Citation mes


Sélection de 1508 citations sur le sujet mes

- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe mes issus de livres, discours ou entretiens.

Page 74 sur un total de 76 pages.


Citations mes - Page 74 sur un total de 76 pages.




Vraiment, le peu de morale que je sais, je l'ai appris sur les terrains de football et les scènes de théâtre qui resteront mes vraies universités.
12 mai 1959, Théâtre, récits, nouvelles , Pléaide, Paris, Gallimard, page 1724 - Albert Camus




Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer : Liberté. Sur mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J'écris ton nom.
Liberté- Recueil Poésie et Vérité - Paul Éluard




Si la mesure de l’amour est d’aimer sans mesure , comme le dit Bernard de Clairvaux, alors je n’ai pas su aller dans la démesure qui, seule, nous aurait réunis.
Nina de Frédéric Lenoir - Frédéric Lenoir




Quand je suis près de toi, les heures ont des ailes - Qu'avant de t'adorer je ne leur savais pas - Elles ont une ivresse et des chaînes si belles - Que je voudrais les voir captiver tous mes pas !.
Rêve d'amour - Jules Canonge




Je suis réellement un homme quand mes sentiments, mes pensées et mes actes n'ont qu'une finalité : celle de la communauté et de son progrès.
Comment je vois le monde de Albert Einstein - Albert Einstein




Ô toi, dont les soins prévoyants, Dans les sentiers de cette vie Dirigent mes pas nonchalants, Ma mère, à toi je me confie. Des écueils d’un monde trompeur Écarte ma faible nacelle. Je veux devoir tout mon bonheur A la tendresse maternelle.
A ma mère - Alfred de Musset




Une mère n'a point de plus riche couronne Que celle dont l'hymen orne son noble front. Sur son solide éclat que ton bonheur se fonde ! Laisse, pour t'en parer, tout ce clinquant du monde, Qui te cache un néant sous de brillants dehors. Imite, avec orgueil, l'illustre Cornélie, Qui, sans or et sans art, mère et femme accomplie, Dit, en montrant ses fils : Voilà mes seuls trésors !.
Fleurs de famille Par Antoine Joseph Théodore Auguste Clavareau - Antoine Joseph Théodore Auguste Clavareau




Je me demande, au reste, si les femmes mariées savent mesurer leur déchéance. Du jour au lendemain, la plupart d'entre elles se dépouillent, se neutralisent, s'aplatissent, se coulent suivant l'image exacte de leur mari.
L'Araigne de Henri Troyat - Henri Troyat




Dès que le noir se fait, dès que le rideau de l'écran s'ouvre, je suis comme un ­enfant face à un cadeau d'anniversaire ou de Noël. Il y a l'emballage, le ruban, la carte de voeux. J'ai envie de déchirer le papier, mais mes parents m'ont bien ­élevé, donc je commence par lire la carte. .. Au cinéma, la carte de vœux, c'est le ­générique de fin, on a le cadeau en premier !.
« Steven Spielberg : “Dès que le noir se fait, je suis comme un ­enfant face à un cadeau de Noël” », Aurélien Ferenczi (propos recueillis par) (trad. Aurélien Ferenczi), Télérama, nº 3303, 15 mai 2013 - Steven Spielberg




Dire qu'il faudra bon gré mal gré Finir dans d'éternels regrets Moi qui voudrais plus d'une vie Pour passer toutes mes envies Dire qu'il faudra mourir un jour Dire qu'il faudra mourir un jour C'est dur à penser Il faut bien le dire.
il faudra mourir un jour - Georges Moustaki




J'ai usé mon âme et mes souliers Sur tous les chemins des écoliers Près d'une fontaine je m'assieds un instant Je veux regarder passer le temps.
Où mènent ces routes devant moi - Georges Moustaki




Je voudrais perdre la mémoire Pour ne plus changer de trottoir Quand je croise mes souvenirs.
La mémoire - Georges Moustaki




N'usant pas de l'existence, l'existence m'usait, mes rêves me fatiguaient encore plus que de grands travaux ; une création entière, immobile, irrévélée à elle-même, vivait sourdement sous ma vie ; j'étais un chaos dormant de mille précipices féconds qui ne savaient comment se manifester ni que faire d'eux-mêmes, ils cherchaient leurs formes et attendaient leur moule.
Novembre - Gustave Flaubert




