Citation ne pas avoir le temps
Découvrez une citation ne pas avoir le temps - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase ne pas avoir le temps issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème ne pas avoir le temps.
100 citations
Il faut respecter les règles sinon c’est aussi l’aventure. Il ne faut pas céder aux mouvements impulsifs de l’opinion. Il faut laisser le temps à la réflexion. Coluche avait une phrase très juste : « c’est pas parce qu’ils sont majoritaires à avoir tort qu’ils ont forcément raison »
Comment savoir si cette journée n'est pas la dernière ? On croit qu'on a le temps. Et puis, tout d'un coup, ça y est, on se noie, fin du temps réglementaire. La mort est le seul rendez-vous qui ne soit pas noté dans votre organizer.
Il faudrait pouvoir, à l'aide d'un filtre magique ou d'une visionneuse interne, remonter le temps et se revoir, avant. Se souvenir de ce que nous pensions alors, de nos impressions, mais avec la prescience des événements à venir, afin de ne pas oublier certains détails que nous regretterons, plus tard, d'avoir négligés au profit de futilités qui occupaient nos esprits et nous semblaient, alors, de la plus haute importance - et que nous avons, depuis, évidemment oubliées.
Et avoir 40 ans, c'est comme habiter dans le même appartement depuis autant d'années. A un moment, il faut faire un tri. Se réapproprier les objets pour ne pas être assujetti par eux. Qu'est-ce que je garde? Est-ce que j'ai vraiment besoin de ce truc? C'est aussi le moment où on se pose des questions sur ses amitiés, ses relations, où il est temps de remettre les choses à plat. Si on ne le fait pas, la vie s'en chargera et là… ça risque de faire très mal.
Héros, bourgeois, anges, démons, hommes de plein soleil et rond-de-cuir de l'ombre, faites attention ! prévient Homère. Ne chercher point à trop réussir votre mort. Sous peine de rater ce qui la précédait et qui n'est pas négligeable… la vie ! Brave, beau, harmonieux, fort, renommé, prêt à renoncer à une vie de café, comme disait Stendhal pour qualifier l'existence facile : tel est le héros grec. Peut-être à se hisser trop haut regrettera-t-il un jour de n'avoir pas su apprécier sa dernière matinée de printemps. Un héros est l'homme de l'éclat. Son plastron de gloire sera peut-être un jour baigné de ses larmes.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je savais qu'il ne pleuvrait pas sur mes noces pour une simple raison : quand on a souffert aussi longtemps que moi, on mérite une sorte de récompense. Ce jour-là, encore une fois, je m'étais fiée à mon instinct. Et j'avais eu raison de le faire. La vie ne m'a pas toujours fait de cadeaux. Après tant d'années de travail acharné et d'épreuves, je me réjouissais de profiter de l'instant présent avec Erwin, de me lever en paix chaque matin, sans un souci, ni un besoin, ni un projet. J'ai atteint le nirvana... cet état de félicité suprême où on ne désire plus rien. Trois mois plus tard, je me suis réveillée en proie à la panique. J'avais l'impression d'avoir reçu un coup à la tête et sur ma jambe droite, et une drôle de sensation au niveau de la bouche me gênait pour appeler Erwin à mon aide. Ce qui m'arrivait dépassait mes pires craintes. Je faisais un AVC.
En quittant la cabine d'Emily (et une telle intimité ne se renouvellerait pas), je savais que je serais toujours lié à elle par quelque rivière souterraine, ou filon de charbon ou d'argent — disons d'argent, car elle a toujours beaucoup compté pour moi. En mer Rouge, je suis sans doute tombé amoureux d'elle. Même si, quand je me suis arraché à elle, le magnétisme, quel qu'il soit, avait perdu sa force. Combien de temps suis-je resté avec Emily dans ce qui m'avait paru un lit haut comme le ciel ? Quand nous nous étions revus, nous n'en avons pas reparlé. Elle ne se souvient peut-être même pas quel poids de chagrin elle m'a ôté ou a tenu, ni pendant combien de temps. Je n'avais jamais connu pareille étreinte, pareille odeur d'un bras émergeant du sommeil. Je n'avais jamais pleuré à côté de quelqu'un qui, aussi, m'excitait d'une manière mystérieuse. Pendant qu'elle baissait les yeux sur moi, il devait y avoir chez elle une certaine compréhension, ainsi que dans ses petits gestes pleins d'attention.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
A quoi ça sert d'avoir une famille si elle a pas le temps de s'occuper de vous et de vous aimer ?
Vous devez enfin devenir maîtres de vous-mêmes. Et, par exemple, savoir faire respecter la loi que vous aurez choisie, comme celle du blocus et de la quarantaine. Un historiographe de Provence dit qu’autrefois, lorsque quelqu’un des consignés venait à s’échapper, on lui faisait casser la tête. Vous ne désirerez pas cela. Mais vous n’oublierez pas non plus l’intérêt général. Vous ne ferez pas d’exception à ces règles pendant tout le temps où elles seront utiles et même si votre coeur vous presse.
