Citation pour mon bien
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème pour mon bien.
120 citations
Ma mère m’a conçue à l’âge précoce de vingt ans. Elle est belle, les cheveux d’un blond scandinave, le visage doux, des yeux bleu pâle, une silhouette élancée aux courbes féminines, un joli timbre de voix. Mon adoration pour elle n’a pas de limite, elle est mon soleil et ma joie. Mes parents forment un couple bien assorti, ma grand-mère le répète souvent, faisant référence à leurs physiques de cinéma. Nous devrions être heureux et pourtant mes souvenirs de notre vie à trois, dans cet appartement où je connais brièvement l’illusion d’une unité familiale, ont tout du cauchemar.
Son silence est le mien. Ses yeux, les miens. C''est comme si elle me connaissait depuis longtemps, comme si elle savait tout de mon enfance, veillait sur moi, me devinant du plus près, bien que je la voie pour la première fois. Je sentis que c'était elle ma femme. Son teint pâle, ses yeux. Comme ils sont grands, ronds et noirs ! Ce sont mes yeux, mon âme.
Si l'on jette un coup d'œil sur ce qui a été écrit jusqu'ici, l'impression pourrait facilement se dégager que ce qui compte, pour moi, c'est uniquement de dénombrer avec malveillance les faiblesses de mes pauvres parents afin de les faire passer ensuite pour les méchants qui m'auraient détraqué et auxquels il faudrait donc attribuer tout mon malheur. Mais j'ai tendance à croire qu'il y a davantage, dans ce récit, que la simple intention de rendre mes parents responsables de ce que j'aurais dû mieux savoir et mieux faire. Aujourd'hui, mes parents sont beaucoup moins, à mes yeux, les « coupables » que les co-victimes de la même situation faussée. Ils n'étaient pas les inventeurs de cette mauvaise façon de vivre ; ils étaient bien davantage –tout comme moi- dupes de cette vie mauvaise, acceptée sans esprit critique.
J'ai la sensation que ma vie est achevée, c'est-à-dire que je ne vois rien à présent qui demande un lendemain. Ce qui me reste à vivre ne peut plus désormais être que du temps à perdre. Après tout j'ai fait ce que j'ai pu. Je connais 1. assez mon esprit. Je crois que ce que j'ai trouvé d'important — je suis sûr de cette valeur — ne sera pas facile à déchiffrer de mes notes. — Peu importe. Je connais my heart aussi. Il triomphe. Plus fort que tout, que mon esprit, que l'organisme. — Voilà le fait. Le plus obscur des faits. Plus fort que le vouloir vivre et que le pouvoir comprendre est donc ce sacré coeur. — « Coeur », c'est mal nommé. Je voudrais au moins, trouver le vrai nom de ce terrible résonateur. Il y a quelque chose en l'être qui est créateur de valeurs, et cela est tout-puissant, irrationnel, inexplicable, ne s'expliquant pas. Source d'énergie séparée mais qui peut se décharger aussi bien pour que contre la vie de l'individu.
En tant qu’actrice, je suis un produit. Je suis mon propre produit, bien sûr, mais effectivement, on ne m’a pas manifesté beaucoup d’amitié et de compassion en tant que personne. Et, en tant que produit, je n’étais plus rien du tout. Du coup, j’ai commencé à regarder différemment les gens qui m’entouraient. Il y a pas mal de personnes qui pensent que lorsqu’on travaille dans une branche, les gens qui sont dans cette branche sont votre famille, mais cela n’est pas vrai du tout. Ce sont des associés professionnels. Et moi, je suis uniquement un produit pour eux.
Je suis mal à l’aise dans le monde actuel. Il y a une ambiance de haine, les gens sont agressifs, bêtes, surtout parmi ceux qui devraient nous gouverner. C’est lamentable. Il y a tant d’inégalités, d’injustice, de cynisme. Cela me gêne donc de dire que moi, je suis en bon état pour mon âge et heureux grâce à ma femme, mon fils et mes petits-enfants. J’ai presque honte de dire que je vais bien. J’ai de la chance et j’aimerais que tout le monde puisse en dire autant. Et j’ai peur de l’avenir pour nos enfants.
