Citation de Fiodor Dostoievski


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Liste de citations - Fiodor Dostoievski - Toutes ses citations




La peur, comme de la glace, lui avait enveloppé l'âme toute entière, l'avait mis au supplice, pétrifié...

Crime et chatiment - Fiodor Dostoïevski





Bref, j'ai fait mon éloge, comme il arrive toujours en fin de compte quand nous entreprenons de nous examiner.

Les nuits blanches - Fiodor Dostoïevski





Il sentait en lui-même le plus grand désordre. Il avait peur de ne pas pouvoir se maîtriser. Il essayait de s'accrocher à quelque chose, de penser à quelque chose, quelque chose de tout à fait fortuit, mais ça ne marchait pas du tout.

Crime et chatiment - Fiodor Dostoïevski





il venait comme de se couper des autres d'un coup de ciseaux.

Crime et châtiment - Fiodor Dostoïevski





Je me demande comment j'ai pu vous prendre pour un idiot ! Vous qui voyez ce que d'autres sont incapables de jamais remarquer. Il serait bon de parler avec vous... quoique... au fond, mieux vaut ne pas parler.

L'idiot - Fiodor Dostoïevski





Vraiment, on est prêt à croire, à certains moments, que toute cette vie n'est pas une excitation des sens, un mirage, une tromperie de l'imagination, mais quelque chose de réel, de vrai, d'existant !

Les nuits blanches - Fiodor Dostoïevski





Oh ! combien est insupportable l'être heureux, à certains moments !

Les nuits blanches - Fiodor Dostoïevski





Qui sait ? peut-être que tout mon amour était une illusion des sens, de l'imagination ?

Les nuits blanches - Fiodor Dostoïevski





Mon cher prince il n'est guère facile de réaliser le paradis sur terre or, vous comptez tout de même un peu sur le paradis le paradis est une chose difficile, prince, bien plus difficile qu'il n'apparaît à votre excellent cœur.

L'idiot - Fiodor Dostoïevski





(...) il l'aimait, en haïssant, et c'est justement l'amour le plus fort...

L'adolescent. les nuits blanches. le sous-sol. le joueur. l'eternel mari (bibliotheque de la pleiade) - Fiodor Dostoïevski





Avec l'argent que j'avais de mon premier gain, cela faisait mille sept cents florins en moins de cinq minutes ! En vérité, à de pareils moments, on oublie tous les échecs antérieurs.

Le joueur - Fiodor Dostoïevski





Est-il vrai, prince, que vous ayez dit une fois que la beauté sauverait le monde ? Messieurs, s'écria-t-il en prenant toute la société à témoin, le prince prétend que la beauté sauvera le monde ! (...) Ne rougissez pas, prince ! vous me feriez pitié. Quelle beauté sauvera le monde ?

L'idiot, fedor dostoievski (trad. albert mousset), édition livre de poche, 2010 (isbn 978-2-07-038963-6), p. 464 - Fiodor Dostoïevski





Je fais si peu de cas de tes sentiments, semble-t-elle dire, que tout ce que tu peux me dire, tout ce que tu peux ressentir pour moi m'est parfaitement indifférent.

Le joueur - Fiodor Dostoïevski





On n'aurait pas trouvé un seul grain de poussière dans tout l'appartement. Cette propreté là, c'est toujours comme ça chez les vieilles veuves méchantes.

Crime et chatiment - Fiodor Dostoïevski





Ah ! Ma chérie, qu'est-ce que le style ? Vous savez, je ne sais même plus ce que j'écris, je ne sais plus rien, je ne me relis même pas, je ne me corrige pas, j'écris seulement pour écrire, pour m'entretenir avec vous un peu plus longtemps...

Les pauvres gens - Fiodor Dostoïevski





Les gens ne comptent que leur malheur leur bonheur, ils ne le comptent jamais. S'ils le comptaient comme il faut, ils comprendraient que chacun a sa part en réserve.

Les carnets du sous-sol, fedor dostoïevski (trad. andré markowicz), éd. babel, 1863 (isbn 2-86869-799-2), p. 123 - partie ii : sur la neige mouillée - Fiodor Dostoïevski





il faut d'abord apprendre à vivre soi-même avant de faire la leçon aux autres !

Les carnets du sous-sol, fedor dostoievski (trad. andre markowicz), édition babel, 1863 (isbn 2-86869-799-2), p. 126 - partie ii : sur la neige mouillee - Fiodor Dostoïevski





Sauf la naissance, tout le reste peut s'acquérir par le talent, le savoir, l'intelligence, le génie.

Le crime et le chatiment, édition editions ligaran - isbn: 9782335008487 - Fiodor Dostoïevski





Ils ont pleuré un peu mais ils ont fini par s'y habituer. L'homme s'habitue à tout, le lâche.

L'idiot - Fiodor Dostoïevski





Il y avait une idée étrange qui lui poussait, à coups de bec, à l'intérieur du crâne, comme un poussin qui voudrait naître, une idée qui l'occupait beaucoup, vraiment beaucoup.

Crime et chatiment - Fiodor Dostoïevski






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Les naissances et les décès de personnages célèbres


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