Citations sur as-tu

Alcippe, tu crois donc qu'on se sépare ainsi ? Pour sortir de chez toi, sur cette offre offensante, As-tu donc oublié qu'il faut qu'elle [ta femme] y consente ?

Pour sortir de chez toi.... As-tu donc oublié qu'il faut qu'elle [ta femme] y consente ?

Combien de fois as-tu protesté aux complices de tes désordres, que tu ne leur serais jamais infidèle ?

Demain qu'aura-t-il de moins rude ? As-tu ce terme dans ta main ? Et vois-tu quelque certitude D'arriver jusqu'à ce demain ?

Rodrigue, as-tu du coeur ? - Tout autre que mon père L'éprouverait sur l'heure

De quel manque, après tout, as-tu lieu de te plaindre ? En quelle occasion m'as-tu vu te contraindre ? As-tu reçu de moi ni froideurs ni mépris ?

Rodrigue, as-tu du coeur?

Es-tu si las de vivre ? - As-tu peur de mourir ?

À quoy as-tu gaigné chausses et pourpoint, qu'à produire à l'université la controleuse, la librairesse, et la femme du chancelier ?

Genève.... On te voit.... Travailler jour et nuit au faste et vanité, Et faire tout ton Dieu des modes de la France.... Mais, te francisant tant, même jusqu'au saint lieu, As-tu point peur qu'un jour, par ordre du vrai Dieu, Pour mieux te franciser la France ne t'étrille ?

Pourquoy as-tu mafroideur attisée ?

Mais as-tu près de moi rangé ces vêtements Qui couvrirent ma mère à ses derniers moments ?

Toi [Chiron] qui connais tant de remèdes, n'en as-tu point quelqu'un pour guérir cette fougue, ce bouillon de sang, plus dangereux qu'une fièvre ardente ?

J'ai su qu'il a mené une vie infâme ; mais pourquoi as-tu négligé son éducation ?

Et encores par tel folie As-tu hui fais regrès et plains ; Tu es un jeune homme tous plains De cruautés [de souffrances]

Alcandre, c'est ta passion ; Tu veux une longue épigramme, Bien qu'elle soit digne de blâme, Comme une longue inscription ; D'un seul coup elle fait sa brèche, Ainsi que le trait d'un archer ; As-tu jamais vu décocher Une pique au lieu d'une flèche ?

Et toi, miserable goutteux, as-tu pendu plaisir au croc ?

Voilà, dit le chevalier, un réveil assez gai et assez bouffon ; et à qui en as-tu donc, ou si c'est aux anges que tu ris ?

À qui en as-tu donc, ou si c'est aux anges que tu ris ?

Où diantre as-tu pêché Les figures d'un corps à demi déhanché ?

Avec quelqu'un as-tu fait la folie ?

Comble-moi cette ornière ; as-tu fait ? Oui, dit l'homme. Or bien je vas t'aider, dit la voix, prends ton fouet

Toi, qu'en vain j'interroge, esprit, hôte inconnu, Avant de m'animer, quel ciel habitais-tu ?... As-tu tout oublié ? par delà le tombeau, Vas-tu renaître encor dans un oubli nouveau ? Vas-tu recommencer une semblable vie ?

Tu faux, de Pré, de nous portraire Ce que l'éloquence a d'appas ; Quel besoin as-tu de le faire ? Qui te voit ne la voit-il pas ?

Mais, Frosine, as-tu entretenu la mère touchant le bien qu'elle peut donner à sa fille ? lui as-tu dit qu'il fallait qu'elle s'aidât un peu, qu'elle fît quelque effort, qu'elle se saignât pour une occasion comme celle-ci ?