Citation Maree
Sélection de 32 citations sur le sujet Maree
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Citations sur Maree
J’ai pu échanger avec les Français, sans le poids du pouvoir qui déforme les rapports humains. Ils m’ont dit leurs espoirs, leurs incompréhensions et parfois aussi leurs déceptions. J’ai vu monter comme une marée inexorable le désarroi, le rejet, la colère à l’endroit du pouvoir, de sa majorité mais plus largement de tout ce qui touche de près ou de loin à la politique.
Dans un message publié sur Facebook vendredi 19 septembre 2014, l'ancien président de la République a officialisé son retour en politique. -
Nicolas Sarkozy
Autrefois, les peuples de la terre connaissaient des raz-de-marée, ce qui se disait tsunami en japonais. De ce fait, les tsunamis ne frappaient que les côtes japonaises. Mais depuis le 26 décembre 2004 où une vague gigantesque dévasta les pays riverains de l’océan indien, les raz-de marée ont disparu. Il n’y a plus que des tsunamis.
Nombres en folie -
Didier Hallépée
Aujourd'hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu'il est favorable.
Jules César -
Shakespeare
Il y a une marée dans les affaires des hommes, prise dans son flux elle porte au succès. Mais si l'on manque sa chance, le grand voyage de la vie s'échoue misérablement sur le sable. Hors aujourd'hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu'il est favorable où tout ce que l'on a risqué sera perdu.
Jules César -
William Shakespeare
Qu’à ton ami tu donnes de ton meilleur. S’il doit connaître le reflux de ta marée, qu’il connaisse aussi son raz. Que serait ton ami si tu le cherches pour tuer le temps ? Cherche-le toujours pour le vivre. Car il lui appartient de satisfaire ton besoin, pas ton vide. Et qu’il y ait rire dans la douce amitié, et partage de plaisirs. Car dans la rosée des détails, le cœur trouve son matin et la fraîcheur.
Le Prophète de Khalil Gibran -
Khalil Gibran
Voilà, me dis-je, le secret de la femme mère. C’est notre force en même temps que notre faiblesse. Nous sommes les mères, nous sommes les terres, nous sommes la une et les marées, nous sommes des femelles, nous sommes l’origine de la vie.
Un heureux événement -
Eliette Abecassis
C'est étrange, une femme, sa façon d'interpréter les choses après coup. La marée monte, on est un dieu. Elle descend, on est un monstre. On voit surgir des formules et des évidences auxquelles on n'aurait jamais pensé.
L'amour est fou -
Yann Queffélec
Rien n'est moins effrayant que cette douce et perfide invasion de la marée montante.
Les ailes de courage -
George Sand
On était perdu. Redoutable blocus que celui-ci : la mer montante. La marée croît insensiblement d’abord, puis violemment. Arrivée aux rochers, la colère la prend, elle écume.
« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. VIII (« La chaise Gild-Holm-'UrV »), livre premier (« De quoi se compose une réputation »), p. 69 -
Victor Hugo
On contemplait la mer, on écoutait le vent, on se sentait gagner par l’assoupissement de l’extase. Quand les yeux sont remplis d’un excès de beauté et de lumière, c’est une volupté de les fermer. Tout à coup on se réveillait. Il était trop tard. La marée avait grossi peu à peu. L’eau enveloppait le rocher.
« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. VIII (« La chaise Gild-Holm-'UrV »), livre premier (« De quoi se compose une réputation »), p. 69 -
Victor Hugo
Tu sais ce qui est beau, ici ? Regarde : on marche, on laisse toutes ces traces sur le sable, et elles restent là, précises, bien en ligne. Mais demain tu te lèveras, tu regarderas cette grande plage et il n'y aura plus rien, plus une trace, plus aucun signe, rien. La mer efface, la nuit. La marée recouvre. Comme si personne n'était jamais passé. Comme si nous n'avions jamais existé. S'il y a, dans le monde, un endroit où tu peux penser que tu n'es rien, cet endroit, c'est ici. Ce n'est plus la terre, et ce n'est pas encore la mer. Ce n'est pas une vie fausse, et ce n'est pas une vie vraie. C'est du temps. Du temps qui passe. Rien d'autre.
