Citation tout ce que l on sait
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème tout ce que l on sait.
140 citations
J’aime l’escrime, d’abord à titre de Français, parce que c’est un art national, un fruit du pays comme la conversation. Qu’est-ce que faire des armes ? c’est causer ! Car qu’est-ce que causer ? n’est-ce pas parer, riposter, attaquer, toucher surtout, si l’on peut, et Dieu sait qu’à ce jeu-là, la langue vaut bien le fleuret.
Quand j'étais petite, tout en sachant que je finirais par grandir et avoir ma propre famille, ou du moins ma propre maison, je n'imaginais pas ma vie sans mes parents ni mes sœurs. Cela m'aurait paru aussi incongru que d'envisager mon avenir sans mes pieds ou sans mes mains. Nous étions là, ensemble, pour toujours. Et même s'il était clair pour chacun que le temps passait - mon père et ma mère, je le voyais bien, ne vivaient pas avec leurs propres parents - ce que nous formions tous les cinq avait quelque chose d'éternel.
L'islam inculqué par ma grand-mère, l'éducation que j'ai reçue, tout cela est de moins en moins présent. Mais il n'a pas perdu. Car s'il a perdu, alors la bataille est perdue, et l'on dépose les armes. Il faut, au contraire, poursuivre le combat. En Tunisie, mon pays de naissance, il y a une capacité de résilience, de résistance. On a dit de ce pays qu'il était au bord du gouffre, qu'on dansait sur un volcan. Quand les islamistes gagnaient les élections, on pensait que c'était perdu. Or, à chaque fois, il y avait une petite flamme qui faisait que la situation se retournait. Les femmes ont joué un grand rôle, certes, mais toute la société civile a participé à ce sursaut. Cette nébuleuse qu'on appelle société civile prend ici tout son sens.
Grâce à elle, je compris soudain ce que signifiait être amoureux : oublier sa vie précédente et n'exister que pour deviner la respiration de celle qu'on aime, le frémissement de ses cils, la douceur de son cou sous une écharpe grise. Mais surtout éprouver la bienheureuse inaptitude à réduire la femme à elle-même. Car elle était aussi cette abondance neigeuse qui nous entourait, et le poudroiement solaire suspendu entre les arbres, et cet instant tout entier où se laissait déjà pressentir le souffle timide du printemps. Elle était tout cela et chaque détail dans le tracé simple de sa silhouette portait le reflet de cette extension lumineuse.
Je me jurais, une fois rentré en France, de continuer à pratiquer l'affût. Nul besoin de se trouver à 5000 mètres dans l'Himalaya. La grandeur de cet exercice partout praticable était de toujours procurer ce qu'on exigeait de lui. À la fenêtre de sa chambre, sur la terrasse d'un restaurant, dans une forêt ou sur le bord de l'eau, en société ou seul sur un banc, il suffisait d'écarquiller les yeux et d'attendre que quelque chose surgisse. On ne l'aurait jamais noté si l'on ne s'était pas maintenu aux aguets. Et si rien n'arrivait, la qualité du temps passé s'était trouvée accrue par l'attention portée. L'affût était un mode opératoire. Il fallait en faire un style de vie.
Si on m'avait demandé ce qui se passait exactement en moi et ce que signifiaient les évènements, j'aurais été incapable de bredouiller trois mots. Mais déjà je savais que ma situation était identique à celle des autres habitants de la station, que tout ce que j'avais vécu,appris ou entrevu, faisait partie d'un seul tout, terrifiant et incompréhensible.
En ce temps-là, l’interdiction de nous embrasser mettait tout à coup en relief l’intensité d’une embrassade. La poignée de main la plus conventionnelle, de ne plus pouvoir se produire, retrouvait dans notre pensée une chaleur originelle et nostalgique. La distance nous faisait éprouver un bienfait paradoxal : elle remettait à zéro l’horloge des signes d’affection.
Mais moi, j'étais calme, planant en permanence à trois mètres au dessus de mon corps. Peut-être qu'avec moi n'était pas différent qu'être tout seul. Vous pouviez être aussi rustre que vous le vouliez, après. C'était sans doute ça qui plaisait en moi.
Tout est bien... Tout. L'homme est malheureux parce qu'il ne sait pas qu'il est heureux. Ce n'est que cela. c'est tout, c'est tout! Quand on le découvre, on devient heureux aussitôt, à l'instant même...
Elle ne sait pas où tout ça la mène. Ca, la vie, grandir. Elle ne sait pas ce qu'il y a devant, dans ce temps qu'on appelle avenir et qui est aussi demain. Que peut-elle faire de tout ce temps ?
On sait que deux virus ont fusionné : un virus humain et un virus de chauve-souris. À l’époque on a beaucoup écrit là-dessus, avant que tout le monde ne meure. Un médecin a déclaré dans un magazine que personne ne savait exactement comment cela avait commencé, mais il a proposé un scénario. Quelque part en Afrique tropicale, un homme dort sous un manguier. Ses défenses immunitaires sont affaiblies car il est séropositif et n’est pas soigné. Il a déjà un coronavirus dans le sang. Ce n’est pas étonnant, le virus à couronne est assez répandu. À l’époque précédant la Fièvre, on en connaissait au moins quatre qui étaient responsables de symptômes grippaux chez l’homme.
