Citations sur champs

Il [le peuple] n'aime que le bras qui dans les champs humides Par milliers fait pourrir ses os ; Il aime qui lui fait bâtir des pyramides

Vivre comme jadis, aux champs de Babylone, Ont vécu, nous dit-on, ces pères des humains Dont le nom aux autels remplit nos fastes saints

Tu ne sais pas lire ; mais tu sais ce que disent ces bois et ces prairies, ces tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons, toute cette nature splendide de jeunesse

Entasser tout le peuple des champs dedans les murailles d'une ville

Ilz n'avoient qu'une petite maison en la ville, et une petite possession aux champs dont ilz s'entretenoient

Ce qu'il faisoit aux champs n'estoit plus que pour plaisir, et pour contempler et apprendre tousjours quelque chose de la nature

Ilz n'ozerent jamais se mettre aux champs pour les aller secourir : tant estoient leurs cueurs espris de deffiance, et mal affectionnez à la guerre

Adieu les plaisirs des champs ; Plus à l'abri de l'ombrage Des oyselets aux doux chants On n'oit le caquet ramage

Pour des rubans la France entière Fut en proie à de longs débats ; La fleur des champs brille à ta boutonnière

Les champs de Rome ont payé mes exploits, Et j'en rapporte un cep de vigne

Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur

Viens aux champs fouler la verdure, Donner le bras à ton amant

Brennus disait aux bons Gaulois : Célébrez un triomphe insigne ; Les champs de Rome ont payé mes exploits, Et j'en rapporte un cep de vigne

Sur un ruisseau rapide Vers la France entraîné, Il s'assied l'oeil humide Et le front incliné ; Dans ces champs qu'il regrette, Il sait qu'en peu de jours, Ces flots que rien n'arrête Promèneront leur cours

Il gasterent les champs par grande ennemistié

Monstrans à la cité le gastement de leurs champs par vanterie et par reproiche

Les champs qui n'avoient pas este coutivez

Que si cette inscription est de quelque nation ancienne qui ne subsiste plus, elle étend notre âme dans les champs de l'infini

Je chante les combats et cet homme pieux Qui, des bords phrygiens conduit dans l'Ausonie, Le premier aborda les champs de Lavinie

Des froids torrents de décembre Les champs sont partout noyés

Je chante les combats et cet homme pieux Qui, des bords phrygiens conduit dans l'Ausonie, Le premier aborda les champs de Lavinie

Je goûte une secrète satisfaction à contempler dans un gland le germe d'où naîtra dans quelques siècles le chêne majestueux à l'ombre duquel les oiseaux de l'air et les bêtes des champs iront se réjouir

Madame a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs ; le matin elle fleurissait, avec quelle grâce vous le savez ! le soir nous la vîmes séchée

Madame a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs ; le matin elle fleurissait, avec quelles grâces vous le savez ; le soir nous la vîmes séchée, et ces fortes expressions, par lesquelles l'Écriture exagère l'inconstance des choses humaines, devaient être pour cette princesse si précises et si littérales

Le soleil n'en est pas plus nébuleux dans les pays où Dieu n'est pas connu ; la pluie n'en arrose pas moins abondamment les champs et les pâturages