Sa façon au juge d'appeler les gens «mon ami», ça voulait bien dire qu'en vérité on ne l'était pas du tout, son ami. Il avait l'art de se servir des mots pour leur faire dire des choses auxquelles d'ordinaire ils n'étaient pas destinés.
Mes premières années ont été trop imprégnées des idées issues de la Révolution, mon éducation a été trop libre, ma vie trop errante, pour que j'accepte facilement un joug qui sur bien des points offenserait encore ma raison.
Je ne peux m'empêcher de trouver toute existence extraordinaire. Pour peu qu'on veuille bien prendre la peine de se pencher dessus, chaque vie est exceptionnelle et mérite d'être contée, avec sa part de lumière, ses zones d'ombre et ses fêlures - il y en a toujours, je sais comment les détecter. D'ailleurs, c'est mon obsession, ça, quand je rencontre quelqu'un je me demande quelle est sa fêlure: c'est ce qui le révèle. Et dans ce domaine, il n'existe pas d'injustice, pas d'inégalité: chacun porte sa fêlure, les misérables et les milliardaires, les petites gens et les puissants, les employés et les patrons, les enfants et les parents.
Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux: qu'il périsse! Aussi bien il ne vit plus pour nous.
Tout ce que vous faites, vous le faites pour mon bien, même si j'ai parfois du mal à m'en apercevoir.
Je conduis bien trop vite pour me préoccuper de mon taux de cholestérol.
Pour mon compte, jamais je n'ai désiré donner mes opinions à quelque autre. Bien au contraire.
Les visiteurs étrangers avaient surnommé notre ville "la cité des oiseaux". un nom qui lui allait bien. le soir, juste avant la nuit, les oiseaux s'envolaient parfois tous ensemble, formant un nuage qui cachait la lune. jamais personne n'en avait vue autant. mais en hiver, le temps devenait mauvais. il faisait si froid le matin qu'on avait du mal à casser la glace des cuvettes pour se laver. et ces matins-là, on voyait quelque chose de triste: des montagnes de plumes là où les oiseaux gelés étaient tombés. vous pouvez me croire; c'était le travail de mon père de balayer la rue. il faisait des tas avec les corps et y mettait le feu. mais parfois il en ramenait quelques-uns à la maison. Maman, nous tous, on les soignait jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour s'envoler. et c'est ce qui arrivait, ils nous quittaient juste au moment où on les aimait le plus.tout comme les enfants, vous comprenez ? et quand l'hiver revenait et qu'on revoyait les oiseaux gelés, notre coeur nous disait qu'il y avait sans doute un que nous avions sauvé un an plus tôt.
J'ai ce soufflet fort sur le coeur; et je suis dans l'incertitude si, pour me venger de l'affront, je dois me battre avec mon homme, ou bien le faire assassiner.
Chaque fois que je fais de la musique, je pense à la pile de vinyles de ma mère : Jean Ferrat, Santana, Bob Marley, James Brown, Léo Ferré, Brel, Renaud et Joan Baez, bien sûr. Moi, j’étais fasciné par les rythmiques de la soul d’Hamilton Bohannon et James Brown. Le frère de ma mère, Marcel, était batteur dans un groupe de musique amateur qui jouait de la soul. Il m’a fait écouter Solomon Burke, Marvin Gaye et, surtout, Jimi Hendrix jouant à Woodstock l’hymne américain. Avec sa guitare, il réussissait à imiter le bruit des bombes qui s’abattaient sur le Vietnam. J’ai été foudroyé par ce morceau. L’art, pour moi, c’était ça. Puis, très vite, j’ai écouté du rap.
Le baiser que tu m'as donné en partant à travers ton voile ressemble à l'amour à travers l'absence. C'est doux et triste et enivrant pourtant. Il y a un obstacle, mais on se sent, on se touche, on s'unit. Tu n'es pas à mon côté en ce moment, et cependant je t'ai, je te vois là, tes yeux charmants se fixent sur mes yeux, je te parle, et je te dis : M'aimes-tu ? Et j'entends ta voix émue me répondre tout bas : Oui. C'est une illusion, et c'est une réalité. Tu es bien là, oui, mon coeur te fait présente. Mon amour fait roder partout autour de moi ton fantôme adoré et souriant. Et puis, néanmoins, tout me manque ; je ne suis pas longtemps dupe de moi-même, je n'ai qu'à demander un baiser de ce fantôme pour qu'il s'évanouisse, je ne puis le coucher près de moi qu'en rêve.