L'Eglise a toujours tout fait pour soigner son image de marque tapageuse parce qu'elle sait que seuls le ridicule, le tape-à-l'oeil, le clinquant et le mauvais goût séduisent les foules.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je suis, en fait, un hérétique qui a renié son hérésie, et qui, aux yeux de tous, a sauvé son âme. Mais il y a quelqu'un qui sait très bien, au fond de lui-même, que tout ce qu'il a sauvé, c'est sa peau.
On ne sait pas ce que ça a de force, tout ce qui fait mal.
Ce qu'on disait autrefois de la France peut se dire aujourd'hui du monde entier: tout homme est un soldat. Que ceux dont le souffle puissant peut emplir un clairon nous mènent à la mêlée. Quel soldat s'arrêtera donc pour admirer le joueur de flûte pendant que la fusillade tonne et que ses compagnons d'armes montent à l'assaut ?
Le procès t'intéressait beaucoup ? » Il rit encore. « Le procès, ou l'accusée que tu ne quittais pas des yeux ? Celle qui n'était pas mal du tout ? On se demandait tous ce qu'il y avait entre vous, mais personne n'osait te poser la question. On était terriblement discrets et gentils à l'époque. Tu te souviens... »
Je crois que les gens sentaient que son silence avait quelque chose d'artificiel, que ne n'était pas qu'elle ne disait rien mais qu'elle faisait tout pour ne rien dire, ce qui change tout.
Il n'y a de fusion complète avec personne, ce sont des histoires qu'on raconte dans les romans - chacun sait que l'intimité la plus grande est traversée à tout instant par ces éclairs silencieux de froide lucidité, d'isolement...
Je ne comprends pas ceux qui ne se sont pas encore fait vacciner mais de là à les emmerder... Rappelons-le, ce n'est pas parce qu'on n'est pas vacciné qu'on est en antivax tout comme c'est pas parce qu'on est vacciné qu'on est absolument pro-vaccin. Moi, par exemple, si j'ai tout mon parcours vaccinal, c'est pas parce que j'avais peur du virus, c'est parce que je voulais retrouver toutes mes libertés et aussi protéger les plus vulnérables puisque c'est ce qu'on nous disait.
La relation humaine n'offre aucun mode d'emploi, on n'a pas de grille de lecture, on tâtonne, ce n'est parfois que du ressenti, on s'appuie sur le lien qu'on a été capable de créer, nos propres convictions, notre instinct - qui souvent nous trahit -, et on aura beau se fier à des éléments cohérents, chercher à tout maîtriser il y a toujours une part d'incertitude, une marge d'erreur quoi qu'on fasse, l'individu reste une énigme aux autres et à lui-même; on ne sait jamais qui on en face de soi.
A chaque fois, je parvenais à la même conclusion si tout le monde se faisait confiance, il n'y aurait pas de police, pas de tribunaux, pas de prisons et...pas d'argent.
La seule simplicité qui importe est la simplicité du coeur. Si elle disparaissait, ce n'est pas une diète de navets ou un vêtement de « cellular » qui la ramènerait, ce sont les larmes, la terreur, les feux inextinguibles. Si elle nous reste, peu importe que quelques fauteuils de l'époque victorienne nous reste avec elle. Tant que la Société ne s'en prendra pas à ma vie spirituelle, je lui permettrai, avec une soumission relative, de traiter à sa fantaisie ma vie matérielle. Je mettrai l'humilité d'un coeur simple à fumer des cigares, à boire une bouteille de Bourgogne, à prendre un fiacre si toutefois par ces moyens je peux me conserver la virginité de l'esprit qui se réjouit dans l'étonnement et la crainte. Je ne prétends pas que ce soient les seuls moyens de la conserver. J'incline à penser qu'il en existe d'autres. Mais je ne veux rien avoir à faire avec une simplicité qui ignore la crainte, l'étonnement, et la joie tout ensemble. Je ne veux rien avoir à faire avec la vision diabolique d'un enfant trop simple pour aimer les jouets.
Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
Pas étonnant que les Grecs aient pensé que peu de fils sont l'égal de leur père ; que la plupart en sont indignes, et trop rares ceux qui le surpassent. Ce n'est pas une question de valeur; c'est une question de savoir. Le père sait tout du fils tandis que le fils ne peut jamais connaître le père.
Soixante ans de souvenirs (1884) de Ernest Legouvé
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L'éternel fiancé (2021) de Agnès Desarthe
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Interview accordée à Pascal Louvrier pour Causeur et publiée le 15 mai 2018 de Sonia Mabrouk
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Le Livre des brèves amours éternelles (2011) de Andreï Makine
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La panthère des neiges (2019) de Sylvain Tesson
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Solaris (1966) de Stanislaw Lem
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Lettre sur l'amitié (2020) de Jean-Pierre Martin
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À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
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Les Démons de Fiodor Dostoïevski
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L'Amour est une île (2010) de Claudie Gallay
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L'Année du lion (2016) de Deon Meyer
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Les Pensées de Jacques Sternberg
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Traité du zen et de l'entretien des motocyclettes (1974) de Robert Maynard Pirsig
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Apprendre à finir (2000) de Laurent Mauvignier
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Conférences de la rue de la Paix du 25 février 1864, Alfred de Musset devant la jeunesse (1864). de Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Histoire de la violence de Édouard Louis
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Le Planétarium (1959) de Nathalie Sarraute
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Lors de l'émission On est en direct, le 08 janvier 2022 de Laurent Ruquier
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La décision (2022) de Karine Tuil
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Était-ce lui ? de Stefan Zweig
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Hérétiques (1912) de Gilbert Keith Chesterton
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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