Citation un peu de tout
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Une Sélection de 330 citations et proverbes sur le thème un peu de tout.
330 citations
On passe sa jeunesse à tenter de se déchiffrer soi-même, ne serait-ce qu'un minimum. Une fois dans le fleur de l'âge, on cherche à s'affirmer, Et, dès que l'on a un peu appris, un peu acquis, un peu compris de la vie, c'est déjà la fin, et tout ce qu'on a assimilé, expérimenté, vécu, saisi, tout cela disparaît sans laisser la moindre trace. Où est le sens là-dedans ? A quoi cela sert-il ?
Qu'est-ce que la mort à tout prendre? Un mauvais moment, un péage, le passage de peu de chose à rien.
Il y a des domaines où il n'y aura jamais de progrès: l'homme sera toujours mortel, il sera toujours soumis à la maladie. Quant au progrès historique, c'est-à-dire la diminution de la violence, je ne le nie pas tout à fait mais j'aurai un peu la prudence de Kant sur ce point: les choses n'iront pas vite
Bavardage : sport très répandu parce que le moins coûteux et le moins fatigant. On n'y dépense qu'un peu de salive et, les grands jours, qu'un tout petit peu d'esprit.
Après tout, lorsque le temps d'en finir est venu, lorsque l'égoïsme nous relâche un peu, en fait de souvenir on ne garde au coeur que celui des femmes qui aimaient vraiment un peu les hommes, pas seulement un seul, même si c'était vous, mais tous.
Vous êtes donc jeune aussi, Monseigneur, un peu plus de dix-huit ans, tout de même, vingt-cinq, sans doute, trente, peut-être, guère au-delà. Passé cet âge, on se met à peser chacun de ses actes, on brime son cœur, on tue son âme, on se trahit à chaque instant, car nul ne peut mener sa vie autrement en ces temps qui sont les nôtres.
C'est avec une véritable jouissance qu'il avait retrouvé, tout de suite, sans hésiter, ses gestes, ses habitudes, sa technique de laboureur. Avec un plaisir immense qu'il avait réentendu le chant, un peu gras et parfois crissant, de la terre qui se fend, s'ouvre, se love en sifflant contre le versoir. Avec une joie complète qu'il avait apprécié l'étalement luisant des sillons qu'il créait, qu'il accolait un à un, nets, droits, bien découpés.
Un peu gêné tout de même de marier si vite avec sa belle-soeur, il redouble de soins sur la tombe de sa femme. - C'est la mieux entretenue du cimetière.
Je sentais la caresse légère de ses doigts sur mon cou comme une brûlure, et, à un coup de roulis brusque, son pied se posa sur le mien, et elle me ceintura de ses bras tièdes, en riant d’un rire un peu précipité ; j’étais hors d’état de rien dire, mais je pressai ce pied nu, tout glacé sur les planches humides, son bras s’attarda une seconde autour de moi, et je sentis l’odeur d’enfance et de forêt de ses cheveux. En cet instant, je ne la désirais même plus, je ne sentais plus rien que le vent fortifiant qui nous giflait de claquements d’ailes rudes, et qu’une tendresse ouvrant ses mille bras dans une nuit confiantes, sûre de les refermer sur leur mesure même de douce chaleur.
Les frères Goncourt, c'est un peu comme Coca-Cola. Tout le monde connaît leurs noms par le prix Goncourt, qui est le prix le plus prestigieux en France et un des plus prestigieux dans le monde, en revanche on connaît très mal ceux qui se cachent derrière. Il y a effectivement deux hommes, Edmond de Goncourt qui est né en 1822 sous Louis XVIII et Jules de Goncourt né en 1830 sous Louis-Philippe.
Mais arrêtez donc d'emmerder les Français ! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays ! On en crève ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libérer ce pays !
C'est vrai qu'on m'a mariée à Samad Iqbal le soir même du jour où je l'ai rencontré pour la première fois. C'est vrai que je ne le connaissais ni d'Eve ni d'Adam. Mais il ne me déplaisait pas. On s'est rencontrés dans la salle du petit déjeuner d'un hôtel de Delhi, un jour où il faisait une chaleur épouvantable, et il m'a éventée avec le Times. J'ai trouvé qu'il avait un visage sympathique, une voix douce et un joli p'tit derrière pour un homme de son âge. Bon. Maintenant, chaque fois que je découvre quelques chose sur son compte, je l'apprécie un peu moins. Donc, tu vois, tout compte fait, on était nettement mieux avant...
Puisqu'on ne peut être universel et savoir tout ce qu'on peut savoir sur tout, il faut savoir un peu de tout. Car il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d'une chose; cette universalité est la plus belle.