Ne cherche pas à connaître, il est défendu de le savoir, quelle destinée nous ont faite les Dieux, à toi et à moi, ô Leuconoé ; et n'interroge pas les Nombres Babyloniens. Combien le mieux est de se résigner, quoi qu'il arrive ! Que Jupiter t'accorde plusieurs hivers, ou que celui-ci soit le dernier, qui heurte maintenant la mer Tyrrhénienne contre les rochers immuables, sois sage, filtre tes vins et mesure tes longues espérances à la brièveté de la vie. Pendant que nous parlons, le temps jaloux s'enfuit.
Cueille le jour, et ne crois pas au lendemainDès que se pose la question du temps de lire, c'est que l'envie n'y est pas. La question n'est pas de savoir si j'ai le temps de lire ou pas (temps que personne, d'ailleurs ne me donnera), mais si je m'offre ou non le bonheur d'être lecteur.
Lui qui n'avait pas attendu que le temps et tout ce qu'apporte le temps lui apprissent que le suprême degré de la sagesse était d'avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre de vue pendant qu'on les poursuit.
Tout ce qui cinglait en elle de vif et d'ardent, cette légèreté à pleine vitesse, joueuse et féroce, ce pas de reine qu'elle avait encore cet après-midi dans les couloirs de la réa, tout cela prend l'eau à toute allure, et pendouille dans son cerveau, lourd, détrempé : à force d'avoir vingt-trois ans elle en avait vingt-huit, à force d'en avoir vingt-huit, elle en a trente et un, le temps cavale tandis qu'elle jette sur son existence un regard froid, un regard qui dézingue l'un après l'autre les différents secteurs de sa vie.
Suis-je destiné à savoir mais non pas à chercher ? Songiez-vous à quel point cela serait ardu pour moi ? Est-ce pour cette raison que vous avez tout rendu si difficile ? Pour me donner le temps de comprendre par moi-même ?
L'important n'était pas d'économiser le plus de temps possible, mais de savoir que faire du temps ainsi économisé ; si c'était pour l'utiliser à mauvais escient, mieux valait ne pas en avoir.
La bêtise, c'est une question de cocktail : le bon Dieu n'avait pas beaucoup de temps pour faire son monde, la distribution fut incertaine et inégale. Le prix à payer pour avoir Einstein d'un côté, c'est d'avoir un imbécile de l'autre côté !
Crois-moi, il n'y a pas de grande douleur, pas de grands repentirs, de grands souvenirs. Tout s'oublie même les grandes amours. C'est ce qu'il y a de triste et d'exaltant à la fois dans la vie. Il y a seulement une certaine façon de voir les choses et elle surgit de temps en temps. C'est pour ça qu'il est bon quand même d'avoir eu un grand amour, une passion malheureuse dans sa vie. Ça fait du moins un alibi pour les désespoirs sans raison dont nous sommes accablés.
Savoir que, lorsqu'on dit quelque chose à quelqu'un, ce n'est pas ce qu'on lui dit qui se met à exister, mais une infinité d'aventures possibles et impossibles en même temps. Les mots jouent, sur la pensée, le même rôle que la lune sur les marées.
Si j'ai toujours défendu le sérieux budgétaire en temps de paix, c'est pour que la France n'ait pas à lésiner sur les moyens en temps de guerre. Comme l'a très bien dit le président de la République lundi, nous sommes en guerre . Contre cette épidémie d'abord, et contre les conséquences qu'elle risque d'avoir sur notre économie. Il faudra s'en relever, c'est la raison pour laquelle l’État ne va pas lésiner sur les moyens.
Le temps n’appartient à personne, mais surtout pas à moi. Depuis des années, je cours derrière lui sans parvenir à le saisir. Le travail, la cuisine, le ménage, les courses, les papiers, les enfants. Les minutes pour moi ont la saveur des choses rares. Quand j’étais petite, je n’avais que deux désirs : devenir grande et ne jamais avoir à me doucher. Aujourd’hui, je donnerais beaucoup pour faire une pause dans ma vie d’adulte, et une longue douche chaude est devenue un luxe ultime.
Je ne pense pas que c'était une erreur pour l'Europe, mais c'était bien plus problématique en Amérique. Je n'ai eu aucun problème concernant le fait que les gens sachent que j'étais bisexuel. Mais je n'avais aucune envie de tenir un drapeau ou d'être le représentant d'un quelconque groupe de personnes. Je savais ce que je voulais être, à savoir un auteur-compositeur et un interprète, et je sentais que l'on me résumait désormais à cette bisexualité et pour très longtemps. L'Amérique est très puritaine et je pense que ça m'a empêché de faire beaucoup de choses
Le lecteur unique ne serait pas vraiment un lecteur si mon livre ne l'étonnait pas. L'intérêt, pour lui, est de me découvrir en me lisant. Donc, en même temps, il doit venir de loin, ne m'avoir jamais fréquenté. La contradiction qui rend toute approche du lecteur unique si difficile , elle est là : il faut qu'il me connaisse assez pour me retrouver, et trop peu pour ne pas être surpris. Il faut que la connaissance et la surprise soient, toutes les deux, totales.