Océan Mer -
Alessandro Baricco
Il y a une communion des saints, il y a aussi une communion des pécheurs. Dans la haine que les pécheurs se portent les uns aux autres, dans le mépris, ils s’unissent, ils s’embrassent, ils s’agrègent, ils se confondent, ils ne seront plus un jour, aux yeux de l’Éternel, que ce lac de boue toujours gluant sur quoi passe et repasse vainement l’immense marée de l’amour divin.
Journal d’un curé de campagne -
Bernanos
Il n'y a pas de vérité irréfutable, il n'y a que des certitudes. Lorsque l'une s'avère être infondée, on s'en forge une autre et on s'y verrouille contre vents et marées.
L'Equation Africaine -
Yasmina Khadra
Je crois que j’ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage. Des bruits de campagne montaient jusqu’à moi. Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes. La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée. À ce moment, et à la limite de la nuit, des sirènes ont hurlé. Elles annonçaient des départs pour un monde qui maintenant m’était à jamais indifférent. Pour la première fois depuis longtemps, j’ai pensé à maman. Il m’a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d’une vie elle avait pris un « fiancé », pourquoi elle avait joué à recommencer. Là-bas, là-bas aussi, autour de cet asile où des vies s’éteignaient, le soir était comme une trêve mélancolique. Si près de la mort, maman devait s’y sentir libérée et prête à tout revivre. Personne, personne n’avait le droit de pleurer sur elle. Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m’avait purgé du mal, vidé d’espoir, devant cette nuit chargée de signes et d’étoiles, je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore.
L’étranger -
Camus
J'aime errer sur la grève délaissée par la marée et suivre aux contours d'une côte abrupte l'itinéraire qu'elle impose, en ramassant des cailloux percés, des coquillages dont l'usure a réformé la géométrie, ou des racines de roseau figurant des chimères, et me faire un musée de tous ces débris : pour un bref instant, il ne le cède en rien à ceux où l'on a assemblé des chefs-d'oeuvre ; ces derniers proviennent d'ailleurs d'un travail qui - pour avoir son siège dans l'esprit et non au-dehors - n'est peut-être pas fondamentalement différent de celui à quoi la nature se complaît.
Tristes tropiques -
Claude Lévi-Strauss
On contemplait la mer, on écoutait le vent, on se sentait gagner par l’assoupissement de l’extase. Quand les yeux sont remplis d’un excès de beauté et de lumière, c’est une volupté de les fermer. Tout à coup on se réveillait. Il était trop tard. La marée avait grossi peu à peu. L’eau enveloppait le rocher. On était perdu. Redoutable blocus que celui-ci : la mer montante. La marée croît insensiblement d’abord, puis violemment. Arrivée aux rochers, la colère la prend, elle écume.
« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. VIII (« La chaise Gild-Holm-'UrV »), livre premier (« De quoi se compose une réputation »), p. 69 -
Victor Hugo
Pour que la marée monte, il faut bien que la terre descende un peu.
Le dico tout fou des écoliers -
Jérôme Duhamel
Les vagues mourraient blessées à la marée sans Lune en venant féconder le ventre des lagunes.
Paroles de la chanson Un automne à Tanger -
Hubert Félix Thiéfaine
Aujourd’hui, c'est toi, c'est moi, avec ce foisonnement qui nous entoure, les naissances, les raz de marée, des ombres qui se cherchent, les femmes qui pleurent, des amants qui se retrouvent. ..
Les Novices -
Yves Simon
Le dandysme est un soleil couchant ; comme l’astre qui décline, il est superbe, sans chaleur et plein de mélancolie. Mais, hélas ! la marée montante de la démocratie, qui envahit tout et qui nivelle tout, noie jour à jour ces derniers représentants de l’orgueil humain et verse des flots d’oubli sur les traces de ces prodigieux myrmidons.
« Le Dandy », Le Peintre de la vie moderne -
Charles Baudelaire
Page 2 sur un total de 2 pages.
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