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S�lection de 43 citations sur le sujet the

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43 citations & Proverbes sur the

Toute th�orie n'est bonne qu'� condition de s'en servir pour passer outre.

Poesie: journal (1917 a 1949) feuillets d'automne. et nune manet in te. ainsi soit-il ou, les jeux sont faits (�dition 1952) - Andr� Gide

On a tort de tout vouloir rapporter � des causes psychologiques la base mat�rielle et physiologique supporte le psychique et, si elle est atteinte, aucune th�rapeutique psychologique n'y pourra quelque chose tant que la cause ne sera pas supprim�e.

Initiation au vegetarisme, vincent gerbe, �dition dangles, 1984 (isbn 2-7033-0257-6), partie 1. pourquoi changer sa facon de se nourrir ? , chap. i. notre alimentation moderne, p. 26 - Vincent Gerbe

Baudelaire �crivait dans Mon c�ur mis � nu : Th�orie de la vrai civilisation. Elle n'est pas dans le gaz, ni dans la vapeur, ni dans les tables tournantes. Elle est dans la diminution des traces du p�ch� originel. Le vrai progr�s ne peut �tre que moral et donc individuel. Est de droite qui reconna�t la v�rit� du p�ch� originel. Est de gauche qui s'accroche � la th�orie de Darwin. On exag�re ? Peut-�tre. Mais en un temps o� le monde s'�loigne de l'art avec un telle horreur, o� les hommes se laissent abrutir par l'id�e exclusive d'utilit�, je crois qu'il n'y a pas grand mal � exag�rer un peu dans le sens contraire , �crivait Baudelaire au chantre du Progr�s, le r�publicain Hugo. Adieu, gaz, vapeur, tables tournantes.

� Pourquoi je n'ai jamais pu me sentir de gauche, alors que j'avais tout pour l'�tre (et tout � y gagner) �, Samuel Brussel, l'incorrect, n� 6, f�vrier 2018, p. 23 - Samuel Brussel

Il y a un principe fondamental, commun � toutes ces sectes, et sur lequel toutes leurs th�ories reposent. (...) Leur th�me commun, c'est une explication du monde permettant d'�carter le dogme de la cr�ation et conduisant � la divinisation de l'homme. De l�, le panth�isme �manatiste qui se retrouve au fond de presque tous ces syst�mes.

Infiltrations ma�onniques dans l'�glise, emmanuel barbier, �d. descl�e de brouwer et cie �diteurs, 1910, p. 63 - Emmanuel Barbier

Boys du s�v�re, interpr�tes anonymes, encha�n�s et brillants de la revue � grand spectacle qui toute une vie, sans espoir de changement, poss�dera le th��tre mental, ont toujours �volu� myst�rieusement pour moi des �tres th�oriques, que j'interpr�te comme des porteurs de cl�s : ils portent les cl�s des situations, j'entends par l� qu'ils d�tiennent le secret des attitudes les plus significatives que j'aurai � prendre en pr�sence de tels rares �v�nements qui m'auront poursuivi de leur marque.

L'amour fou, andre breton, �dition gallimard, 1976 (isbn 978-2070367238), p. 7 - roman - Andr� Breton

Pourquoi mettent-ils en oeuvre des acc�l�rations aussi colossales alors qu'ils ont tout l'espace � leur disposition et qu'ils pourraient prendre tout leur temps pour atteindre leur vitesse de croisi�re ? Ma th�orie est la suivante : ils captent d'une fa�on ou d'une autre l'�nergie de champ qui enveloppe les �toiles, ce qui les oblige � effectuer leurs manoeuvres de d�marrage et d'arr�t � proximit� imm�diate d'un soleil. Mais tout cela est secondaire...

Les enfants d'icare (1953), arthur c. clarke (trad. michel deutsch), �dition bragelonne, 2013 (isbn 978-2-8112-0945-2), partie 2, chap. 12, p. 185 - Arthur C. Clarke

Toute cette cuisine d�ailleurs, o� il faut expliquer ce qu�il y a dans l�assiette, jusqu�� indiquer dans quel ordre on d�guste : c�est pas mon truc. Le thermom�tre qui permet d�appr�cier la temp�rature de la viande ? Je pr�f�rais le temps o� on sentait la cuisson, la chaleur du four, pour savoir s�il fallait remettre ou non du charbon.

Interview Le Figaro propos recueillis par Fran�ois Simon le 27 janvier 2007 - Paul Bocuse

Ce qui r�sulte clairement aussi de l�examen des faits, c�est qu�il est difficile et peut-�tre impossible pour un Etat dont la population est trop nombreuse d��tre r�gi par de bonnes lois. En tout cas, parmi les Etats ayant la r�putation d��tre sagement gouvern�s, nous n�en voyons aucun se rel�cher de sa vigilance en ce qui touche le chiffre de sa population. Ce point est encore rendu plus �vident sur la foi d�arguments th�oriques. La loi est en effet un certain ordre, et la l�gislation est n�cessairement un bon ordre ; or une population qui atteint un chiffre trop �lev� ne peut pas se pr�ter � un ordre id�al de population.

