Citation quelque parfois
Découvrez une citation quelque parfois - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase quelque parfois issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème quelque parfois.
50 citations
L’amour n’apporte jamais rien de bon. L’amour apporte toujours quelque chose de meilleur. Mais le meilleur est parfois le pire si tu es une femme, si tu vis sur ce continent que les Espagnols ont eu le malheur de découvrir et qu’ont eu le malheur de peupler ces Asiatiques égarés.
On vit avec l'idée qu'il peut se passer quelque chose de grave. On prend les transports en commun, on se met en terrasse pour fumer une clope, on va voir un concert. On va danser. Et on sait désormais que parfois, on ne reviendra jamais chez soi.
L'opposé de quelque chose de mal n'est pas nécessairement bien, et peut même parfois être encore pire.
J'ai parfois le sentiment de ne pas être un vrai être humain, mais plutôt un oiseau ou quelque autre animal qui aurait très vaguement pris forme humaine ; au fond de moi, je me sens bien plus chez moi, dans un petit bout de jardin comme ici, ou dans la campagne, entourée de bourdons et de brins d'herbe que - dans un congrès du Parti.
Ce sont d'ailleurs les fragments qui nous donnent le plus grand plaisir, tout comme la vie nous donne le plus grand plaisir quand nous la regardons en tant que fragment, et combien le tout nous paraît horrifiant et nous paraît, au fond, la perfection achevée. C'est seulement si nous avons la chance, lorsque nous en abordons la lecture, de transformer quelque chose d'entier, de fini, oui, d'achevé en un fragment, que nous en retirons une grande et parfois la plus grande jouissance.
Je crois parfois que Dieu, en créant l'homme, a quelque peu surestimé ses capacités.
Il aimait écouter les locomotives qui sifflaient, les bateaux qui cornaient, les sirènes des usines qui hurlaient — tout ce tourbillon de désirs autour de lui, il en devenait lui-même vibrant de désirs. Il était jeune, n'avait ni parti pris, ni projets, n'éprouvait rien d'autre que cette dilatation en lui, c'était quelque chose de physique, comme une déchirure de tous les membres, parfois douloureuse, mais c'était, n'empêche, ce qu'il découvrait de plus intime au fond de lui-même. Assis, la nuit, dans sa chambre déserte, il guettait le gémissement des tramways sur leurs rails.
Parfois la conversation s'éteint comme une lampe. On remonte la mèche. Quelques idées jettent encore quelque éclat, mais il n'y a décidément plus d'huile.
Ils avaient décidément merdé, se dit-il, ils avaient collectivement merdé quelque part. A quoi bon installer la 5G si l'on n'arrivait plus à accomplir les gestes essentiels, ceux qui permettent à l'espèce humaine de se reproduire, ceux qui permettent aussi, parfois, d'être heureux. Il redevenait capable de penser, sa réflexion prenait même un tour presque philosophique, constata-t-il avec dégoût. A moins que tout cela ne relève de la biologie, ou de rien du tout, il allait retourner se coucher finalement, c'était la seule chose à faire, sa réflexion était condamnée à tourner à vide, il se sentait comme une boîte de bière écrasée sous les pieds d'un hooligan britannique, ou comme un bifteck abandonné dans le compartiment légumes d'un réfrigérateur bas de gamme, enfin il ne se sentait pas très bien.
Les visiteurs étrangers avaient surnommé notre ville "la cité des oiseaux". un nom qui lui allait bien. le soir, juste avant la nuit, les oiseaux s'envolaient parfois tous ensemble, formant un nuage qui cachait la lune. jamais personne n'en avait vue autant. mais en hiver, le temps devenait mauvais. il faisait si froid le matin qu'on avait du mal à casser la glace des cuvettes pour se laver. et ces matins-là, on voyait quelque chose de triste: des montagnes de plumes là où les oiseaux gelés étaient tombés. vous pouvez me croire; c'était le travail de mon père de balayer la rue. il faisait des tas avec les corps et y mettait le feu. mais parfois il en ramenait quelques-uns à la maison. Maman, nous tous, on les soignait jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour s'envoler. et c'est ce qui arrivait, ils nous quittaient juste au moment où on les aimait le plus.tout comme les enfants, vous comprenez ? et quand l'hiver revenait et qu'on revoyait les oiseaux gelés, notre coeur nous disait qu'il y avait sans doute un que nous avions sauvé un an plus tôt.
Cependant l'organisme humain a la vie tenace et il s'adapte de façon miraculeuse. Au cours de ce processus d'adaptation, il est parfois contraint de sacrifier plusieurs fonctions secondaires, comme la capacité de réfléchir, de ressentir des émotions, ou de percevoir quelque joie ou vertu dans le fait de vivre; cependant, il vit.
