Citation de Hugo


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Liste de citations - Citations Hugo - Page 69 sur un total de 82 pages.




Égalité, traduction en langue politique du mot envie.

« Choses vues » (1848), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 597 - Victor Hugo





En France, il y a toujours une révolution possible à l'état de calorique latent.

« Choses vues » (1848), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 597 - Victor Hugo





Sans la moindre métaphore et dans toute l'acception du mot, vivre, c'est brûler.

« Choses vues » (1846), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 294 - Victor Hugo





Très bonne loi électorale (quand le peuple saura lire) : Article premier. — Tout Français est électeur. Article II. — Tout Français est éligible.

« Choses vues » (1830), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 105 - Victor Hugo





Avant une république, ayons, s'il se peut, une chose publique.

« Choses vues » (1830), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 108 - Victor Hugo





En France, que de gens à longues oreilles : ânes en littérature, lièvres en politique !.

« Choses vues » (1830), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 105 - Victor Hugo





Les révolutions sont de magnifiques improvisatrices. Un peu échevelées quelquefois.

« Choses vues » (1830), dans Choses vues 1830-1848, Victor Hugo, éd. Gallimard, coll. Folio classique, 1972, p. 105 - Victor Hugo





Un jour, espérons-le, le globe sera civilisé. Tous les points de la demeure humaine seront éclairés, et alors sera accompli le magnifique rêve de l'intelligence : avoir pour patrie le Monde et pour nation l'Humanité.

Les Burgraves (1843), Victor Hugo, éd. J. Hetzel, 1843, Préface, p. 22 - Victor Hugo





Et ces deux âmes, soeurs tragiques, s'envolèrent ensemble, l'ombre de l'une mêlée à la lumière de l'autre.

« Quatre-vingt-treize », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie III (« En Vendée »), chap. VI (« Cependant le soleil se lève »), livre septième (« Féodalité et Révolution »), p. 1065 - Victor Hugo





Or si jamais un rêve avait été impraticable et insensé, c’était celui-ci : sauver la machine échouée sur les Douvres. Envoyer travailler sur ces roches un navire et un équipage serait absurde ; il n’y fallait pas songer. C’était la saison des coups de mer ; à la première bourrasque les chaînes des ancres seraient sciées par les crêtes sous-marines des brisants, et le navire se fracasserait à l’écueil. Ce serait envoyer un deuxième naufrage au secours du premier. Dans l’espèce de trou du plateau supérieur où s’était abrité le naufragé légendaire mort de faim, il y avait à peine place pour un homme. Il faudrait donc que, pour sauver cette machine, un homme allât aux rochers Douvres, et qu’il y allât seul, seul dans cette mer, seul dans ce désert, seul à cinq lieues de la côte, seul dans cette épouvante, seul des semaines entières, seul devant le prévu et l’imprévu, sans ravitaillement dans les angoisses du dénûment, sans secours dans les incidents de la détresse, sans autre trace humaine que celle de l’ancien naufragé expiré de misère là, sans autre compagnon que ce mort. Et comment s’y prendrait-il d’ailleurs pour sauver cette machine ? Il faudrait qu’il fût non seulement matelot, mais forgeron. Et à travers quelles épreuves ! L’homme qui tenterait cela serait plus qu’un héros. Ce serait un fou.

« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. I (« la perle au fond du précipice »), livre septième (« Imprudence de faire des questions à un livre »), p. 181 - Victor Hugo





On contemplait la mer, on écoutait le vent, on se sentait gagner par l’assoupissement de l’extase. Quand les yeux sont remplis d’un excès de beauté et de lumière, c’est une volupté de les fermer. Tout à coup on se réveillait. Il était trop tard. La marée avait grossi peu à peu. L’eau enveloppait le rocher. On était perdu. Redoutable blocus que celui-ci : la mer montante. La marée croît insensiblement d’abord, puis violemment. Arrivée aux rochers, la colère la prend, elle écume.

« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. VIII (« La chaise Gild-Holm-'UrV »), livre premier (« De quoi se compose une réputation »), p. 69 - Victor Hugo





Vous qui cherchez à plaire Ne mangez pas l'enfant dont vous aimez la mère.

« Bon conseil aux amants », Victor Hugo, dans La poésie française d'humour, Claude Michel Cluny (dir.), éd. Poésie 1 (n°13), 1970, p. 58 - Victor Hugo





Le monde est à plat ventre, et l'homme, altier naguère, doux et souple aujourd'hui, tremble. — Paix ! dit la guerre.

« Les Quatre Vents de l'esprit », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, Victor Hugo, éd. J. Hetzel, A. Quantin, 1883, vol. Poésie. XV, livre I (« Le Livre satirique »), poème XXI, p. 90 - Victor Hugo





Ce livre est écrit beaucoup avec le rêve, un peu avec le souvenir. Rêver est permis aux vaincus ; se souvenir est permis aux solitaires.

« Les Chansons des rues et des bois », dans Œuvres complètes de Victor Hugo (1866), Victor Hugo, éd. Hetzel/Quantin, 1882, t. Poésie VIII, préface, p. 2 - Victor Hugo





Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. - Inutiles, épars, ils traînent ici-bas - Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. - Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule. - Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule, - Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non, - N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;.

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent - Victor Hugo





Songeur, retiens ceci : l'homme est un équilibre. - L'homme est une prison où l'âme reste libre. - L'âme, dans l'homme, agit, fait le bien, fait le mal, - Remonte vers l'esprit, remonte à l'animal ;.

« Les Contemplations », dans Œuvres complètes de Victor Hugo (1856), Victor Hugo, éd. Hetzel/Quantin, 1883, t. Poésie VI, livre VI (« Au bord de l'infini »), poème XXVI (« Ce que dit la bouche d'ombre »), p. 350 - Victor Hugo





L’homme est une prison où l’âme reste libre.

« Les Contemplations », dans Œuvres complètes de Victor Hugo (1856), Victor Hugo, éd. Hetzel/Quantin, 1883, t. Poésie VI, livre VI (« Au bord de l'infini »), poème XXVI (« Ce que dit la bouche d'ombre »), p. 350 - Victor Hugo





Cadet Rousselle fait des discours - Qui ne sont pas longs quand ils sont courts.

Quatre-vingt-treize, avait fait dire à Danton, à propos de Robespierre : - Victor Hugo





La confiance en soi fait le sot. La foi en soi fait le grand homme.

Choses vues - Victor Hugo





La vie, c'est la communication de proche en proche.

Proses philosophiques : [La Mer et le Vent] - Victor Hugo






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