Citation sur moi
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Une Sélection de 510 citations et proverbes sur le thème sur moi.
510 citations
Sur l'écran noir de mes nuits blanches,
Moi je me fais du cinéma
Sans pognon et sans caméra,
Bardot peut partir en vacances:
Ma vedette, c'est toujours toi.Puisque les choses sont ainsi, je prétends moi aussi avoir mon franc parler, et, à l'exception des choses et des personnes auxquelles je dois respect, je dirai mon avis sur le reste.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
Tu avais du pouvoir sur moi... Tu en as joué, abusé... Les mômes c'est de la pâte à modeler... tu poses tes doigts, l'empreinte reste. Tu m'as manipulé... Tu as brisé quelque chose en moi... définitivement.
Les poètes sont les chercheurs et les techniciens du langage. Et moi, c'est en travaillant sur le langage que je puis le mieux changer le monde.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Oh mais là, sur cette crédence, qu'est-ce que c'est? Elle s'arrête... Mais c'est très beau, dites-moi, cette Vierge gothique.
La manie de faire des bilans sur soi-même est une façon de tromper l'angoisse de n'être que ce que nous sommes: une caricature de notre idéal, l'ombre portée et déformée de notre sur-moi.
Je peux vous assurer, Monsieur le Juge, que j'ai en cemoment sur moi tout ce qu'il faut pour commettre un attentat à la pudeur... et l'idée ne m'en effleure même pas!
Une fois, explique l'actrice Juliette Lewis, j'ai voulu mieux connaître quelqu'un en lui posant des questions écrites... Et en fait celles-ci en disent davantage sur moi que ce que j'aurais pu noter dans un journal intime.
Le Christ agonisant ne cessait de dire à ses disciples : « Aimez-vous les uns, les autres ». Il connaissait l'homme, toi, moi, nous. Ce Dieu de douceur, de bonté, cet agneau divin devait avoir des disciples intraitables sur le chapitre de l'amour. Il avait dit de tendre constamment la joue. On ne savait plus laquelle tendre lorsque les deux avaient reçu leur part de gifles. Il n'était plus là pour résoudre le problème.
Et c'est ainsi que j'en suis venue à penser que je n'étais plus obligée de conserver mon matricule (...). Je l'ai porté un demi-siècle sur la peau de mon bras gauche et puis j'ai perdu patience. Dans une clinique de Californie où des spécialistes gagnent des fortunes à effacer les rides de femmes vieillissantes et les tatouages de jeunes regrettant d'avoir dégradé leur apparence soignée juste pour s'amuser un soir de beuverie, une jeune dermatologue a mis plusieurs mois à faire disparaître au laser ce morceau de "monument". J'ai alors enfin su ce numéro par cœur; auparavant j'avais toujours eu du mal à m'en souvenir : A-3537. Cette suite de chiffres ne signifiait rien de plus qu'un tatouage de chien, elle n'avait jamais représenté pour moi une unité, comme une adresse ou un numéro de téléphone, alors pourquoi essayer de le retenir?
J'attendais cette phrase que le micro annonce : « les passagers pour Paris »… Les gens nous regardent nous précipiter sur le terrain. Oui, moi aussi je pars pour Paris, Messieurs ! Et cela me classe. Je suis le seul Nègre parmi tant de voyageurs blancs. Je prends place près d'un hublot. Personne ne veut s'asseoir près de moi. Tous les voyageurs passent en regardant le siège vide près du mien. Par affinité, ils vont s'asseoir près des autres passagers, afin qu'il y ait ton sur ton. Et je les comprends, je fais ainsi souvent, mais, ce soit je me rends compte jusqu'à quel point les couleurs divisent les hommes. Un passagers qui a dû prendre son courage à deux mains devient mon voisin. On ne se parle pas. Voisins quand même.
Ma main serrait malgré elle l’épaule de Vanessa ; elle s’éveillait toute lourde ; sur son visage renversé je voyais flotter au-dessous de moi ses yeux d’un gris plus pâle, comme tapis au fond d’une curiosité sombre et endormie – ces yeux m’engluaient, me halaient comme un plonger vers leurs reflets visqueux d’eaux profondes ; mes bras se dépliaient, se nouaient à moi en tâtonnant dans le noir ; je sombrais avec elle dans l’eau plombée d’un étang triste, une pierre au cou.
Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.Donc voyez, j'écris pour rien. J'écris comme il faut écrire il me semble. J'écris pour rien. Je n'écris même pas pour les femmes. J'écris sur les femmes pour écrire sur moi, sur moi seule à travers les siècles.
