Citation ni d
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Une Sélection de 610 citations et proverbes sur le thème ni d.
610 citations
Ce qui est extraordinaire chez Bayrou, ce qui le rend irremplaçable, poursuivit Tanneur avec enthousiasme, c'est qu'il est parfaitement stupide, son projet politique s'est toujours limité à son propre désir d'accéder par n'importe quel moyen à la « magistrature suprême », comme on dit ; il n'a jamais eu, ni feint d'avoir la moindre idée personnelle ; à ce point, c'est tout de même rare. Ça en fait l'homme politique idéal pour incarner la notion d'humanisme, d'autant qu'il se prend pour Henri IV, et pour un grand pacificateur du dialogue interreligieux ; il jouit d'ailleurs d'une excellente cote auprès de l'électorat catholique, que sa bêtise rassure. C'est exactement ce dont a besoin Ben Abbes, qui souhaite avant tout incarner un nouvel humanisme, présenter l'islam comme la forme achevée d'un humanisme nouveau, réunificateur, et qui est d'ailleurs parfaitement sincère lorsqu'il proclame son respect pour les trois religions du Livre.
La terre n'aimait pas, ne haïssait pas, ne pensait ni au mal, ni au bien. Ne pensait pas. Les hommes dessus, misérables colons dans leur habit de sueur, avec ce besoin de tout nommer, de ramener la terre à une compréhension factice. Les hommes, qui avaient tant besoin de trouver des explications à ce qui ne demandait rien, quand il aurait fallu écouter, regarder la terre se pencher, aimanter toutes les formes de vie, la moindre particule minérale, et même les oiseaux finissaient toujours par se poser et les poussières par retomber.
Le bonheur est un état d'esprit, il ne dépend pas de ce qui se passera plus tard ni d'un fait extérieur. Il commence ici et maintenant.
Des perspectives bien plus intéressantes peuvent s'ouvrir dés lors que nous choisissons une position située en dehors de la ligne de la dichotomie. (...) Chaque fois que l'on déroule le film de la vie, l'évolution prend une voie différente de celle que nous connaissons. (...). Mais la diversité des itinéraires possibles montre à l'évidence que les résultats finaux ne peuvent être prédit au départ. (...) Cette troisième alternative ne représente ni plus, ni moins que l'essence de l'histoire. Elle a pour nom contingence - et la contingence est une chose en soi, et non la combinaison du déterminisme et du hasard.
La communauté est une nappe affective souterraine et chacun boit la même eau à cette source et à ce puits qu'il est lui-même - mais sans le savoir, sans se distinguer de lui-même, de l'autre ni du Fond.
Car enfin, qu'est ce que l'homme dans la nature? - Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.
Je ne veux point la contrarier, ni lui parler de moutons quand elle a la tête tout en combustion pour le mariage.
Je savais qu'il ne pleuvrait pas sur mes noces pour une simple raison : quand on a souffert aussi longtemps que moi, on mérite une sorte de récompense. Ce jour-là, encore une fois, je m'étais fiée à mon instinct. Et j'avais eu raison de le faire. La vie ne m'a pas toujours fait de cadeaux. Après tant d'années de travail acharné et d'épreuves, je me réjouissais de profiter de l'instant présent avec Erwin, de me lever en paix chaque matin, sans un souci, ni un besoin, ni un projet. J'ai atteint le nirvana... cet état de félicité suprême où on ne désire plus rien. Trois mois plus tard, je me suis réveillée en proie à la panique. J'avais l'impression d'avoir reçu un coup à la tête et sur ma jambe droite, et une drôle de sensation au niveau de la bouche me gênait pour appeler Erwin à mon aide. Ce qui m'arrivait dépassait mes pires craintes. Je faisais un AVC.
Tu changes de ville, de chambre, de visage, de ville, d'amour, mais même quand tu te dépouilles de tout, il reste toujours quelque chose de permanent, qui réside en toi depuis que tu es doué de mémoire et depuis bien avant que tu aies atteint l'âge de raison, le noyau ou la moelle de ce que tu es, de ce qui jamais ne s'est éteint, non pas une conviction ni un désir, mais un sentiment, parfois amorti comme la braise du feu de la veille cachée sous les cendres, mais presque toujours très vif, qui palpite dans tes actions et qui colore les choses d'un éloignement durable dans le temps; tu as le sentiment d'être déraciné, étranger, de ne jamais être tout à fait nulle part, de ne pas partager les certitudes d'appartenance qui pour d'autres semblent si naturelles ou faciles, ni l'assurance avec laquelle beaucoup d'entre eux s'accommodent ou possèdent, ou bien tiennent pour acquises la solidité du sol où ils marchent, la fermeté de leurs idées, la durée future de leur vie.
