Citations sur rodog. v 4

Sa tête sur un bras languissamment penchée, Immobile et rêveur, en malheureux amant....

Et nous verrons après, par d'autres sacrifices, Si les dieux voudront être à nos voeux plus propices

Enfin, que faisait-il ? achevez promptement

Cléopatre : Quoi ! vous me soupçonnez ? - Rodogune : Quoi ! je vous suis suspecte ?

Sur un lit de gazon, de faiblesse étendu

Seigneur, voyez ses yeux.... Cette affreuse sueur qui court sur son visage, Cette gorge qui s'enfle

Suivons aveuglément ma triste destinée

J'ai souffert cet outrage avecque patience

Je vous dirais, seigneur (car ce n'est plus à moi à nommer autrement et mon juge et mon roi)

Et qui, sur son époux, fit son apprentissage, A bien pu, sur un fils, achever son ouvrage

Je l'ai trouvé, seigneur, au bout de cette allée, Où la clarté du ciel semble toujours voilée

Vous l'accusiez pourtant quand votre âme alarmée Craignait qu'en expirant ce fils vous eût nommée

Pour moi qui ne vois rien dans le trouble où je suis, Qu'un gouffre de malheurs, qu'un abîme d'ennuis

Sa tête sur un bras languissamment penchée

Rapport vraiment funeste, et sort vraiment tragique

Je l'ai trouvé, seigneur, au bout de cette allée Où la clarté du ciel semble toujours voilée

Ah ! gardez-vous de l'une et l'autre main ; Cette coupe est suspecte, elle vient de la reine

Sauve-moi de l'affront de tomber à leurs pieds

Tirez-moi de ce trouble, ou souffrez que je meure

Qui m'épargnait tantôt ose enfin m'accuser !

Elle a soif de mon sang, elle a voulu l'épandre

Mais de ses derniers mots voyant le sens douteux....

Sauve-moi de l'affront de tomber à leurs pieds

Règne ; de crime en crime enfin te voilà roi

J'ai recherché leur gloire [des deux princes], et vous leur infamie