Citations de Sylvia Plath


Découvrez une citation de Sylvia Plath - un proverbe, une phrase, une parole, une pensée, une formule, un dicton ou une citation de Sylvia Plath issus de romans, d'extraits courts de livres, essais, discours ou entretiens de l'auteur. Une sélection de 30 citations et phrases de Sylvia Plath .

Sylvia Plath

Sylvia Plath
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30 citations (Page 1 sur un total de 2 pages)

Je dois cultiver cette bizarrerie et cette intériorité simplement en demeurant en moi-même, et en étant fidèle à mes farfadets et démons personnels.
Carnets intimes (1997) de
Sylvia Plath


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Voir chaque scène dans toute sa profondeur, la traiter amoureusement comme un joyau aux multiples facettes. Trouver la lumière, l’ombre et la couleur vive. Déterminer la scène la veille au soir. Puis dormir dessus et l’écrire le matin.
Carnets intimes (1997) de
Sylvia Plath


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J'ai entrepris d’aller à la pêche dans l’océan immobile, stagnant et putride mais potentiellement riche de mon subconscient.
Carnets intimes (1997) de
Sylvia Plath


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Je dois me souvenir, c’est de cette matière qu’est faite la littérature, de cette matière de vie remémorée.
Carnets intimes (1997) de
Sylvia Plath


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Je voyais les jours de l’année s’étaler devant moi, comme une succession de boîtes blanches, brillantes et pour séparer chaque boîte de la suivante, il y avait comme une ombre noire, le sommeil... Malheureusement pour moi, la longue zone d’ombre qui séparait les boîtes les unes des autres avait disparu et je voyais chaque jour briller devant moi une sorte de large route blanche, désertique.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Les gens ne sont faits avec rien de plus que de la poussière, je ne voyais pas du tout pourquoi soigner ces tas de poussière vaudrait mieux qu'écrire des poèmes dont les gens se souviendraient, qu'ils se réciteraient quand ils seraient tristes, malades ou insomniaques...
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Je voulais faire les choses une fois pour toutes et en finir avec elles pour de bon.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Je ne pouvais m’empêcher de me demander quel effet cela fait de brûler vivant tout le long de ses nerfs.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Le problème était que cela faisait longtemps que je ne servais à rien, et le pire, que ce n’était que maintenant que je m’en rendais compte.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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L’ennui, c’est que l’église, même l’église catholique, ne vous absorbe pas entièrement. On peut s’agenouiller et prier pendant des heures, mais il faut quand même manger trois fois par jour, avoir un boulot et vivre dans le monde.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Je trouvais que l'obscurité était la plus belle chose au monde. Des millions de choses mouvantes, des millions de culs-de-sac d'ombre. De l'obscurité dans les tiroirs des bureaux, dans les placards, dans les valises, sous les maisons, sous les arbres, sous les cailloux, des ombres derrière le sourire des gens , derrière leurs yeux, de l'obscurité... des kilomètres et des kilomètres et des kilomètres d'obscurité du côté obscur de la terre.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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L'homme est une flèche vers le futur et la femme est l'endroit d'où part cette flèche.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Ce qu'un homme cherche, c'est une épouse, ce que cherche la femme c'est la sécurité illimitée
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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L’ennui quand on saute, c’est que si on se trompe dans le nombre d’étages, on peut se retrouver encore vivant sur la chaussée. L’ennui quand on saute, c’est que si on se trompe dans le nombre d’étages, on peut se retrouver encore vivant sur la chaussée.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Je serai toujours prisonnière de cette même cloche de verre, je mijoterais toujours dans le même air vicié.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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J’ai toujours adoré observer les autres dans des situations critiques. Quand il y avait un accident de voiture, une bagarre ou un bébé conservé sous cloche dans un laboratoire, je m’arrêtais toujours et j’observais avec tant d’avidité que je m’en souvenais pour la vie. C’est ainsi que j’ai appris des tas de choses que je n’aurais jamais apprises autrement, et même lorsqu’elles me surprenaient ou me rendaient malade, je n’en disais rien, au contraire, je prétendais que j’avais toujours su que les choses se passaient ainsi.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Si vouloir au même moment deux choses qui s'excluent mutuellement, c'est être névrosé, alors je suis névrosée jusqu'à l'os. Je naviguerai entre deux choses qui s'excluent mutuellement jusqu'à la fin de mes jours.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Je me sentais très calme, très vide, comme doit se sentir l'oeil d'une tornade qui se déplace tristement au milieu du chaos généralisé.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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J'ai respiré un grand coup et j'ai écouté mon vieux cœur fanfaron. Je vis, je vis, je vis.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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J’ai horreur de parler à un groupe. Quand je dois parler à un groupe, j’essaie toujours d’isoler une personne et de lui parler à elle, mais pendant que je parle je sens que les autres m’observent et me prennent en traître. J’ai également horreur des gens qui vous demandent pleins d’entrain comment vous vous sentez et qui s’attendent à ce que vous leur répondiez « Très bien » alors qu’ils savent pertinemment que vous êtes à l’agonie.
La Cloche de détresse (1972) de
Sylvia Plath


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Google a dédié un Doodle à la célèbre poétesse Sylvia Plath, le dimanche 27 octobre 2019.



