Citations sur voltaire

De toutes les tragédies françaises, Mithridate était celle qui lui plaisait davantage [à Charles XII], parce que la situation de ce roi vaincu et respirant la vengeance était conforme à la sienne

L'esprit se lasse de plaisanteries, et le coeur est inépuisable

On fit promener dans Paris la châsse de sainte Geneviève

Ce scélérat devrait être poursuivi au parlement de Paris et être puni plus grièvement qu'à la cour des aides

Parlez-lui, mais songez Que les lois, les autels, l'honneur, sont outragés

Il n'est point de tyran plus dur, plus haïssable Que la sévérité de ton coeur intraitable

J'ai toujours considéré l'Europe chrétienne comme une grande république dont toutes les parties se correspondent, lors même qu'elles cherchent mutuellement à se détruire

Nous avons rejeté ces présents corrupteurs, Trop étrangers pour nous, trop peu faits pour nos moeurs

Oui je veux dans son coeur Empoisonner sa joie, y porter ma douleur

Cette province qu'on appelle aujourd'hui Turcomanie, tomba bientôt après sous le pouvoir du turc Soliman, qui, maître de la plus grande partie de l'Asie Mineure, établit le siége de sa domination à Nicée et menaçait de là Constantinople au temps où commencèrent les croisades

Qui de nous vers le ciel n'élève pas des cris Pour les jours d'un époux, ou d'un père, ou d'un fils ?

Héros terrible et doux à tous tes ennemis

Un petit partisan de Locke était là tout près

Je ne me rends point encore sur Julien ; je ne peux croire qu'il ait eu les ridicules qu'on lui attribue, et qu'il se soit fait débaptiser et tauroboliser de bonne foi

Sous ses yeux [de Lesueur] des amours badins Ranimaient ces touches savantes

Jamais on ne vit un plus grand exemple, que le courage n'est point incompatible avec la mollesse

Il y aurait un lâche abandon de moi-même à souffrir qu'on me déshonore

Il se perd, comme on en convient, beaucoup de mouvement dans le choc des corps inélastiques

Je n'ai pu retenir cette fougue imprudente

Un prince qui, sans forme de justice et sans justice, emprisonne ou fait périr des citoyens, est un voleur de grand chemin qu'on appelle Votre Majesté

Méprisez le monde et la vie ; tout cela n'est qu'un fantôme d'un moment

On peut modérer son feu ; on ne saurait en acquérir

Tout cela [que la mer a couvert les montagnes] n'est-il pas d'une impossibilité démontrée, et n'est-ce pas l'histoire surnaturelle plutôt que la naturelle ?

[Chez Milton] on se bat dans le ciel à coups de canon ; encore cette imagination est-elle prise de l'Arioste

Notre globe est infiniment moins qu'un grain de sable en comparaison de ces millions de milliards d'univers, devant lesquels nous disparaissons