Citation de Lamartine


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Liste de citations - Lamartine - Toutes ses citations




Un tel pays, serait encore la terre de promission aujourd'hui si la providence lui rendait un peuple, et la politique du repos et de la liberté

Voyage en orient - Alphonse de Lamartine





Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts.

Oeuvres de lamartine (édition 1840) - Alphonse de Lamartine





Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde Dieu n'est qu'un mot rêvé pour expliquer le monde, Un plus obscur abîme où l'esprit s'est lancé.

Oeuvres de lamartine (édition 1840) - Alphonse de Lamartine





La gloire efface tout, tout excepté le crime.

Œuvres de lamartine (édition 1862) - Alphonse de Lamartine





Le sublime lasse, le beau trompe, le pathétique seul est infaillible dans l'art. Celui qui sait attendrir sait tout.

Œuvres complètes de lamartine (édition 1863) - Alphonse de Lamartine





La main de Dieu est visible sur les choses humaines, mais cette main même a une ombre qui nous cache ce qu'elle accomplit.

Œuvres complètes: publiées et inédites. histoire des girondins 1 (édition 1861) - Alphonse de Lamartine





C'est pour la vérité que Dieu fit le génie.

« premieres meditations poetiques », dans Œuvres complètes, alphonse de lamartine, édition hachette, pagnerre, furne, 1856-1857, t. 1, meditation ii (« l'homme »), p. 130 - Alphonse de Lamartine





Rien n'est vrai, rien n'est faux tout est songe et mensonge, Illusion du cœur qu'un vain espoir prolonge. Nos seules vérités, hommes, sont nos douleurs.

Œuvres complètes de lamartine: harmonies poétiques et religieuses [suite] contre la peine de mort. saül. chant du sacre (édition 1860) - Alphonse de Lamartine





L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive Il coule, et nous passons !

Méditations poétiques, 1820 - Alphonse de Lamartine





Il y a une femme à l'origine de toutes les grandes choses.

Histoire des Girondins, Alphonse de Lamartine, éd. Meline, 1847, livre huitième, p. 131 - Lamartine





Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nommait la muse, au lieu d’une lyre à sept cordes de convention, les fibres mêmes du cœur de l’homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l’âme et de la nature.

Préface du 2 juillet 1849 - Œuvres complètes de Lamartine, Alphonse de Lamartine, éd. Chez l’auteur, 1860, t. premier, partie Première préface — Des Méditations, p. 14 - Lamartine





C'est ainsi qu'il mourut, si c'était là mourir !

Œuvres de lamartine (édition 1862) - Alphonse de Lamartine





On voudrait revenir à la page où l'on aime, Et la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts !

Poesies - Alphonse de Lamartine





Ainsi toujours poussés vers de nouveaux rivages Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ?

Oeuvres /de lamartine, alphonse (édition 1833) - Alphonse de Lamartine





Je suis las des musées, — cimetières des arts.

« voyage en orient », dans Œuvres complètes, alphonse de lamartine, édition hachette, pagnerre, furne, 1856-1857, t. 7, athenes (18 aout 1832), p. 95 - Alphonse de Lamartine





Les liaisons sont des serments tacites que la morale peut désapprouver, mais que l'usage excuse et que la fidélité justifie.

Cours familier de litterature: un entretien par mois (édition 1866) - Alphonse de Lamartine





Vois-tu dans la carrière antique, Autour des coursiers et des chars, Jaillir la poussière olympique Qui les dérobe à nos regards ?.

Le Génie - Alphonse de Lamartine





Vois-tu dans la carrière antique, Autour des coursiers et des chars, Jaillir la poussière olympique Qui les dérobe à nos regards ? Dans sa course ainsi le génie, Par les nuages de l'envie Marche longtemps environné ; Mais au terme de la carrière, Des flots de l'indigne poussière Il sort vainqueur et couronné.

Alphonse de LAMARTINE - Le Génie - Lamartine





Qu'importe aux cœurs unis ce qui change autour d'eux ?

Œuvres complètes de m. de lamartine (édition 1845) - Alphonse de Lamartine





Vous marchez sur une cendre à peine refroidie, et vous ne croyez déjà plus aux volcans !.

Lamartine, à la Chambre des Députés, le 10 janvier 1839. - Alphonse de Lamartine






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