Envier le bonheur d'autrui, c'est folie ; on ne saurait pas s'en servir. Le bonheur ne se veut pas tout fait, mais sur mesure.
L'Immoraliste, André Gide, éd. Gallimard, 1972 (ISBN 2-07-036229-9), p. 123 - André Gide




À mesure qu'une âme s'enfonce dans la dévotion, elle perd le sens, le goût, le besoin, l'amour de la réalité.
Les Faux Monnayeurs - André Gide




Je m’installe dans ce point de l’espace que j’occupe, dans ce moment précis de la durée. Je n’admets point qu’il ne soit point crucial. J’étends mes bras de toute leur longueur. Je dis : voici le sud, le nord… Je suis effet ; je serai cause. Cause déterminante ! Une occasion qui ne se représentera jamais plus. Je suis ; mais je veux trouver raison d’être. Je veux savoir pour quoi je vis.
Les Nouvelles Nourritures - André Gide




Le regret temporis acti est la plus vaine occupation du vieillard. Je me le dis ; pourtant j’y cède. Vous m’y encouragez, estimant ce regret de nature à ramener insensiblement l’âme à Dieu. Mais vous vous méprenez sur la nature de mes regrets, de mes remords. C’est le regret du non acti qui me tourmente, de tout ce que durant ma jeunesse j’aurais pu faire, j’aurais dû faire, et qu’empêcha votre morale ; cette morale à laquelle je ne crois plus ; à laquelle je croyais bon de me soumettre alors qu’elle était pour moi la plus gênante, de sorte que je donnais à l’orgueil cette satisfaction que je refusais à ma chair. Car c’est à l’âge où l’âme et le corps sont les plus dispos à l’amour, les plus dignes d’aimer, d’être aimés, où l’étreinte est la plus puissante, la curiosité la plus vive et la plus instructive, la volupté du plus grand prix, c’est à cet âge que l’âme et le corps trouvent également le plus de force pour résister aux sollicitations de l’amour.
Les Nouvelles Nourritures - André Gide




Je vous tiens toute vive entre mes bras, Nature, Ah ! Faut-il que mes yeux s'emplissent d'ombre un jour Et que j'aille au pays sans vent et sans verdure Que ne visitent pas la lumière et l'amour. ..
Anna de Noailles, « L'Offrande à la Nature », Le Cœur innombrable, poèmes, Calmann-Lévy, 1901, in Pierre Seghers, Le Livre d'or de la poésie française, Verviers, Belgique, Gérard & Cie, s.d., p. 311. - Anna de Noailles




Remontez, remontez à ces heures passées ! Vos tristes souvenirs m'aident à soupirer ! Allez où va mon âme ! Allez, ô mes pensées, Mon coeur est plein, je veux pleurer !.
Le premier regret - Lamartine




Mais pourquoi m'entraîner vers ces scènes passées ? Laissons le vent gémir et le flot murmurer ; Revenez, revenez, ô mes tristes pensées ! Je veux rêver et non pleurer !.
Le premier regret - Lamartine



Page 74 sur un total de 76 pages.










.$char.
 -  Machiavelisme  -  Magie  -  Main  -  Maison  -  Maitre  -  Maitresse  -  Mal  -  Malade  -  Maladie  -  Male  -  Malheur  -  Malheureux  -  Malveillance  -  Maman  -  Management  -  Manger  -  Manie  -  Manque  -  Marcher  -  Mari  -  Mariage  -  Marseillais  -  Materialisme  -  Mathematique  -  Matiere  -  Maux  -  Maxime  -  Mechancete  -  Medaille  -  Medecin  -  Medecine  -  Medias  -  Mediocrite  -  Medisance  -  Mefiance  -  Meilleur  -  Melancolie  -  Melomane  -  Memoire  -  Mensonge  -  Menteur  -  Mentir  -  Mepris  -  Mere  -  Mériter  -  Metaphysique  -  Methode  -  Metier  -  Meurtre  -  Militaire  -  Miracle  -  Miroir  -  Misère  -  Misogyne  -  Mode  -  Moderation  -  Moderne  -  Modestie  -  Moeurs  -  Mondanite  -  Monde  -  Mondialisation  -  Monogamie  -  Montagne  -  Monture  -  Moquerie  -  Morale  -  Mort  -  Mot  -  Motivation  -  Mourir  -  Mouvement  -  Moyens  -  Musique  -  Mystere  -  Mysticisme  -  Mythe  -  Mythologie

Etendez votre recherche :
Citation mes   Phrases sur mes    Poèmes mes    Proverbes mes