Citation sur le feu
Découvrez une citation sur le feu - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sur le feu issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème sur le feu.
80 citations
Courez vers les hameaux, voici l'heure des lampes.
Le jour chancelle en un vertige de senteurs,
Des brises de feu triste ont coulé sur vos tempes,
Un grand silence opaque est tombé sur mon coeur.Dans ce Paris de mauvais rêve, où l’on risquait d’être victime d’une dénonciation et d’une rafle à la sortie d’une station de métro, des rencontres hasardeuses se faisaient entre des personnes qui ne se seraient jamais croisées en temps de paix, des amours précaires naissaient à l’ombre du couvre-feu sans que l’on soit sûr de se retrouver les jours suivants. Et c’est à la suite de ces rencontres souvent sans lendemain, et parfois de ces mauvaises rencontres, que des enfants sont nés plus tard. Voilà pourquoi le Paris de l’Occupation a toujours été pour moi comme une nuit originelle. Sans lui je ne serais jamais né. Ce Paris-là n’a cessé de me hanter et sa lumière voilée baigne parfois mes livres.
Tiens parole; veille à ne pas lâcher la bride - Au badinage: les serments les plus solides - Ne sont que paille sur feu du sang.
Car qui ne donne nourriture et entretenement de bois au feu, il l'éteint: aussi qui ne donne sur le commencement nourriture à son ire et qui ne souffle soi-même, il l'évite ou la dissipe.
Cette pluie sur la mer
Sur l'Arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
Du feu d'acier de sang.Si je ne roulais, rond tonneau roulant, - Sur moi-même sans répit, - Comment supporterais-je sans prendre feu, - De courir après le brûlant soleil?
Il ne faut pas jeter de l'huile sur le feu.
Microscopiquement se réjouir, quand tout va macroscopiquement si mal, cela semble aussi absurde que de piquer un fou rire sur la corniche d'un immeuble en feu.
J'ai des liens assez forts avec la Bretagne ; grâce à l'absence de télévision, et à la bonne volonté de mes parents qui le soir, l'hiver au coin du feu, l'été, l'après-midi, sur la terrasse, me lisaient des légendes, me racontaient des histoires. Parmi toutes ces histoires, bien entendu il y avait ce qu'on appelle la matière de Bretagne. J'ai baigné là-dedans : le rythme effréné des galops de chevaux, le choc des épées sur les boucliers... Et puis également, c'est en Bretagne qu'on allait en vacances, quand j'étais petit. Tout ça pour dire que même si je n'ai rien de breton en moi, la Bretagne m'a durablement influencé. Et c'était donc tout naturel que mon premier livre se déroule dans une ambiance celte.
Drame dans un pays du Tiers-monde : Accusé d'avoir fait tirer sur des émeutiers affamés, le chef de la police a tenté de se justifier en expliquant qu'il s'agissait d'un feu nourri
Je suis sûr qu'elle a la croupe incendiaire. J'en mettrais ma main au feu.
Les caresses sur une jeune fille sont de l'alcool sur un petit feu.
Sur la côte des naufrageurs, j'ai rêvé, enfant, ma vie d'homme comme un grand défricheur. Je cherchais les épaves au trésor. J'étais pirate autour d'un feu de bois flotté. Je regardais le ciel à l'envers dans les miroirs de lune. Au matin, je tenais le monde dans une poignée de sable que le vent éparpillait. Mes secrets dormaient au pied des citadelles et dans le creux des dunes.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La passion est à l'amour ce que le vent est au feu. Elle attise, elle exacerbe, mais, à la longue, elle ne souffle plus que sur des cendres.
Les secrets sont des piments sur le bout de la langue. Tôt ou tard ils mettent la bouche en feu. Tôt ou tard on ouvre la bouche et on montre le petit diable qui faisait sa cuisine entre nos dents serrées.
