Citation tout ce que l on sait
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème tout ce que l on sait.
140 citations
Mais comment on apprend à aimer ? Tu le sais, toi ? Tout le monde en parle, mais personne ne sait ce que c'est. Tu répètes tout le temps qu'il faut aimer, aimer, mais où ça s'apprend ?
René Goscinny, scénariste d'Astérix pendant dix-huit ans, disait : « On a l'air d'idiots qui ne savent pas ce qu'ils ont fabriqué. » Mais rien ne serait arrivé sans travail. Le succès, ce sont des heures de labeur avant tout !
Sans trop savoir comment, j’ai réussi à traverser l’autoroute et escalader le talus pour rejoindre le Ramada Inn avant de me rendre compte que les obstacles les plus sérieux m’attendaient. Ike me menaçait sans relâche : « Si tu pars, ce sera comme tu es venue. » Autrement dit : sans rien. Il avait raison. Dans ma poche, il y avait trente-six cents et une carte de crédit Mobil qui ne permettait d’acheter que de l’essence. J’avais le visage tuméfié, les vêtements souillés et ensanglantés… et j’étais noire. A Dallas. Dans de telles circonstances, n’importe quel hôtelier sensé me dirait de passer mon chemin. Je me suis approchée du comptoir de la réception et je me suis présentée au directeur. J’ai décliné mon identité, puis j’ai expliqué que je venais de fuir mon mari sans le moindre argent. Mais j’ai juré que je le rembourserais s’il me laissait occuper une chambre pour la nuit. J’ai bien songé que, dans mon état de vulnérabilité, cet inconnu aurait pu profiter de moi. J’étais trop épuisée pour m’en soucier. Par chance, il avait du coeur. Il m’a conduite à l’étage, dans une suite et m’a promis de me faire apporter de la soupe et des crackers. Quand j’ai refermé la porte, le contrecoup a frappé si fort que mes genoux se sont dérobés. J’ai failli m’évanouir. Mon coeur battait à tout rompre. J’étais terrifiée, mais aussi fébrile. Je fuyais Ike, mais je courais vers ma nouvelle vie.
Ce qu'on disait autrefois de la France peut se dire aujourd'hui du monde entier: tout homme est un soldat. Que ceux dont le souffle puissant peut emplir un clairon nous mènent à la mêlée. Quel soldat s'arrêtera donc pour admirer le joueur de flûte pendant que la fusillade tonne et que ses compagnons d'armes montent à l'assaut ?
Quiconque a vécu solitaire sait à quel point le monologue est dans la nature. La parole intérieure démange. Haranguer l'espace est un éxutoire. Parler tout haut et tout seul, cela fait l'effet d'un dialogue avec le dieu qu'on a en soi.
J'ai appris que pour être prophète il suffisait d'être pessimiste, puisque chaque question se résout toujours dans le sens le plus tragique. Je finirai par m'attendre à ce que tout ce que je crains arrive, irrémédiablement. C'est ça, le pessimisme.
Voss regardait son café d'un air amer et triste. « Doktor Aue. Je vous ai toujours pris pour un homme intelligent et sensé. Même si tout ce que vous me dites est vrai, expliquez moi, s'il vous plait, ce que vous entendez par race. Parce que pour moi, c'est un concept scientifiquement indéfinissable et donc sans valeur théorique. » […] « Cette philosophie de vétérinaires, comme disait Herder, a volé tous ses concepts à la linguistique, la seule des sciences de l'homme jusqu'à ce jour qui ait une base théorique scientifiquement validée. Comprenez-vous »
Xénophon a dit : « La chasse est la véritable image de la guerre. » Cela était vrai du temps où l'homme chassait pour se nourrir. Depuis, il a appris à chasser pour la chasse seule. Il est même des hommes qui ont remplacé la sanction du coup de fusil par celle du cliché photographique. Ce qui compte, c'est la recherche, la quête, l'intelligence de la nature et de ce qui y vit, et enfin ce moment extraordinaire où, tout étant accompli, on est, en une seconde, le maître de la vie ou de la mort d'une existence.
Au fur et à mesure que l’épreuve de l’usine avance, il faut puiser au plus profond de ses ressources pour pouvoir continuer à tenir, et on se raccroche à tout ce qui peut nous faire tenir, dans mon cas, il s’agissait de mes proches, mais aussi des grands auteurs qui sont mes compagnons de vie.