Les profs sont là, debout sur l'estrade, sous les feux d'une rampe invisible, pour toute une vie, et nous ne faisons que passer. Ils sont les Bill Murray d'un Jour sans fin scolaire: ils nous séduisent toute une année, mais nous disparaissons en juillet et il leur faut tout recommencer, encore et encore. Pourtant, ils savent bien qu'en partant, nous les emportons avec nous, un peu.
Les romans, la poésie, le théâtre, c'est quand même un bon moyen de connaître des tas de gens, les auteurs, de façon très intime, et sans tout le tralala social qui brouille un peu les cartes.
Ici, là, un peu partout : un passage entre le visible et l'invisible. Une fenêtre mal fermée, une porte entrouverte par où arrive un peu de lumière. Sans invisible, nous ne verrions rien, nous serions dans le noir complet.
Un peu partout dans le monde, les exécuteurs sont déjà installés dans les fauteuils ministériels. Ils ont seulement remplacé la hache par le tampon à encre.
Un jarret de porc salé dans la soupe de chou blanc commence à fournir déjà assez de matière. Surtout si c'est un jarret un peu rose, avec d'onctueuses petites mottes de gluant dans les jointures.
Ainsi, l’homme jadis laborieux se relâche en toutes choses jusqu’à devenir un simple instrument aux mains de gens qui ne poursuivent que d’ignobles profits. Son chômage lui était si peu imputable à tort que, d’un seul coup, il lui est tout à fait égal de combattre pour des revendications économiques ou d’anéantir les valeurs de l’État, de la société ou de la civilisation. Il devient gréviste sinon avec joie, du moins avec indifférence. J’ai pu suivre ce processus sur des milliers d’exemples. Et plus j’en observais, plus vive était ma réprobation contre ces villes de plusieurs millions d’habitants, qui attirent si avidement les hommes pour les broyer ensuite de façon si effroyable.
Pour un peu d'affection, je partagerais ce que je possède : l'argent de ma pension, mon lit. Je serais si délicat avec la personne qui me témoignerait de l'amitié. Jamais je ne la contrarierais. Tous ses désirs seraient les miens. Comme un chien, je la suivrais partout. Elle n'aurait qu'à dire une plaisanterie, je rirais ; on l'attristerait, je pleurerais.
Créer des personnages, les porter à bras tendus, exige de se mettre dans la peau des autres. Le jour où j'ai compris que c'était devenu trop fatigant pour moi de me mettre encore dans la peau des autres, de créer encore des personnages, j'ai décidé d'arrêter. J'avais soixante-dix ans, c'était donc il y a un peu plus de deux ans. Et comme je voulais quand même faire quelque chose, je me suis mis à être mon propre personnage. Au lieu de chercher tout sur l'homme en étudiant les autres, essayer de le faire en m'étudiant moi-même.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Partir, c'est mourir un peu,
C'est mourir à ce qu'on aime :
On laisse un peu de soi-même
En toute heure et dans tout lieu.
C'est toujours le deuil d'un voeu,
Le dernier vers d'un poème ;
Partir, c'est mourir un peu.
C'est mourir à ce qu'on aime.
Et l'on part, et c'est un jeu,
Et jusqu'à l'adieu suprême
C'est son âme que l'on sème,
Que l'on sème à chaque adieu...
Partir, c'est mourir un peu.Quand on chatte, on demeure superficiel. On peut difficilement faire autrement. C'est un peu comme si on causait dans la rue ou dans le métro. Le monde est là qui entend tout ce qu'on dit. Alors, on reste léger.
L'altérité de mon prochain me comprend et m'accueille à condition que mon propos ait subi dans son voyage vers lui, une altération telle qu'il ne soit déjà plus tout à fait le mien, déjà plus qu'un peu le sien.
Traversées de
Kwest de Andreas Eschbach
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Sans référence de Victor Hugo
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Entretien Lire par Jean Blain le 01/12/1999 de Clément Rosset
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Nouvelles Contradictions (1911) de Charles Regismanset
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Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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Le Roi au-delà de la mer (2000) de Jean Raspail
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Des grives aux loups (1979) de Claude Michelet
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Journal de Jules Renard
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Le Rivage des Syrtes (1951) de Julien Gracq
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Les infréquentables frères Goncourt (2020) de Pierre Ménard
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En 1966 à Jacques Chirac, jeune énarque de 34 ans portant d’énormes parapheurs de Georges Pompidou
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Sourires de loup (2000) de Zadie Smith
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Pensées (1670) de Blaise Pascal
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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Autoportrait au radiateur (2000) de Christian Bobin
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Actuelles I, Chroniques 1944-1948 (1950) de Albert Camus
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Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix (1938) de Jean Giono
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Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande » de Adolf Hitler
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Mes amis (1924) de Emmanuel Bove
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Seul (1890), Rondel de l'adieu de Edmond Haraucourt
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Je voudrais que tu... (2011) de Frank Andriat
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Pierre Schneider
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