Citations sur rodog. v 4

Ô quiconque des deux avez versé son sang, Ne vous préparez plus à me percer le flanc

Ô de ses derniers mots fatale obscurité

Si tu veux m'obliger par un dernier service....

Sur un lit de gazon de faiblesse étendu, Il semblait déplorer ce qu'il avait perdu

D'une profonde plaie en l'estomac ouverte

Faites faire un essai par quelque domestique

Otez moi donc de doute Et montrez-moi la main qu'il faut que je redoute

Pour toute réplique Faites-en faire essai par quelque domestique

L'ayant cherché longtemps, afin de divertir L'ennui que de sa perte il pouvait ressentir

La Parque à ce mot lui coupe la parole

Vous vouliez toutes deux un coup trop inhumain

Son sang à gros bouillons sur cette couche verte [lit de gazon]....

Si vous n'en pouvez mieux consoler une mère, Qu'en la traitant d'égale avec une étrangère

Ô frère, plus aimé que la clarté du jour !

Je maudirais les dieux s'ils me rendaient le jour

J'ai prévu d'assez loin ce que j'en viens d'apprendre

Et [je] lui veux bien donner tout lieu de me surprendre

Sa tête sur un bras languissamment penchée

Au moindre jour ouvert de tout jeter sur moi

Et de sa main il s'est privé du jour

Au moindre jour ouvert de tout jeter sur moi

Je me défendrai mal : l'innocence étonnée Ne peut s'imaginer qu'elle soit soupçonnée

Rempli de votre idée, il m'adresse pour vous Ces mots, où l'amitié règne sur le courroux

En quel gouffre d'horreur m'as-tu précipité ?

Seigneur, voyez ces yeux Déjà tout égarés, troubles et furieux.... Cette gorge qui s'enfle