Prouver qu'ensemble on pouvait construire au lieu de détruire lui paraissait être la façon la plus efficace de mener le combat. Pour cela, Janice avait appris à coder, parce que les hommes confient tous leurs secrets aux ordinateurs, y compris leurs mensonges et leurs turpitudes. Dans ce monde où tout tourne à cent à l'heure, sauf la justice, confondre les auteurs du mal avait pour elle une valeur sociétale incontestable et la loi confortait sa conviction.
Personne ne sait jamais d'avance ce qu'est exactement l'amour, personne n'est même sûr qu'il existe ;
Mais quand il entre dans notre vie, que l'on ait vingt ans ou quatre-vingts, on le reconnaît tout de suite.Tout homme qui, ne serait-ce que parfois le soir en s'endormant, a tenté de pénétrer l'obscurité de son inconscient, sait qu'il a vécu pour lui-même.
L'islam inculqué par ma grand-mère, l'éducation que j'ai reçue, tout cela est de moins en moins présent. Mais il n'a pas perdu. Car s'il a perdu, alors la bataille est perdue, et l'on dépose les armes. Il faut, au contraire, poursuivre le combat. En Tunisie, mon pays de naissance, il y a une capacité de résilience, de résistance. On a dit de ce pays qu'il était au bord du gouffre, qu'on dansait sur un volcan. Quand les islamistes gagnaient les élections, on pensait que c'était perdu. Or, à chaque fois, il y avait une petite flamme qui faisait que la situation se retournait. Les femmes ont joué un grand rôle, certes, mais toute la société civile a participé à ce sursaut. Cette nébuleuse qu'on appelle société civile prend ici tout son sens.
Tout Français digne de ce nom sait très bien, que pour restaurer la France il importe de restaurer avec elle les valeurs spirituelles qui donnent leur signification historique au nom de France et au nom de Français.
On sait que deux virus ont fusionné : un virus humain et un virus de chauve-souris. À l’époque on a beaucoup écrit là-dessus, avant que tout le monde ne meure. Un médecin a déclaré dans un magazine que personne ne savait exactement comment cela avait commencé, mais il a proposé un scénario. Quelque part en Afrique tropicale, un homme dort sous un manguier. Ses défenses immunitaires sont affaiblies car il est séropositif et n’est pas soigné. Il a déjà un coronavirus dans le sang. Ce n’est pas étonnant, le virus à couronne est assez répandu. À l’époque précédant la Fièvre, on en connaissait au moins quatre qui étaient responsables de symptômes grippaux chez l’homme.
Chaque fois que je fais de la musique, je pense à la pile de vinyles de ma mère : Jean Ferrat, Santana, Bob Marley, James Brown, Léo Ferré, Brel, Renaud et Joan Baez, bien sûr. Moi, j’étais fasciné par les rythmiques de la soul d’Hamilton Bohannon et James Brown. Le frère de ma mère, Marcel, était batteur dans un groupe de musique amateur qui jouait de la soul. Il m’a fait écouter Solomon Burke, Marvin Gaye et, surtout, Jimi Hendrix jouant à Woodstock l’hymne américain. Avec sa guitare, il réussissait à imiter le bruit des bombes qui s’abattaient sur le Vietnam. J’ai été foudroyé par ce morceau. L’art, pour moi, c’était ça. Puis, très vite, j’ai écouté du rap.
Dans tous les cas, la belle chaleur qui régnait sur mon enfance m'a privé de tout ressentiment. Je vivais dans la gêne, mais aussi dans une sorte de jouissance. Je me sentais des forces infinies: il fallait seulement leur trouver un point d'application. Ce n'était pas la pauvreté qui faisait obstacle à ces forces: en Afrique, la mer et le soleil ne coûtent rien. L'obstacle était plutôt dans les préjugés et la bêtise. J'avais là toutes les occasions de développer une castillanerie qui m'a fait bien du tort, que raille avec raison mon ami et mon maître Jean Grenier, et que j'ai essayé en vain de corriger, jusqu'au moment où j'ai compris qu'il y avait une fatalité des natures. Il valait mieux alors accepter son propre orgueil et tâcher de le faire servir plutôt que de se donner, comme dit Chamfort, des principes plus fort que son caractère. Mais, après m'être interrogé, je puis témoigner que, parmi mes nombreuses faiblesses, n'a jamais figuré le défaut le plus répandu parmi nous, je veux dire l'envie, véritable cancer des sociétés et des doctrines.
