Citations sur recommence

Il [Pithéas] alla jusqu'en Islande ; il prouve qu'il y a réellement pénétré, en racontant un phénomène qu'il ne pouvait deviner, qui est que, le jour du solstice d'été, le soleil ne fait que toucher à l'horizon, et recommence à s'élever aussitôt

J'ai d'un géant vu le fantôme immense Sur nos bivouacs fixer un oeil ardent ; Il s'écriait : mon règne recommence ; Et de sa hache il montrait l'occident ; Du roi des Huns c'était l'ombre immortelle

On recommence à dire que je suis fort brouillé avec Rome

Ce raisonnement est recommencé cinquante fois avec des tours qui tous aboutissent non pas à...

À peine sortions-nous pleins de trouble et d'horreur, Qu'Attila recommence à saigner de fureur

Combien vous souffrîtes ! combien vous aviez souffert jusqu'à ce moment ! c'est à travers des cicatrices que votre sang a recommencé de couler

Et comment Saquambasac, un mameluz, avoit recommencé l'assaut, et par ce fut la cité prise

La nature recommence toujours les mêmes choses, les ans, les jours, les heures.... ainsi se fait une espèce d'infini et d'éternel

Comment souffrirons-nous... Que le jour recommence et que le jour finisse Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice ?

Comment souffrirons-nous.... Que le jour recommence et que le jour finisse Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice

Et ce feu dans Trézène a donc recommencé ?

Il [Rousseau] travaille lentement, pesamment, fait beaucoup de fautes, efface ou recommence sans cesse

Le temps s'est réveillé ; ma tâche recommence ; Adieu, besoins du coeur, solitude, silence, Adieu loisir, adieu loisir !

On recommence à murmurer je ne sais quoi de Théobon, comme si, les duels étant défendus, les rencontres étaient permises

Allez, qu'un encens pur recommence à fumer

Je recommence à reconnaître un être suprême inaccessible à nos sens, et prouvé par notre raison, qui a fait le monde et qui le conserve

Et veut-on que le sang recommence à couler ?

Il [un conseiller de la Tournelle] se donne le plaisir de l'appliquer [un accusé] à la grande et à la petite torture, en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi or recommence ; et, comme dit très bien la comédie des Plaideurs, cela fait toujours passer une heure ou deux