Citation finalement


Sélection de 89 citations sur le sujet finalement

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citations finalement et proverbes finalement




Chacun de nous a en lui un peu de Robinson avec un nouveau monde à découvrir et, finalement, un Vendredi à rencontrer.
La première nuit - Marc Levy




Tout le monde est réaliste. Personne ne l'est. Finalement ce n'est pas l'esthétique qui importe, mais l'attitude intérieure.
Carnets III, mars 1951-décembre 1959 - Camus




L'amour est comme un cancer, un chancre, une masse sournoise qui se nourrit d'elle-même, grossit, grandit, et finit par nous dévorer. On meurt et on se demande si finalement, on n'aurait pas mieux fait d'haïr seulement ou de rester indifférent.
Quelques Adieux - Marie Laberge




L'individu est aujourd'hui capable d'opérer sur des informations reçues un traitement idéologique dont les effets sont assurées. La science se contente finalement de fournir la phraséologie, les idées et les thèmes.
Le Communisme comme réalité, Alexandre Zinoviev (trad. Jacque Michaut), éd. Julliard/L'Age d'Homme, 1981 (ISBN 2-260-00252-8), partie Fonctions idéologiques de la science et de l'art, p. 288 - Alexandre Zinoviev




Je me suis inventé une vie sobre et belle, j'ai vécu une existence resserrée autour de gestes simples. J'ai connu l'hiver et le printemps, le bonheur, le désespoir et, finalement, la paix.
Dans les forêts de Sibérie - Sylvain Tesson




Alors que j'aurais dû leur dire notre échec lamentable. Maman fait plus bander papa, les enfants, et tout part de là, vous savez ? Tout. Maman a cru que c'était utile d'être admirée et un peu plus intelligente que les autres filles aux yeux bleus. Nada. Il fallait leur dire ça pour qu'ils gagnent du temps. Que les princes tôt ou tard se barrent sur leurs chevaux blancs dans des contrées lointaines. Que les promesses sont tachées dès qu'elles sont formulées. Si on promet, c'est qu'on choisit. Et finalement on veut toujours le parfum dans le cornet du copain. Tu es sûr ? Bien sûr ? C'est moi que tu aimes ? Mais oui. Pourquoi tu poses cette question ? Parce qu'il y a pas mal d'options dans le reste de l'humanité. C'est toi que je veux. J'aurais dû leur dire qu'un jour on se hait. Et que, ça encore, ça ressemble à une histoire. J'aurais dû leur dire qu'un jour on se méprise, on s'indiffère.
Keith me - Amanda Sthers




Ma vie s’est jouée avant que je ne vienne au monde. N’est-ce finalement pas le cas de tout un chacun. Notre vie n’est le fruit d’un passé qu’on ne maîtrise absolument pas.
Le coeur cousu - Carole Martinez




Elle n’aime pas qu’on l’aime, finalement. Je la pense un peu égoïste : elle n’aime qu’aimer.
L'amour baroque - René Fallet




Tout finit par s’oublier, de toute manière. D’abord, on oublie tout ce qu’on a appris : les dates de la guerre de Cent Ans, le théorème de Pythagore. On oublie surtout tout ce qu’on n’a pas vraiment appris mais juste mémorisé la veille au soir. On oublie les noms de pratiquement tous ses profs à part un ou deux, qu’on finira par oublier eux aussi. On oublie son emploi du temps de première, sa place dans la classe, le numéro de téléphone de son meilleur ami et les paroles de cette chanson qu’on a bien écoutée un million de fois. Pour moi, c’en était une de Simon & ; Garfunkel. Qui sait laquelle ça sera pour toi ? Et finalement, mais lentement, tellement lentement, on oublie ses humiliations… même celles qui semblaient indélébiles finissent par s’effacer. On oublie qui était branché et qui ne l’était pas, qui était beau, intelligent, sportif ou pas. Qui est allé dans une bonne fac. Qui donnait les meilleures fêtes. Qui pouvait vous trouver de l’herbe. On les oublie tous. Même ceux qu’on disait aimer, et ceux qu’on aimait vraiment. Ceux-là sont les derniers à disparaître. Et ensuite, une fois qu’on a suffisamment oublié, on aime quelqu’un d’autre.
Je ne sais plus pourquoi je t'aime - Gabrielle Zevin




On peut finalement se demander si le hasard existe vraiment ? Peut être que toutes les personnes que l'on croise marchent dans notre périmètre avec l'espoir incessant de nous rencontrer ? En y repensant, c'est vrai qu'elles paraissent souvent essoufflées.
la délicatesse - David Foenkinos