La plupart des êtres qui vivent sur terre ne se fixent pas pour but de définir le "bien". En quoi consiste le bien ? Le bien pour qui ? Le bien de qui ? Existe-t-il un bien en général, applicable à tous les êtres, à tous les peuples, à toutes les circonstances ? Ou, peut-être, mon bien réside dans le mal d'autrui, le bien de mon peuple dans le mal de ton peuple ? Le bien est-il éternel et immuable, ou, peut-être, le bien d'hier est aujourd'hui un vice et le mal d'hier est aujourd'hui le bien ?
Qui n'a pas un amour sans limites, n'aime point. Lui, l'avait-il bien pour moi cet amour? hélas! je ne le voyais pas dans cette lettre. Mais d'autres lettres avaient été plus tendres, elles avaient épanoui mon coeur.
Je me demande aujourd'hui dans quel genre de poubelle peut bien se trouver l'amour perdu pour mon fils.
Je veux être aux aguets, et je ne veux être exclu d'aucune partie de mon expérience intérieure ! Et si la tension doit être la rançon de la perspicacité, eh bien soit ! Je suis assez riche pour en payer le prix.
La pauvreté, d'abord, n'a jamais été un malheur pour moi: la lumière répandait ses richesses. Même mes révoltes en ont été éclairées. Elles furent presque toujours, je crois pouvoir le dire sans tricher, des révoltes pour tous, et pour que la vie de tous soit élevée dans la lumière. Il n'est pas sûr que mon coeur fût naturellement disposé à cette sorte d'amour. Mais les circonstances m'ont aidé. Pour corriger une indifférence naturelle, je fut placé à mi-distance de la misère et du soleil. La misère m'empêcha de croire que tout est bien sous le soleil et dans l'histoire; le soleil m'apprit que l'histoire n'est pas tout. Changer la vie, oui, mais non le monde dont je faisais ma divinité. C'est ainsi, sans doute, que j'abordai cette carrière inconfortable où je suis, m'engageant avec innocence sur un fil d'équilibre où j'avance péniblement sans être sûr d'atteindre le but. Autrement dit, je devins un artiste, s'il est vrai qu'il n'est pas d'art sans refus ni sans consentement.
Aussitôt que je serai mort, deux vautours, la Calomnie et la Haine, couvriront mon cadavre pour qu'il leur appartienne bien à eux seuls et le déchiquèteront.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.J'ai un recul terrible par rapport à mon métier. Je trouve que l'on est quand même bien payés pour faire les gugusses. On vous assiste, on vous maquille, on vous pouponne, on vous traite comme si on était de la porcelaine de Limoges, et il y en a qui disent : « C'est dur ! » Et dans une usine de sardines, c'est pas plus dur ?
Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Ma vie de Marc Chagall
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Mars (1977) de Fritz Zorn
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Cahiers, 10 mai 1945 de Paul Valéry
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Entretien magazine 20h30 le dimanche du 16 mai 2021. de Sharon Stone
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Interview DH Les Sports par Patrick Laurent, le 28 juin 2016 de Claude Brasseur
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Les Ames grises (2003) de Philippe Claudel
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Aurélia ou Le rêve et la vie (1855) de Gérard de Nerval
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Les funambules (2020) de Mohammed Aïssaoui
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Andromaque (1667), V, 1, Hermione de Jean Racine
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La Ballade de Lila K (2010) de Blandine Le Callet
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Sans référence de Steven Wright
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Cahiers de Paul Valéry
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La Traversée de l'été (2005) de Truman Capote
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Le Sicilien, ou L'Amour peintre (1667), 7, Hali de Molière
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Rencontre avec le rappeur Akhenaton, Le Monde, par Sandrine Blanchard, 20/06/2021 de Philippe Fragione, dit Akhenaton
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Lettres à la fiancée (1821) de Victor Hugo
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Vie et Destin (1980) de Vassili Grossman
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Lui (1859) de Louise Colet
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Mangez-moi (2006) de Agnès Desarthe
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Et Nietzsche a pleuré (2007) de Irvin David Yalom
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Carnets (1957) de Henry de Montherlant
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Interview juillet 2009 Psychologies Magazine de Mathilde Seigner
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