Sa mère lui disait qu'au nom de la réconciliation, et pour éviter de causer de la peine, on était parfois obligé d'omettre quelque chose, et même de mentir. Dire la vérité est parfois plus dur que mentir.
Un de ces concerts, riches de cuivre, - Dont les soldats parfois inondent nos jardins, - Et qui, dans ces soirs d'or où l'on se sent revivre, - Versent quelque héroïsme au coeur des citadins.
La capacité de recommencement des femmes, et des hommes parfois, me terrasse, et m'émeut. C'est là, c'est donné, il suffit de regarder et d'écouter. Les femmes surtout, certaines, comme elles sont vaillantes, comme elles veulent y croire, et paient de leur personne, de tout leur corps qui fabrique les enfants, et les nourrit ; et elles se penchent, vêtent, nouent les écharpes, ajustent les manteaux, consolent vérifient admonestent caressent, ça ne finit pas. Comme elles sont dévorées et y consentent ou n'y consentent pas ou n'y consentent plus mais peuvent encore, font encore, parce qu'il le faut et que quelque chose en elles résiste, continue. C'est chaque jour et au bout des jours ça fait une vie.
Tu changes de ville, de chambre, de visage, de ville, d'amour, mais même quand tu te dépouilles de tout, il reste toujours quelque chose de permanent, qui réside en toi depuis que tu es doué de mémoire et depuis bien avant que tu aies atteint l'âge de raison, le noyau ou la moelle de ce que tu es, de ce qui jamais ne s'est éteint, non pas une conviction ni un désir, mais un sentiment, parfois amorti comme la braise du feu de la veille cachée sous les cendres, mais presque toujours très vif, qui palpite dans tes actions et qui colore les choses d'un éloignement durable dans le temps; tu as le sentiment d'être déraciné, étranger, de ne jamais être tout à fait nulle part, de ne pas partager les certitudes d'appartenance qui pour d'autres semblent si naturelles ou faciles, ni l'assurance avec laquelle beaucoup d'entre eux s'accommodent ou possèdent, ou bien tiennent pour acquises la solidité du sol où ils marchent, la fermeté de leurs idées, la durée future de leur vie.
Des milliers de personnes se pressaient là sur l'esplanade, qui prenaient la direction des bouches de métro ou de la gare routière, entraient et sortaient de la structure de verre illuminée de la gare, tandis que, à l'extérieur, des centaines de voyageurs étaient massés par terre dans la pénombre le long des parois transparentes, assis et désœuvrés, quelque chose de borné et de noir dans le visage, paysans et saisonniers qui venaient d'arriver ou qui attendaient un train de nuit avec des quantités de valises et de sacs à leurs pieds, élimés, mal fermés, mal ficelés, caisses et cartons entrouverts, sacs en jute affaissés, baluchons, fourniments, parfois de simples bâches mal nouées desquelles dépassaient des réchauds et des casseroles.
Il m'est arrivé d'espérer quand il y a eu ce petit Syrien échoué sur une plage turque. Je me suis dit que quelqu'un quelque part se souviendrait de cette île française et dirait qu'ici aussi les enfants meurent sur les plages. Je ne suis qu'un flic, moi, et j'en ai vu des petits corps baigné d'écume et j'en ai pris, comme ça, dans les mains, tout doucement. Parfois, quand j'apprends qu'un kwassa kwassa s'est échoué dans le lagon, je sens un poids dans mes mains, comme si les petits corps ne m'avaient jamais quitté.
J'ai parfois la pensée qu'il n'arrive jamais rien de nouveau dans le monde. Que tout se trouve depuis longtemps déjà tout entier quelque part, pour devenir visible seulement d'un coup.
Il est écrit quelque part, dans l'une des pages du livre du destin, que les roses trop belles vivent avec la hantise de se faner. Et cette crainte leur fait parfois commettre des actes irréparables.
Pour entendre un de ces concerts riches de cuivre - Dont les soldats parfois inondent nos jardins - Et qui, dans ces soirs d'or où l'on se sent revivre, - Versent quelque héroïsme au coeur des citadins.
Je consens qu'il soit bon parfois que l'art se remette au vert, et s'il pâlit d'épuisement, qu'il quête dans les champs, dans la vie, quelque regain de vigueur.
Vous est-il arrivé parfois, de rencontrer dans un livre une idée vague que l'on a eue, quelque image obscurcie qui revient de loin, et comme l'exposition entière de votre sentiment le plus délié ?
Mais parfois il faut savoir ce qu'on veut, Josh. Et si ça veut dire nager à contre-courant pour l'obtenir, au moins, tu sais que tu nages vers quelque chose qui en vaut la peine.
Il y a parfois chez les natures d'élite quelque chose de tellement bien habillé, de si distingué, de soigneusement boutonné que l'on en vient parfois à se demander s'il y a un art plus grand que l'art de se couvrir.
Il y a quelque chose du printemps dans l'automne, et les derniers parfums de l'année ressemblent parfois à ses premières émanations.