C'est une chose curieuse, le désir de connaissance. .. Très peu de gens l'ont, vous savez, même parmi les chercheurs ; la plupart se contentent de faire carrière, ils bifurquent rapidement vers l'administratif ; pourtant, c'est terriblement important dans l'histoire de l'humanité. On pourrait imaginer une fable dans laquelle un tout petit groupe d'hommes - au maximum quelques centaines de personnes à la surface de la planète - poursuit avec acharnement une activité très difficile, très abstraite, absolument incompréhensible aux non-initiés. Ces hommes restent à jamais inconnus du reste de la population ; ils ne connaissent ni le pouvoir, ni la fortune, ni les honneurs ; personne n'est même capable de comprendre le plaisir que leur procure leur petite activité. Pourtant ils sont la puissance la plus importante du monde, et cela pour une raison très simple, une toute petite raison : ils détiennent les clefs de la certitude rationnelle. Tout ce qu'ils déclarent comme vrai est tôt ou tard reconnu tel par l'ensemble de la population. Aucune puissance économique, politique, sociale ou religieuse n'est capable de tenir face à l'évidence de la certitude rationnelle. On peut dire que l'Occident s'est intéressé au-delà de toute mesure à la philosophie et à la politique, qu'il s'est battu de manière parfaitement déraisonnable autour de questions philosophiques ou politiques ; on peut dire aussi que l'Occident a passionnément aimé la littérature et les arts ; mais rien en réalité n'aura eu autant de poids dans son histoire que le besoin de certitude rationnelle. À ce besoin de certitude rationnelle, l'Occident aura finalement tout sacrifié : sa religion, son bonheur, ses espoirs, et en définitive sa vie. C'est une chose dont il faudra se souvenir, lorsqu'on voudra porter un jugement d'ensemble sur la civilisation occidentale.
Les Particules élémentaires - Michel Houellebecq




Il n'y a de vraie communication - finalement - qu'entre deux individus amoureux.
La Culture. Écrits polémiques - Pierre Bourgault




Quoi qu'on fasse et qu'il en soit, et aussi loin qu'on aille, il faut s'étendre au bout du compte pour dormir, c'est fatal. On a la laisse au cou, la fatigue qui vous retient à la terre finalement vous y tire, et l'on tombe, toujours, que voulez-vous. C'est l'élastique de la mort.
La Petite fille qui aimait trop les allumettes - Gaétan Soucy




Je me dis que finalement, c'est peut-être ça la vie : beaucoup de désespoir mais aussi quelques moments de beauté où le temps n'est plus le même. Comme si les notes de musique faisaient un genre de parenthèses dans le temps, de suspension, un ailleurs ici-même, un toujours dans le jamais. Oui, c'est ça, un toujours dans le jamais.
L'élégance du hérisson - Muriel Barbery




L'objet des sciences humaines, ce n'est donc pas le langage (parlé pourtant par les seuls hommes), c'est cet être qui, de l'intérieur du langage par lequel il est entouré, se représente, en parlant, le sens des mots ou des propositions qu'il énonce, et se donne finalement la représentation du langage lui-même.
Les Mots et les choses - Michel Foucault




Tout allait pour le mieux, à un détail près, un terrible détail : la solitude. Il n'aurait imaginé qu'on pouvait se sentir aussi seul, que la solitude l'empêcherait de dormir, de rire, et finalement de connaître autre chose que la terreur d'un coeur vide.
Juste un crime - Theodor Kallifatides




La scolarité est écourtée, la discipline se relâche, la philosophie, l'histoire, les langues sont abandonnées, l'anglais et l'orthographe de plus en plus négligés, et finalement presque ignorés. On vit dans l'immédiat, seul le travail compte, le plaisir c'est pour après. Pourquoi apprendre quoique ce soit quand il suffit d'appuyer sur des boutons, de faire fonctionner des commutateurs, de serrer des vis et des écrous ?.
Fahrenheit 451 - Ray Bradbury




Alors il aima Lilith, la première femme d’Adam, qui ne fut pas créée de l’homme. Elle ne fut pas faite de terre rouge, comme Ève, mais de matière inhumaine ; elle avait été semblable au serpent, et ce fut elle qui tenta le serpent pour tenter les autres. Il lui parut qu’elle était plus vraiment femme, et la première, de sorte que la fille du Nord qu’il aima finalement dans cette vie, et qu’il épousa, il lui donna le nom de Lilith. Mais c’était un pur caprice d’artiste ; elle était semblable à ces figures préraphaélites qu’il faisait revivre sur ses toiles. Elle avait les yeux de la couleur du ciel, et sa longue chevelure blonde était lumineuse comme celle de Bérénice, qui, depuis qu’elle l’offrit aux dieux, est épandue dans le firmament. Sa voix avait le doux son des choses qui sont près de se briser ; tous ses gestes étaient tendres comme des lissements de plumes ; et si souvent elle avait l’air d’appartenir à un monde diffèrent de celui d’ici-bas qu’il la regardait comme une vision.
Lilith, Cœur double - Marcel Schwob




Une photo, finalement, c'est bien peu de chose. Elle ne peut capturer qu'un seul moment, sur des millions, de la vie d'une personne, ou de la vie d'une maison.
La pluie, avant qu'elle tombe - Jonathan Coe




La vie est un brouillon, finalement. Chaque histoire est le brouillon de la prochaine, on rature, on rature, et quand c'est à peu près propre et sans coquilles, c'est fini, on n'a plus qu'à partir, c'est pour ça que la vie est longue.
Rien de grave - Justine Lévy



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