Citations sur voltaire

Enfermé dans ce sépulcre blanc [un pays couvert de neige], j'ignore où vous en êtes

Le fanatique chantera un cantique juif à plein gosier, en faisant brûler des Juifs

On lui ôta [au duc du Maine] la surintendance de l'éducation du roi [Louis XV]

Les Guèbres, anciens Perses dispersés autrefois par le calife Omar, toujours attachés à la religion des mages si florissante autrefois sous Cyrus, et toujours ennemis secrets des nouveaux Persans

Si, en adorant un Dieu dont toute la loi consistait en ces paroles : Aimez Dieu et votre prochain, vous aviez surchargé cette loi pure et sainte de sophismes et de disputes incompréhensibles

Il a fréquenté le pacha comte de Bonneval, qui était devenu, comme on sait, un parfait musulman à Constantinople

Richelieu, Mazarin, ministres immortels, ....Marcheront à grands pas au pouvoir despotique

Il ne faut pas plus se plaindre de la multitude des livres que de celle des citoyens

On ne peut aller de Suède en Norvège que par des défilés assez dangereux ; et, quand on les a passés, on rencontre, de distance en distance, des flaques d'eau que la mer y forme entre des roches

Un soldat qui se sauve quand il faut combattre est puni

Le Guèbre, esclave des Turcs ou des Persans ou du Grand Mogol, peut-il compter pour sa patrie quelques pyrées qu'il élève en secret sur des montagnes ?

Dire que Dieu ne peut rendre la matière pensante

Bellone va réduire en cendres Les courtines de Philipsbourg Par cinquante mille Alexandres Payés à quatre sous par jour

Ce qu'il y avait de pis, c'est que Jenni avait des dettes par-dessus les oreilles

Ce feu que j'avais su contraindre S'irrite en s'échappant et ne peut plus s'éteindre

Voilà les principales choses dont j'ai cru devoir rendre un compte succinct à Votre Éminence

Tous deux haïs du peuple, et tous deux admirés ; Enfin, par leurs efforts ou par leur industrie, Utiles à leurs rois, cruels à la patrie

Pour quelle fête a-t-on carillonné ? Une aiguille montre les heures pendant que mon corps carillonne

La perfection consisterait à savoir assortir toujours son style à la matière qu'on traite ; mais qui peut être le maître de son habitude et ployer son génie à son gré ?

Votre coeur par un maître attaqué chaque jour

Mais si M. Terrai veut bien me rembourser

Quel est, dans la capitale des Velches, le porte-Dieu ou le gobe-Dieu qui ose dire : c'est moi qu'on a voulu désigner par les prêtres de Pluton ?

Le grand point [pour un astronome] est de se familiariser avec les instruments, il faut instruire ses mains ; les livres instruisent son esprit

Mais que Phorbas est lent pour mon impatience !

Le champ de bataille était jonché de près de trente mille morts ou mourants