Citations sur esclave

Les esclaves de tout âge, de tout sexe et de toute nation sont un objet considérable de commerce dans toute la Grèce

D'anciens Gaulois, pauvres esclaves, Un soir qu'autour d'eux tout dormait, Levaient la dîme sur les caves Du maître qui les opprimait

Le royaume de Rome estoit abandonné non pas seulement à gens estranges et pelerines, mes encores à serfs et à esclaves

Vil esclave toujours sous le joug du péché, Au démon qu'il redoute il demeure attaché

On trouve la sainteté dans les emplois les plus bas, et un esclave s'élève à la perfection dans le service d'un maître mortel, pourvu qu'il y sache regarder l'ordre de Dieu

Quand l'esclave imprudent pour ses maîtres combat, Tout son sang prodigué se répand sans éclat

L'empereur soupçonneux, esclave de son rang

En arrivant à la cour, il se vit entouré une seconde fois des esclaves de la faveur

Vous seriez devenu, pour avoir tout dompté, Esclave des grandeurs où vous êtes monté

Elle a trop de vertus pour n'être pas chrétienne.... Pour vivre des enfers esclave infortunée

Père dénaturé, malheureux politique, Esclave ambitieux d'une peur chimérique

Je ne désire pas des amis ; il ne me faut que des dupes et des esclaves

Qui est plus esclave qu'un courtisan assidu, si ce n'est un courtisan plus assidu ?

Les hommes veulent être esclaves quelque part et puiser là de quoi dominer ailleurs

Plus une âme mondaine est esclave de ses passions

Elle n'en est pas moins l'esclave des vanités d'Égypte

Vous exigez que vos esclaves vous servent avec tant de respect

Aristote veut prouver qu'il y a des esclaves par nature ; ce qu'il dit ne le prouve guère

Les Athéniens traitaient leurs esclaves avec une grande douceur ; on ne voit point qu'ils aient troublé l'État à Athènes, comme ils ébranlèrent celui de Lacédémone

De mon rang descendue, à mille autres égale, Ou la première esclave enfin de ma rivale

Fut-il jamais au joug esclaves plus soumis ?

Triste destin des rois, esclaves que nous sommes Et des rigueurs du sort et des discours des hommes

Esclave d'une lâche et frivole pitié

Chaque nation européenne a une manière de traiter ses esclaves qui lui est propre : l'Espagnol en fait les compagnons de son indolence ; le Portugais, les instruments de ses débauches ; le Hollandais, les victimes de son avarice

Il est prouvé que quatorze ou quinze cent mille noirs, aujourd'hui épars dans les colonies européennes du nouveau monde, sont les restes infortunés de huit ou neuf millions d'esclaves qu'elles ont reçus