Citations sur rodog. v 4

Puis-je vivre et traîner cette gêne éternelle ?

Sur un lit de gazon, de faiblesse étendu, Il semblait déplorer ce qu'il avait perdu

Est-ce vous désormais dont je me dois garder ?

Où fuirais-je de vous après tant de furie ?

Où fuirais-je de vous après tant de furie ?

Ô frère plus aimé que la clarté du jour

Je m'impute à forfait tout ce que j'imagine

Mais votre bras au crime est plus fait que le mien

Sa lumière s'éteint et son âme s'envole

Ah ! destins ennemis Qui m'enviez le bien que je m'étais promis

Ce prince en soupirant Avec assez de peine entr'ouvre un oeil mourant

Qu'on m'emporte d'ici, je me meurs

Je ne dénierai point, puisque vous les savez, De justes sentiments dans mon âme élevés

Et vous, allez au temple Y changer l'allégresse en un deuil sans pareil

Mais je vous ai laissé désarmer mon courroux

Je ne dénierai point, puisque vous les savez, De justes sentiments dans mon âme élevés

Je cherche à te rejoindre et non à m'en défendre [de la mort]

Je cherche à te rejoindre et non à t'en défendre

Une main qui nous fut bien chère Venge ainsi le refus d'un coup trop inhumain

Je l'ai trouvé, seigneur, au bout de cette allée, Où la clarté du ciel semble toujours voilée