La vie humaine est un songe : d'autres l'ont dit avant moi, mais cette idée me suit partout. Quand je considère les bornes étroites dans lesquelles sont circonscrites les facultés de l'homme, son activité et son intelligence ; quand je vois que nous épuisons toutes nos forces à satisfaire des besoins, et que ces besoins ne tendent qu'à prolonger notre misérable existence ; que notre tranquillité sur bien des questions n'est qu'une résignation fondée sur des chimères, semblables à celles des prisonniers qui auraient couvert de peintures variées et de riantes perspectives les murs de leur cachot ; tout cela mon ami, me rend muet. Je rentre en moi-même, et j'y trouve un monde, mais plutôt en pressentiments et en sombres désirs qu'en réalité et en action ; et alors tout s'embrouille en moi, et, perdu dans mes rêves, je poursuis en souriant ma route dans le monde.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.N'avez-vous jamais eu subitement besoin de sympathie, de secours, d'amitié? Oui, bien sûr. Moi, j'ai appris à me contenter de la sympathie. On la trouve plus facilement, et puis elle n'engage à rien. « Croyez à ma sympathie » (…) L'amitié, c'est moins simple. Elle est longue et dure à obtenir, mais quand on l'a, plus moyen de s'en débarrasser, il faut faire face
Une manifestation soutenue par l'extrême droite, à laquelle participe un ministre de l'Intérieur, qui marche sur l'Assemblée nationale pour faire pression sur les députés en train d'examiner un texte de loi concernant la justice, c'est une image qui pour moi était assez glaçante et je ne souhaitais pas y participer.
Et d'ailleurs, comment ne pas être reconnaissante à ce masque délicieux, un peu primaire, bien sûr, mais qui correspond chez moi à des goûts évidents : la vitesse, la mer, minuit, tout ce qui est éclatant, tout ce qui est noir, tout ce qui vous perd, et donc tout ce qui permet de vous trouver. Car on ne m'ôtera jamais de l'idée que c'est en se colletant avec les extrêmes de soi-même, avec ses contradictions, ses goûts, ses dégoûts et ses fureurs que l'on peut comprendre un tout petit peu, oh, je dis bien, un tout petit peu ce que c'est que la vie
Un jour, tout allait à la perfection et le lendemain, tout avait disparu - attrait, saveur, intérêt, contentement - tout. C'était l'un des moments en question, voyez-vous. Le souffle chlorotique de la fin de la jeunesse s'abattit sur moi et m'emporta.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.Une troupe de cavaliers, disent-ils, ou de soldats à pied, une escadre, rien n'est plus beau sur la terre bleu et sombre. Mais, moi, je dis : c'est celui-là ou celle que l'on aime d'amour.
Je veux toujours la même vie avec toi, seulement avec moins de pleurs dans tes yeux et plus de sourires sur ta bouche. Cette bouche, je la baise. Sais-tu à quoi est bon le baiser ? à essuyer les larmes et à faire naître le sourire. Souris-moi.
Le Cinéma (1962) de Claude Nougaro
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Lettre à Voltaire, 27 février 1765 de Jean le Rond d'Alembert
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Pourquoi j'ai tué Pierre (2006) de Olivier Karali, dit Olivier Ka
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Dans la Tribune de Genève, 26 avril 2016. de Michel Butor
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Planétarium (1959) de Nathalie Sarraute
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Tous fous (2003) de Georges Picard
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Sans référence de Henri Rochefort
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Le Festival de la couille et autres histoires vraies (2005) de Charles Michael Chuck Palahniuk
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Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
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Perdu en chemin (2010) de Ruth Klüger
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Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
Références de Bernard Dadié - Biographie de Bernard Dadié
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Le Rivage des Syrtes (1951) de Julien Gracq
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Les Fleurs du Mal (1857), XXXIV - Le chat de Charles Baudelaire
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La Vie matérielle (1987) de Marguerite Duras
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Les Souffrances du jeune Werther (1774) de Johann Wolfgang Goethe
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Les Contemplations (1856), IV, Pauca meae, 14, Demain, dès l'aube... de Victor Hugo
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La Chute (1956) de Albert Camus
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Audrey Pulvar samedi 22 mai 2021 sur franceinfo de Audrey Pulvar
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Des bleus à l'âme (1972) de Françoise Sagan
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La Ligne d'ombre (1929) de Joseph Conrad
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Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
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Odes et fragments, Sappho (trad. Yves Battistini), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 2005 de Sapho
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Lettre, à Juliette Drouet, 20 juillet 1834 de Victor Hugo
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