Née à Boston le 27 octobre 1932, Sylvia Plath est l'une des poétesses de langue anglaise les plus renommées du XXe siècle. Plus de 50 ans après sa mort, elle continue toujours de fasciner. Sylvia Plath (1932-1963) est née à Boston, Massachusetts. Très jeune, elle commence à écrire des poèmes et des nouvelles. Brillante étudiante, elle est admise à Cambridge. En Angleterre, elle rencontre le poète anglais Ted Hughes ; ils se marient en 1956. Le jeune couple part aux Etats-Unis où elle enseigne à Smith College. Plus tard, ils retournent en Angleterre, où elle continue d’écrire de la poésie. Le Colosse et autres poèmes, paraît en 1962, suivi d’un roman, La Cloche de verre, en 1963. Elle se donne la mort en Février 1963. Ses Collected Poems, réunis après sa mort, ont reçu le prix Pulitzer lors de leur publication en 1981.


Doodle Sylvia Plath



Sylvia Plath

Les plus belles citations de Sylvia Plath



Les extraits sont issus des Journaux de Sylvia Plath 1950-1962.

« Bourgeonner, se gonfler de la substance, de la texture de la vie, tel est mon travail, ma vocation. Qui donne à mon être, un nom et un sens : « faire de l’instant quelque chose de permanent . »



« Chacun des sujets me plait profondément. Il faut qu’ils se déposent dans mon esprit, s’incrustent et s’étoffent. »



« Ecrire est un acte religieux, une manière d’ordonner, corriger, réapprendre et réaimer les gens et le monde, tels qu’ils sont et pourraient être. Créer une forme qui ne se perd pas, contrairement à un jour de dactylographie ou d’enseignement. Le texte écrit, reste, voyageant de son côté dans le monde. (…) On a le sentiment de rendre la vie plus intense – on donne plus, on scrute, on interroge, regarde et apprend, on crée cette forme, et on reçoit plus en retour : monstres, réponses, couleur et ligne, connaissance. »



« Je sens bien que je possède miraculeusement, une chose impossible, merveilleuse : Ted et moi sommes parfaitement en accord, corps et âme, comme dit la chanson ridicule – écrire est notre vocation, chacun est pour l’autre l’amour, et nous avons le monde à explorer. Comment ai-je pu vivre cette époque stérile et désespérée où j’expérimentais et sortais avec les uns et les autres, écoutant ma mère me mettre en garde, dire que j’étais trop critique, que je mettais la barre trop haut et resterais vieille fille. Après tout, ç’aurait peut être été le cas si Ted n’avait pas existé. (…) Féminine, j’aime être entourée et dominée. Mais je peux tuer dans mon esprit tout homme faible, duplice ou pervers (…). Nos besoins se rencontrent et se confondent : solitude, tranquilité, longues promenades, bonne viande, toutes nos journées pour écrire, et un petit nombre d’amis remarquables qui ne jugent jamais sur les apparences. (…) Il prend tout de moi, il utilise tout si bien que je brûle et rayonne d’amour comme un feu, et c’est ce dont je rêvais dans la vie, de pouvoir donner sans réserve mon amour et ma joie spontanée, sans rien garder par peur de mensonges, abus ou trahisons. »



« L’Amérique toute entière semble n’être une file de voitures en mouvement, avec des gens entassés à l’intérieur, et qui vont d’une station d’essence à un restoroute.»



« Il faut oublier à présent les histoires qui se vendent. Ecrire pour rendre une humeur, un incident, et s’il y a de la couleur et du sentiment, cela devient une histoire. Donc essayer de se souvenir : … Ne pas manipuler l’expérience, mais la laisser se déployer et se reconstituer, dans ses associations ténues et spécifiques, que l’esprit logique court-circuiterait. »



« Dans ma sollicitude pour les autres êtres humains, quelle est la part sincère et vraie, quelle est la part du vernis imposée par la société, de l’affectation, je n’en sais rien. J’ai peur de me regarder en face. »

«Ce que je redoute le plus je crois c’est la mort de l’imagination. Quand dehors le ciel est tout simplement rose et les toits tout simplement noirs : cette disposition photographique de l’esprit, qui paradoxalement dit la vérité sur le monde, mais une vérité sans valeur. (…) Si je ne bouge pas et si je ne fais rien, le monde continue de battre comme un tambour mal tendu, dépourvu de sens. (…) La pauvreté d’un monde sans rêves est inimaginable tant elle est affreuse. C’est cette folie qui est la pire. L’autre celle avec des visions et des hallucinations, serait un soulagement (…). »



« Je pourrai par exemple fermer les yeux, me boucher le nez et sauter aveuglément dans un homme, me laissant recouvrir par les eaux de son fleuve, jusqu’à ce que ses buts deviennent les miens, sa vie la mienne,etc. Un beau jour je remonterai à la surface en flottant, totalement noyée et ravie d’avoir trouvé ce nouveau moi sans moi. » ou encore « Je voudrais une vie conflictuelle, un équilibre entre les enfants, les sonnets, l’amour et les casseroles sales. », « Et je me disais holà, attention, tu vas te réfugier dans les domestique, et suffoquer en tombant tête la première dans un bol de pâte à biscuits. »



« Chaque pensée est un démon, un enfer (…) ! (…) Paralysée, amère, tu regardes le monde te claquer les portes les unes après les autres. Ah, ce secret que tu possédais jadis, d’être joyeuse, de rire, d’ouvrir des portes, tu l’as oublié »



« Je ne veux pas d’emploi tant que je ne suis pas satisfaite de mon travail d’écrivain – et pourtant j’ai désespérément envie d’avoir un emploi – d’être remplie par la réalité extérieure – celle où les gens acceptent que les notes de téléphone, les repas à préparer, les enfants, le mariage fasse partie du dessein du monde. »



« J’en ai assez des dîners, de ce prix fixé socialement qu’il faut payer et rendre, en donnant de plus en plus de soi-même, et ça je n’en peux plus. »



« L’amour est une illusion mais j’y succomberais bien volontiers si je pouvais y croire »



Citations célèbres, courtes, longues et belles de Sylvia Plath




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