Amuleto (2008) de Roberto Bolano
Références de Roberto Bolano - Biographie de Roberto Bolano
Plus sur cette citation >> Citation de Roberto Bolano (n° 165248) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Vernon Subutex, Tome 3 (2017) de Virginie Despentes
Références de Virginie Despentes - Biographie de Virginie Despentes
Plus sur cette citation >> Citation de Virginie Despentes (n° 165658) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Comment réussir à échouer (1986) de Paul Watzlawick
Références de Paul Watzlawick - Biographie de Paul Watzlawick
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Watzlawick (n° 85883) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Rosa, la vie : lettres de Rosa Luxemburg de Rosa Luxemburg
Références de Rosa Luxemburg - Biographie de Rosa Luxemburg
Plus sur cette citation >> Citation de Rosa Luxemburg (n° 162972) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Maîtres anciens (1985) de Thomas Bernhard
Références de Thomas Bernhard - Biographie de Thomas Bernhard
Plus sur cette citation >> Citation de Thomas Bernhard (n° 167424) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Oscar Wilde
Références de Oscar Wilde - Biographie de Oscar Wilde
Plus sur cette citation >> Citation de Oscar Wilde (n° 11919) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Stolz (1975) de Paul Nizon
Références de Paul Nizon - Biographie de Paul Nizon
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Nizon (n° 163170) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal, 15 novembre 1888 de Jules Renard
Références de Jules Renard - Biographie de Jules Renard
Plus sur cette citation >> Citation de Jules Renard (n° 82232) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Anéantir (2022) de Michel Houellebecq
Références de Michel Houellebecq - Biographie de Michel Houellebecq
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Houellebecq (n° 174188) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Traversée de l'été (2005) de Truman Capote
Références de Truman Capote - Biographie de Truman Capote
Plus sur cette citation >> Citation de Truman Capote (n° 161854) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une saison de coton: Trois familles de métayers (1936) de James Agee
Références de James Agee - Biographie de James Agee
Plus sur cette citation >> Citation de James Agee (n° 162147) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Amour, soudain (2004) de Aharon Appelfeld
Références de Aharon Appelfeld - Biographie de Aharon Appelfeld
Plus sur cette citation >> Citation de Aharon Appelfeld (n° 147923) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Fleurs du Mal (1857) de Charles Baudelaire
Références de Charles Baudelaire - Biographie de Charles Baudelaire
Plus sur cette citation >> Citation de Charles Baudelaire (n° 56065) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Nos vies de Marie-Hélène Lafon
Références de Marie-Hélène Lafon - Biographie de Marie-Hélène Lafon
Plus sur cette citation >> Citation de Marie-Hélène Lafon (n° 154135) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
Références de Antonio Muñoz Molina - Biographie de Antonio Muñoz Molina
Plus sur cette citation >> Citation de Antonio Muñoz Molina (n° 164595) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Fuir (2005) de Jean-Philippe Toussaint
Références de Jean-Philippe Toussaint - Biographie de Jean-Philippe Toussaint
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Philippe Toussaint (n° 165093) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tropique de la violence (2016) de Nathacha Appanah
Références de Nathacha Appanah - Biographie de Nathacha Appanah
Plus sur cette citation >> Citation de Nathacha Appanah (n° 164140) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Homme difficile (1992) de Hugo von Hofmannsthal
Références de Hugo von Hofmannsthal - Biographie de Hugo von Hofmannsthal
Plus sur cette citation >> Citation de Hugo von Hofmannsthal (n° 149086) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La vie secrète des écrivains (2019) de Guillaume Musso
Références de Guillaume Musso - Biographie de Guillaume Musso
Plus sur cette citation >> Citation de Guillaume Musso (n° 159968) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Fleurs du Mal (1857), les Petites Vieilles de Charles Baudelaire
Références de Charles Baudelaire - Biographie de Charles Baudelaire
Plus sur cette citation >> Citation de Charles Baudelaire (n° 1720) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Nouveaux Prétextes (1911) de André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 101934) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Madame Bovary (1857) de Gustave Flaubert
Références de Gustave Flaubert - Biographie de Gustave Flaubert
Plus sur cette citation >> Citation de Gustave Flaubert (n° 144165) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Profil (2012) de Jay Asher
Références de Jay Asher - Biographie de Jay Asher
Plus sur cette citation >> Citation de Jay Asher (n° 143650) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Danse de Gengis Cohn (1967) de Romain Gary
Références de Romain Gary - Biographie de Romain Gary
Plus sur cette citation >> Citation de Romain Gary (n° 118754) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pauline (1838) de Alexandre Dumas
Références de Alexandre Dumas - Biographie de Alexandre Dumas
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandre Dumas (n° 129878) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur quelque parfois
Toutes les citations sur quelque parfois Citation sur quelque Citations courtes quelque
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
