Citations sur la fontaine

Et sans considérer quel sera le loyer D'une action de ce mérite

Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère

Grande dispute à qui la première payera

Son maître le rappelle et crie et se tourmente, Lui présente le leurre et le poing, mais en vain

Tous parcs étaient vergers du temps de nos ancêtres ; Tous vergers sont faits parcs ; le savoir de ces maîtres Change en jardins royaux ceux des simples bourgeois

Dictes moy, dame noble et bonne, L'avance, si ferez l'aumosne

Un heurt survint ; adieu le char ; Voilà messire Jean Chouart Qui du choc de son mort a la tête cassée

Et si tu y veux adjouster Chose estrange, ou administrer Soulphre, sel, huyle, n'aultres riens, Pour voir, ton faict ne vaudra riens

Le climat est sans pluie ; on n'entend aux montagnes Bruire en ces lieux aucuns torrents ; En ces lieux nuls ruisseaux courants N'augmentent le tribut dont s'arrosent les plaines

Et croyant entrer tout d'un coup

Respirons maintenant, dit la mouche aussitôt ; J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine

Dès l'abord leur doyen [des rats], personne fort prudente, Opina qu'il fallait, et plus tôt que plus tard, Attacher un grelot au cou de Rodilard

Le galant fait le mort, et du haut d'un plancher Se pend la tête en bas

Après mille ans et plus de guerre déclarée

Dieu sait si les zéphirs, Peuple ami du démon, l'assistaient [le follet] dans sa tâche

Les sept planetes que j'ay dict, Accomparons sans contredit Aux sept metaulx venans de terre Qui tous sont faicts d'une matiere

Dans le four est mis l'appareil, Tu en doibz avoir un pareil

La fois premiere est fiançaille, Et la seconde l'espousaille

Deux belles dames au cler vis, Semblables à filles de roy, Au regard de leur noble arroy, Vers moy s'en vindrent doulcement

Pendant tout le sabbat qu'il [le chat] fit avec sa dame

Sur chaque côté du plinthe