Et puis il y a toutes ces religions qui prônent chacune l'amour
Et qui fabriquent de la haine, des assassins, des terroristes
Pour telle ou telle croyance, des innocents meurent chaque jour
Tout ça au nom de Dieu, on sait même pas s'il existe !Vous les voyez, Monsieur ? Tous les onze, de gauche à droite : Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André. Invariables et droits. Les commissaires. Le grand comité de la grande Terreur. Quatre mètres virgule trente sur trois, un peu moins de trois. Le tableau de ventôse. Le tableau si improbable, qui avait tout pour ne pas être, qui aurait si bien pu, dû ne pas être, que planté devant on se prend à frémir qu'il n'eût pas été, on mesure la chance extraordinaire de l'Histoire et celle de Corentin. On frémit comme si on était soi-même dans la poche de la chance. Le tableau – peint de la main de la Providence, ainsi qu'on aurait dit cent ans plus tôt, ainsi que Robespierre le disait encore chez la mère Duplay comme s'il eût été dans Port-Royal.
Naturellement, personne ne portait d'étiquette à l'époque. On estimait que tout le monde était pareil. Et si ce n'était pas le cas, on ne disait rien, afin de ne blesser personne. Mais il n'y avait rien de mal à prévenir quelqu'un de sa vulnérabilité.
Vous connaissez les heurs et malheurs de ma vie depuis ma jeunesse, du moins jusqu'au changement qui m'amena à Cöthen où je trouvai un Prince gracieux, aimant la musique aussi bien qu'il la connaissait et auprès duquel je croyais d'ailleurs pouvoir terminer ma vie. Le destin voulut cependant que ce Prince épousât une Princesse de Berenburg, et tout parut alors manifester que l'inclination du Prince pour la musique devenait de plus en plus tiède, d'autant plus que la nouvelle Princesse semblait être une amusa
Là résidait la différence entre le factuel et la fiction : avec le premier, l’émotion était impossible. On se contentait de données, de constatations. La fiction, au contraire, suscitait les passions, créait les débordements, bouleversait les esprits, elle n’appelait pas au raisonnement ni à la réflexion, mais entraînait les lecteurs – les lectrices, surtout – vers le désastre sentimental. Non seulement Geneviève n’y voyait aucun intérêt intellectuel, mais elle s’en méfiait. Aucun roman n’était donc autorisé dans le quartier des aliénées : il ne fallait pas prendre plus de risque à exciter les humeurs.
D'humeur naturellement calme et douce, l'enfant n'était pas précisément colérique. Mais, quand on le poussait à bout, il avait des colères furibondes, véritables explosions qui le laissaient tout épuisé et pantelant.
Il eût de bon cœur interdit une fois pour toutes et partout ce qu'il appelait le patois créole (dont il usait abondamment dans son privé), persuadé que ledit patois constituait obstacle à un progrès dans la bonne voie.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
La valse lente des tortues (2008) de Katherine Pancol
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Entretien, Le Parisien par Adeline Fleury, Le 30 novembre 2018 de Albert Uderzo
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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Conférences de la rue de la Paix du 25 février 1864, Alfred de Musset devant la jeunesse (1864). de Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray
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L'Homme qui rit (1869) de Victor Hugo
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Mille regrets (1942) de Elsa Triolet
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Le Sport (1963) de Paul Vialar
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Émission Par les temps qui courent Joseph Ponthus : L'usine a enlevé tout le gras de mes textes, France Culture, février 2019 de Joseph Ponthus
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C’est arrivé la nuit (2020) de Marc Lévy
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Aux anges de Francis Dannemark
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Eloge de la fuite (1976) de Henri Laborit
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Interview accordée à Pascal Louvrier pour Causeur et publiée le 15 mai 2018 de Sonia Mabrouk
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La liberté, pour quoi faire ? (1953) de Georges Bernanos
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L'Année du lion (2016) de Deon Meyer
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Rencontre avec le rappeur Akhenaton, Le Monde, par Sandrine Blanchard, 20/06/2021 de Philippe Fragione, dit Akhenaton
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Le blues de l'instituteur de Fabien Marsaud, dit Grand Corps Malade
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Les Onze (2009) de Pierre Michon
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Sentiment 26 (2012) de Gemma Malley
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Lettre du 28 octobre 1730 à son ami Erdmann de Jean-Sébastien Bach
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Le bal des folles (2019) de Victoria Mas
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Louis XIV (1923) de Louis Bertrand
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La Case du Commandeur (1981) de Edouard Glissant
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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