qui permettent d'avancer, comme par exemple ouvrir une vieille malle couverte de toiles d'araignées et bien close.
Vous devez aimer votre père et votre mère, vous ! dit le vieillard en serrant de ses mains défaillantes la main d'Eugène. Comprenez-vous que je vais mourir sans les voir, mes filles ? Avoir soif toujours, et ne jamais boire, voilà comment j'ai vécu depuis dix ans… Mes deux gendres ont tué mes filles. Oui, je n'ai plus eu de filles après qu'elles ont été mariées. Pères, dites aux Chambres de faire une loi sur le mariage ! Enfin, ne mariez pas vos filles si vous les aimez.
Même la solitude, j’ai fini par vraiment l’apprécier. Ça ne veut pas dire que je n’espère pas un peu plus de compagnie à la fin de l’année, quand j’en aurai fini avec tout ça. Mais j’aime la sensation d’entrer dans ma petite voiture, de savoir que pendant les deux heures suivantes je n’aurai pour compagnie que les routes, le grand ciel gris et mes rêveries.
Enfin ce n'est pas parce qu'un imbécile a deux pieds comme moi, au lieu d'en avoir quatre comme un âne, que je me crois obligé de l'aimer, ou tout au moins de dire que je l'aime, et qu'il m'intéresse.
... Si les hommes ne dansaient pas sur des volcans, je me demande où et quand ils danseraient; l'important est de bien savoir qu'on a le volcan sous les pieds afin de goûter son vrai plaisir d'homme libre.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
D'habitude, les gens qui pensent lui faire un compliment en lui disant qu'elle est « bien conservée », ou pire, qu'elle a dû « être une belle femme », l'exaspèrent. Comme si, à partir de la cinquantaine, on n'avait plus qu'à se contenter de sauver les meubles. D'écoper chaque jour un radeau qui prend l'eau. D'avoir la politesse de cacher les outrages du temps sur un visage, et la perspective d'une fin inéluctable qu'on n'aime finalement pas plus voir sur les traits d'autrui que sur les siens.

Philippe Bouvard
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