Citations sur athal. ii 5

Mais lorsque, revenant de mon trouble funeste, J'admirais sa douceur, son air noble et modeste....

... Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune enfant....

Peut-être un songe vain m'a trop préoccupée

Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune enfant couvert d'une robe éclatante

Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive

De tous les deux, madame, il se faut assurer

De tant d'objets divers le bizarre assemblage Peut-être du hasard vous paraît un ouvrage

Le Jourdain ne voit plus l'Arabe vagabond Ni l'altier Philistin par d'éternels ravages....

Je l'ai vu ; son même air, son même habit de lin

Dans le vulgaire obscur si le sort l'a placé [un enfant], Qu'importe qu'au hasard un sang vil soit versé ?

C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit ; Ma mère Jésabel devant moi s'est montrée Comme au jour de sa mort pompeusement parée

Abner : De quel crime un enfant peut-il être capable ? - Mathan : Le ciel nous le fait voir un poignard à la main : Le ciel est juste et sage et ne fait rien en vain

Qu'importe qu'au hasard un sang vil soit versé ?

Peut-être un songe vain m'a trop préoccupée

Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin

Vous, ministre de paix dans les temps de colère....

Il [Jéhu] me laisse en ces lieux souveraine maîtresse

Un songe (me devrais-je inquiéter d'un songe ?) Entretient dans mon coeur un chagrin qui le ronge

Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage

Que Joad mette un frein à son zèle sauvage, Et ne m'irrite point par un second outrage

Que Joad mette un frein à son zèle sauvage

Je jouissais en paix du fruit de ma sagesse

Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage

Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange

Dans le vulgaire obscur si le sort l'a placé [un enfant]