Citations sur meres

S'étant saisis de la puissance souveraine.... ils en usent comme les enfants se servent de leurs couteaux, qui s'en blessent le plus souvent, et en offensent leurs mères et leurs nourrices

La douleur de la honte et l'amour de la patrie prévalurent tellement dans la plus part d'entre elles [femmes de Sparte], que les époux ne pouvaient soutenir les regards de leurs épouses, et que les mères craignaient le retour de leurs fils

Si comme se li meres ou li juré qui ont les besognes à gouverner, fesoient fraude ou malice, par quoy le [la] vile fust desheritée ou endetée

Quant vile de commune a à fere, il ne convient pas que toute la commune voist [aille] au plet, ains soufist se li meres et deus de ses jurés y vont

S'il avoient le lor folement aloué, il n'ont pas à retorner ne a recouvrer à lor peres ne à lor meres sans lor volenté

Bientôt ils aperçurent leurs mères et Marie, qui venaient au-devant d'eux avec des tisons flambants

Le plus vieux des éléphants, comme le plus expérimenté, est à la tête de la troupe et la conduit ; le plus âgé après lui ferme la marche ; les jeunes et les faibles sont au centre du bataillon ; et les mères qui allaitent encore portent leurs petits qu'elles embrassent de leur trompe

C'est ainsi, dira-t-elle [une mère], qu'il pose ses mains ; c'est ainsi qu'il porte les yeux ; les mères sont ingénieuses à observer jusqu'aux moindres choses

La faim [dans Jérusalem assiégée] en tuait plus que la guerre, et les mères mangeaient leurs enfants

On ne peut assez admirer les moyens dont elle [la nature] se sert pour unir les mères avec leurs enfants ; car c'est le but auquel elle vise

La dureté de ces pères et de ces mères qui, tout occupés d'eux-mêmes et ne voulant se dessaisir de rien, laissent languir de jeunes personnes sans établissement

Il y a quelquefois des mères lionnes qui emportent leurs petits dans leur gueule ; d'autres qui ont assez de naturel pour ne les point abandonner, et qui se font même assommer sur la place en cherchant à les défendre

Les thérapeutes abandonnent leurs biens à leurs parents ou à leurs amis ; ils quittent leurs pères, leurs mères ; ils renoncent à tous les attachements terrestres

Les pitoiables meres Pressent à l'estomac leurs enfans esperdus, Quand les tambours françois sont de loin entondus

Vous estes fils de serfs, et vos testes tondues Vous font ressouvenir de vos meres vendues

Les pitoiables meres Pressent à l'estomac leurs enfants esperdus, Quand les tambours françois sont de loin entendus

Rien n'est plus négligé que l'éducation des filles ; la coutume et le caprice des mères y décident souvent de tout ; on suppose qu'on doit donner à ce sexe peu d'instruction ; l'éducation des garçons passe pour une des principales affaires par rapport au bien public, et, quoiqu'on n'y fasse guère moins de fautes que dans celle des filles, du moins on est persuadé qu'il faut beaucoup de lumières pour y réussir

Souvenez-vous de ces années stériles où, selon le langage du prophète, le ciel fut d'airain et la terre de feu : les mères mouraient sans secours sous les yeux de leurs enfants, les enfants entre les bras de leurs mères, faute de pain

Et, sans s'incommoder, moyennant ce partage, Mères et nourrissons faisaient leur tripotage

Si tant de mères [qui ont perdu leurs enfants] se sont tues, Que ne vous taisez-vous aussi ?

....La plupart sont déjà Aussi grandes que leurs mères ; Le croît m'en appartient

Un seul passage encore à la fuite est ouvert : Leurs enfants dans les bras, les mères y gravissent

Nos mères nous ont faits tous du même limon

Des vieillards massacrés, des mères désolées

Et les frères, les soeurs, les mères et les filles [ont] D'affreux égorgements trop noirci nos familles