Citations sur deshoul.

Riches atours, tables, nombreux valets, Font aujourd'hui les trois quarts du mérite

Vers les dangereuses langueurs Vous avez une douce pente ; Vous soupirerez des malheurs Dont vous paraissez ignorante

Il dit que l'opiat, la guimauve et le reste Ont été pour ses dents un remède funeste

Le bienheureux nom d'impromptu Parmi les sots a la vertu De mettre à couvert de l'orage Toutes les fautes d'un ouvrage

Souffre qu'un coeur de tes charmes épris [c'est un chien qui parle] Te conte quelquefois de jappantes fleurettes

Je ne saurais vous approcher.... Si vous pouviez savoir les affligeants discours.... Vous seriez moins impraticable

Séparant Genseric de ce qui l'environne, Il ne s'est attaché qu'à ma seule personne

Les jeunes gens portent l'audace Jusqu'à la brutalité ; Quand ils ne nous font pas [à nous femmes] une incivilité, Il semble qu'ils nous fassent grâce

De troubler le repos des miaulantes familles [les chats]

....Il ne faut pas toujours Juger de ce qu'on sent par ce qu'on fait paraître

Et promenait sur lui d'étincelants regards

Elle dit que l'éclat vermeil, Dont on voit l'orient se peindre à ton réveil, Vient des roses que ta main sème Dans la carrière du soleil

Illustre protecteur des Filles de mémoire.... Colbert dont les travaux, des ans victorieux, De miracles divers enrichiront l'histoire

Lorsque les ordres absolus De l'être indépendant qui gouverne le monde

Fameux auteur, de tous auteurs le coq, Toi dont l'esprit agréable et fertile Des latineurs a soutenu le choc Par un écrit dont sublime est le style

Homme, vante moins ta raison.... Aussi faible que toi, dans ta jeune saison Elle est chancelante, imbécile

Ces Grecs et ces Romains si vantés dans l'histoire

Un renom qui n'est noirci Par nul vilain tripotage

Quand tu combats, la victoire t'est hoc

Charmante et paisible retraite, Que de votre douceur je connais bien le prix !

L'amour-propre est, hélas ! le plus sot des amours

Bonjour, le plus gras des tou-tous ; Si par hasard mon amitié vous tente, Je vous l'offre tendre et constante ; C'est tout ce que je puis pour vous

J'ai su faire des vers avant que de connaître Les chagrins attachés à ce maudit talent

Cette fière raison dont on fait tant de bruit, Contre les passions n'est pas un sûr remède ; Un peu de vin la trouble, un enfant la séduit

Ruisseau, nous paraissons avoir un même sort : D'un cours précipité nous allons l'un et l'autre, Vous à la mer, nous à la mort