Citations sur ib. i 3

S'il ne m'attache à lui par un juste hyménée

Depuis trois ans dans Rome elle arrête vos pas

C'est elle qui gouverne, et d'un ton absolu Elle dicte pour loi ce qu'elle a résolu

Je n'ai point un courroux à l'exhaler en paroles vaines

Les espaliers de buis y sont hauts d'une pique

Nous lui jouerons tant de pièces, nous lui ferons tant de niches sur niches, que nous renverrons à Limoges M. de Pourceaugnac

Une société ne saurait subsister sans un gouvernement

Sitôt que les hommes sont en société, ils perdent le sentiment de leur faiblesse

Qu'elle nous mette au rang des grands et beaux esprits Un benêt dont partout on siffle les écrits

Et les femmes docteurs ne sont pas de mon goût ; Je consens qu'une femme ait des clartés de tout ; Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante

Et l'accueil gracieux qu'il recevait de vous Lui permet de nourrir un espoir assez doux

Madame, puissiez-vous lire dans mon esprit ; Vous verriez jusqu'où va ma pure obéissance

Qu'est-ce qu'esprit ? raison assaisonnée

Sous un ciel plus heureux et plus digne de vous

Mourez donc, et gardez un silence inhumain

Ô Dieu, qui vois former des desseins si funestes, As-tu donc de Jacob abandonné les restes ?

Jamais contre un tyran entreprise conçue Ne permit d'espérer une si belle issue

Sous un ciel plus heureux et plus digne de vous

Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts !

Je vois, dans le fatras des écrits qu'il nous donne, Ce qu'étale en tous lieux sa pédante personne

Je t'en ai dit assez, épargne-moi le reste

Un peu devant sa mort

Toutes ces cruautés.... Sont les degrés sanglants dont Auguste a fait choix Pour monter sur le trône et nous donner des lois

Et songeons bien plutôt, quelque amour qui nous flatte, à défendre du joug et nous et nos États

Mon père paya cher ce dangereux honneur