La Politique (VII, 4), IVe si�cle av. J.-C. - Aristote

Au cin�ma, on n'a pas besoin d'avoir appris le m�tier dacteur pour �tre magnifique. Il y a la dimension de l'�cran, le secret de la salle, la beaut� de votre partenaire. .. On est dans le mythe, mais ce ne sont pas les acteurs qui fabriquent cette magie. On est comme des marionnettes tributaires du cadrage, de la lumi�re, du montage. Au th��tre, l'acteur est davantage ma�tre du r�sultat.

Interview L'Express propos recueillis le 30/09/2000 - Michel Piccoli

J'�tais un enfant taiseux mais j'ai peut-�tre r�ussi � parler gr�ce � l'�coute que, enfin, je r�alisais des adultes devant une histoire que je racontais qui n'�tait pas mon histoire, qui n'�tait pas un secret que j'avais envie de dire, qui n'�tait pas des questions que j'avais envie de poser. C'est quand assez petit � l'�ge de neuf ans, je crois, j'ai fait du th��tre dans mon coll�ge et que j'ai jou� la com�die et que j'ai �t� �merveill� d'entendre les adultes se taire et �couter ce que je racontais. Et comme je racontais une histoire qui n'�tait pas mon histoire propre, intime et secr�te, je me suis r�gal�.

Entretien de la s�rie "A voix nue" entre Laure Adler et le com�dien Michel Piccoli , 2006 - Michel Piccoli

Je suis d'abord acteur de th��tre et acteur de cin�ma. Ce sont deux activit�s diff�rentes, m�me si elles se compl�tent. Au th��tre, l'acteur, une fois le spectacle pr�sent� au public, est le roi, ma�tre de son jeu et de la mise en sc�ne. Il peut imposer sa personnalit�. Au cin�ma, l'acteur reste une marionnette manipul�e par le r�alisateur, f�t-il prestigieux.

Interview La Croix, entretien par Didier Mereuze , le 14/02/2009 - Michel Piccoli

Toute th�orie physique est toujours provisoire en ce sens qu'elle n'est qu'une hypoth�se : vous ne pourrez jamais la prouver.

Une br�ve histoire du temps : du big bang aux trous noirs - Stephen Hawking

Quand on r�ve, la pens�e prend des formes dramatiques. C'est ce que disait Dryden. La nuit, lorsque nous r�vons, nous sommes l'acteur, l'auteur, le spectateur et le th��tre. Nous sommes tout.

Conversations a buenos aires, jorge luis borges et ernesto sabato, animees par orlando barone (trad. michel bibard), �dition editions du rocher, coll. bibliotheques 10/18, 2001, p. 95 - Jorge Luis Borges

Je suis vraiment n� en m�me temps que Johnny Hallyday. Smet ne m'a jamais int�ress�. La th�rapie du rock a fini par compl�tement l'�vacuer. Je me suis fait violence pour le ressusciter.

Entretien par Gilles M�dioni pour l'Express publi� le 18/07/1996 - Johnny Hallyday

La th�orie de l'information oppose au mouvement perp�tuel le cristal immobile de la disparition du temps.

La theorie de l'information - Aur�lien Bellanger

Pourquoi le temps, et pour quoi le temps � partir de la th�orie de la s�duction g�n�ralis�e ? Eh bien, c'est qu'� mon sens il y a entre deux une liaison intime. La th�orie de la s�duction est une pens�e du temps. C'est une pens�e, permettez-moi ce n�ologisme, traductive du temps

Probl�matiques vi, l'apr�s-coup, jean laplanche, �d. puf, 2006, p. 11. - Jean Laplanche

Les acteurs anglais jouent tr�s bien. Mais l� o� ils sont les meilleurs, c'est entre les r�pliques. Il leur manque la superbe �locution des Fran�ais -si claire, si cadenc�e et si musicale. Nous allons au th��tre fran�ais pour �couter, au th��tre anglais pour regarder.

Entretien, publi� dans la �St. James Gazette� en janvier 1895 - Oscar Wilde

Ce th�me du monde des vivants paraissant plus mort que celui des morts, je l'ai en moi depuis longtemps.

De tim burton - Tim Burton

Une carri�re est faite de d�sirs, de r�ves, de chances. C�est paradoxal, frustrant. J�ai commenc� par le th��tre sans penser au cin�ma. J�ai beaucoup travaill�, souvent avec passion, m�me si je me reproche ceux de mes films que j�appelle �avoine-foin�. Les chevaux, �a vous ruine un homme ! Comme j�ai souvent tourn� mes films �avoine-foin� en Italie, c�est heureusement pass� un peu inaper�u en France.

Interview par Paris Match propos recueillis par Virginie Le Guay le 07/05/2010 - Jean Rochefort

Je regrette de n�avoir pas �t� un bon p�re, mais en m�me temps, entre le th��tre, le cin�ma, la t�l�vision, j�ai tellement travaill�, j�ai �t� tellement occup� � nourrir tout ce monde-l�, que je n�ai pas su, pas pu prendre le temps qu�il fallait�.

Interview du 09/08/2015 � � Paris Match - Propos recueillis par Alain Spira - Jean Rochefort

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