Je vous conseille aussi d'avoir en même temps deux maîtresses, et si vous en avez plus, votre coeur n'en sera que plus ferme ; le coeur, volant ainsi d'une belle à une autre, ces deux amours s'affaiblissent réciproquement. Les plus grands fleuves s'amoindrissent quand leurs eaux sont divisées en plusieurs ruisseaux ; la flamme s'éteint faute du bois qui lui servait d'aliment ; une seule ancre ne suffit pas pour arrêter plusieurs vaisseaux ; et, quand on pêche à la ligne, il faut y attacher plus d'un hameçon ; l'amant qui, de longue main, s'est ménagé une double consolation a, dès ce moment, remporté une victoire éclatante
Interview La Montagne, Propos recueillis par Claude Lesme, 17 mars 2019 de Michel Charasse
Références de Michel Charasse - Biographie de Michel Charasse
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Charasse (n° 167684) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
99 francs (2000) de Frédéric Beigbeder
Références de Frédéric Beigbeder - Biographie de Frédéric Beigbeder
Plus sur cette citation >> Citation de Frédéric Beigbeder (n° 130354) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La fille de son père (2010) de Anne Berest
Références de Anne Berest - Biographie de Anne Berest
Plus sur cette citation >> Citation de Anne Berest (n° 165078) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview de Sophie Marceau, Le Journal du Dimanche, le 24 juillet 2010, par Danielle Attali de Sophie Marceau
Références de Sophie Marceau - Biographie de Sophie Marceau
Plus sur cette citation >> Citation de Sophie Marceau (n° 163254) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un été avec Homère de Sylvain Tesson
Références de Sylvain Tesson - Biographie de Sylvain Tesson
Plus sur cette citation >> Citation de Sylvain Tesson (n° 156354) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
Références de Tina Turner - Biographie de Tina Turner
Plus sur cette citation >> Citation de Tina Turner (n° 175170) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Table des autres (2012) de Michael Ondaatje
Références de Michael Ondaatje - Biographie de Michael Ondaatje
Plus sur cette citation >> Citation de Michael Ondaatje (n° 163782) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Tiers-instruit (1991) de Michel Serres
Références de Michel Serres - Biographie de Michel Serres
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Serres (n° 160996) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Autobiographie d'une courgette (2002) de Gilles Paris
Références de Gilles Paris - Biographie de Gilles Paris
Plus sur cette citation >> Citation de Gilles Paris (n° 145648) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 168419) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Odes, I, 11 de Horace
Références de Horace - Biographie de Horace
Plus sur cette citation >> Citation de Horace (n° 154986) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Comme un roman de Daniel Pennac
Références de Daniel Pennac - Biographie de Daniel Pennac
Plus sur cette citation >> Citation de Daniel Pennac (n° 24007) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sartoris (1929) de William Faulkner
Références de William Faulkner - Biographie de William Faulkner
Plus sur cette citation >> Citation de William Faulkner (n° 53597) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Réparer les vivants (2013) de Maylis de Kerangal
Références de Maylis de Kerangal - Biographie de Maylis de Kerangal
Plus sur cette citation >> Citation de Maylis de Kerangal (n° 155396) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Harry Potter et les Reliques de la Mort (2007) de J. K. Rowling
Références de J. K. Rowling - Biographie de J. K. Rowling
Plus sur cette citation >> Citation de J. K. Rowling (n° 137540) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Il est un pont sur la Drina (1956) de Ivo Andric
Références de Ivo Andric - Biographie de Ivo Andric
Plus sur cette citation >> Citation de Ivo Andric (n° 154618) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview dans Télérama, 2003. de Umberto Eco
Références de Umberto Eco - Biographie de Umberto Eco
Plus sur cette citation >> Citation de Umberto Eco (n° 161257) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Mort heureuse (1971) de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 166015) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
De l'anarchie comme battements d'ailes de Armand Gatti
Références de Armand Gatti - Biographie de Armand Gatti
Plus sur cette citation >> Citation de Armand Gatti (n° 52980) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Les Echos, le 17 Mars 2020 de Gérald Darmanin
Références de Gérald Darmanin - Biographie de Gérald Darmanin
Plus sur cette citation >> Citation de Gérald Darmanin (n° 169642) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les possibles (2021) de Virginie Grimaldi
Références de Virginie Grimaldi - Biographie de Virginie Grimaldi
Plus sur cette citation >> Citation de Virginie Grimaldi (n° 172340) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview de 2002 avec Blender de David Bowie
Références de David Bowie - Biographie de David Bowie
Plus sur cette citation >> Citation de David Bowie (n° 158193) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mon roman et moi (2003) de Bernard Pingaud
Références de Bernard Pingaud - Biographie de Bernard Pingaud
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Pingaud (n° 167825) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Remèdes d'amour de Ovide
Références de Ovide - Biographie de Ovide
Plus sur cette citation >> Citation de Ovide (n° 163001) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur ne pas avoir le temps
Toutes les citations sur ne pas avoir le temps Citations ne pas avoir le temps Citation sur ne Citations courtes ne
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