Nous n’avons jamais, jamais, jamais échoué en Amérique lorsque nous avons agi ensemble. Et aujourd’hui, en ce moment et cet endroit, faisons en sorte que de recommencer, tous ensemble. Recommençons à nous écouter, à nous entendre, à nous voir. Faites preuve de respect les uns envers les autres. La politique ne doit pas être un feu qui détruit tout sur son passage.
Il avait invoqué son envie de ne pas faire de politique encore ! Il n'y comprenait rien, s'il était pris dans la bagarre, s'il avait une inscription rayée par le doyen ! Et il invoquait sa pauvreté béatement et lâchement. Oh ! Il se trouvait lâche – Il se sentait du feu dans le coeur et du sang dans les veines – et comme il aurait parlé volontiers du haut des marches de l'École ou perché sur le socle d'une statue !
Mon foyer ... ne brûlait pas tout bonnement, comme les autres, pour satisfaire par quelque cuisine aux besoins de mon corps. Il était aussi le feu saint, sur lequel ... mijote le repas du voyageur.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Merveilleux moment que celui où l'homme n'avait nul besoin de silex, de brandons pour appeler le feu à lui mais où le feu surgissait sur ses pas, faisant de cette homme une lumière de toujours et une torche interrogative.
Par les chevaux de bataille haletants qui font jaillir le feu de leurs sabots,
Qui, le matin, se précipitent sur l'ennemi
En soulevant la poussière,
Et qui pénètrent au milieu des troupes,
En vérité, l'homme est ingrat envers son Seigneur, ...Tournant autour d'une futaille dressée sur le sol et couronnée de flammes, tandis que le feu de copeaux chauffe les douves assemblées, les tonneliers frappent en cadence sur les cercles de fer.
Précision : une Parisienne qui se respecte sur le boulevard Saint-Germain ne traverse jamais sur les lignes blanches quand le feu est rouge. Une Parisienne qui se respecte guette le flot des voitures et s'élance tout en sachant qu'elle prend un risque.
Le souvenir du pays est un de ceux qui ne se perdent pas : l'amour du sol sur lequel on est né, où l'on a joui du premier bonheur, la pensée des lieux auxquels se rattachent nos premières sensations, sont des pensées qui ne meurent point, un amour qui survit à l'âge et qui brûle encore de tout son feu dans le cerveau déjà glacé du vieillard.
Les Sept Solitudes (1906), Poème des Demains de Oscar Vladislas de Lubicz Milosz
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Discours de réception du prix Nobel de littérature, 7 décembre 2014 de Patrick Modiano
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La Tempête (1611) de William Shakespeare
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Plutarque, Oeuvres morales de Jacques Amyot
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Paroles (1946), Barbara de Jacques Prévert
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Le Gai Savoir (1887) de Friedrich Wilhelm Nietzsche
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Proverbe de Proverbes français
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Magique étude du Bonheur (2010) de Vincent Cespedes
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Interview accordée par Erik L'Homme
à Harmonia Amanda et Tsaag Valren, pour Wikinews, le 12 novembre 2011 de Erik L'Homme
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Mots et Grumots (2003) de Marc Escayrol
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Carnet de notes (2001) de Patrick Sébastien
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Les Autres (2006) de Cécile Gavriloff, dite Alice Ferney
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Les Dames de nage (2009) de Bernard Giraudeau
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Inch' Allah, 2. Le Cri des pierres (2010) de Gilbert Sinoué
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Geai (1998) de Christian Bobin
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Discours d’investiture devant le Capitole à Washington 20 janvier 2021 de Joe Biden
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André Gerdit de Jules Vallès
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Le Jardin d'Hyacinthe (1945) de Henri Bosco
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Eloge d'une soupçonnée (1988) de René Char
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Sourate C, 1-6 de Coran
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Les Destinées Sentimentales (1934-1936) de Jacques Chardonne
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Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (1999) de Anna Gavalda
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Le Robinson suisse (1812) de Johann David Wyss
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