Ma formule pour ce qui est grand dans l'homme est amor fati: ne rien vouloir d'autre que ce qui est, ni devant soi, ni derrière soi... Ne pas se contenter de supporter l'inéluctable, mais l'aimer.
Une oeuvre d'art a un auteur, et pourtant, quand elle est parfaite, elle a quelque chose d'essentiellement anonyme. Elle imite l'anonymat de l'art divin. Ainsi la beauté du monde prouve un Dieu à la fois personnel et impersonnel, et ni l'un ni l'autre.
Ainsi vont mes amours, entre les larmes et le rire. Je ne les vois guère aboutir à des satisfactions ni à des espérances. Pauvres petites ! Elles aussi, comme moi, elles vivent à la petite semaine, à la va-comme-je-te-pousse, dans des palais de glaces où l'on se réjouit quand on se fait peur.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je suis de tradition grecque, comme tous les philosophes ; mais on oublie trop souvent qu'il y a au moins deux traditions, celle de Platon et celle d'Aristote. J'ai longtemps été, en raison de mon intérêt pour les mathématiques, pleinement platonicien. Il m'a fallu un certain âge pour « découvrir » la pensée d'Aristote. Je suis maintenant devenu plutôt aristotélicien… Il suffit de lire les Allemands pour se rendre compte qu'ils sont eux-mêmes aristotéliciens, pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont pas eu nos Lumières ni la Révolution française, qui a supprimé chez nous la tradition aristotélicienne pour ne garder que la tradition platonicienne. La tradition aristotélicienne étant associée au Moyen Âge, à la scolastique, au christianisme… D'une certaine manière, Heidegger, c'est du Aristote… Du Aristote traduit en Allemand.
L'attente commence quand il n'y a plus rien à attendre, ni même la fin de l'attente. L'attente ignore et détruit ce qu'elle attend. L'attente n'attend rien. L'attente ne console pas. L'attente n'est dirigée vers rien : car l'objet qui viendrait la combler ne pourrait que l'effacer.
Quand on est petit, on ne sait rien. On ne sait pas où on est, qui on est, ni quelles questions poser.
Le beau se situe à l'intérieur de certaines limites tandis que le laid est infini, donc plus complexe, plus varié, plus amusant.
On n'est jamais sot ni ridicule quand on proportionne son ambition à ses capacités; on l'est toujours, lorsqu'on ne le fait pas.
Point de volaille sans lard, ni de sermon sans saint Augustin.
Il n'importe ni de penser, ni de descendre dans la rue, mais de se serrer les coudes, de se tenir chaud.
Quand vous aurez fini de faire du paradoxe, le tribunal passera à l'examen de la cause.
Nous ne changeons pas! Ni de chaussettes, ni de maîtres, ni d'opinions, ou bien si tard, que ça n'en vaut pas la peine.
Lorsqu'on a vécu un grand amour on a l'impression au moindre recul que tout est fini.
L'infériorisation de la femme n'est due ni au hasard, ni à l'impérialisme masculin, ni à une infériorité réelle; elle est due uniquement à une confusion entre la femme et la Plantasmère.
Les Sources inconscientes de la misogynie (1977) de La poésie est une flèche tirée: si j'ai bien visé, ce qui compte - que je veux - n'est ni la flèche ni le but mais le moment où la flèche se perd, se dissout dans l'air de la nuit: jusqu'à la mémoire de la flèche est perdue.
Soumission (2015) de Michel Houellebecq
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Glaise (2018) de Franck Bouysse
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Kilomètre zéro : Le chemin du bonheur (2016) de Maud Ankaoua
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La vie est belle (1989), Stephen Jay Gould, éd. Points, 1998 de Stephen Jay Gould
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Phénoménologie matérielle (1990) de Michel Henry
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Pensées (1670), 72 de Blaise Pascal
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François le Champi (1847-1848) de George Sand
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
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Ecce homo (1888), Warum ich so klug bin de Friedrich Wilhelm Nietzsche
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La Pesanteur et la Grâce (1947) de Simone Weil
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Du côté de chez Jean (1978) de Jean d'Ormesson
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Une intensité de lumière, entretien avec Michel Serres , Cahier Simone Weil, Cahier dirigé par Emmanuel Gabellieri et François l'Yvonnet, éd. Éditions de l'Herne, 2014 de Michel Serres
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La première défaite (2012) de Santiago Amigorena
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Sang impur (2004) de Hugo Hamilton
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Dans Le Nouvel Observateur, 8 au 14 novembre 2007. de Umberto Eco
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De la Nature humaine (1868) de Charles Dollfus
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Proverbe de Proverbes espagnols
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Le Vent Paraclet (1977) de Michel Tournier
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L'Article 330 (1900) de Georges Courteline
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Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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La Jument des Mongols (1964) de Jean Basile Bezroudnoff
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Gabrielle Rubin
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Le Coupable (1943) de Georges Bataille
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